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Bienvenue sur wicked little town, forum city simple et sans prétentions qui se déroule dans la petite mais mouvementée ville de Klamath Falls (Oregon, USA). Lieu de détente où vous verrez s'affronter les différentes classes sociales, venez interpréter des personnages issus de tous horizons. Pour citer une célèbre marque : venez comme vous êtes ! Mais attention, Scandale n’est jamais bien loin pour dévoiler les secrets que vous cachez.
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 j'te jure l'absence elle est méchante | alastair

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Hera Marshmembers  too many secrets
Hera Marsh
messages : 9505
rps : 171
pseudo : elio.
pronom irl : il.
id card : madelyn cline + pau (ava) + awonaa (signa)
multicomptes : leo, marcus, nyx.
gif : j'te jure l'absence elle est méchante | alastair 4e5333307b8cb689f558a467be7187c8
âge : 07.12. flemme des vingt six ans en fin d'année. sera sûrement banale comme toutes les autres années, cette journée.
statut civil : quatre ans, c'est long, elle a cassé le cercle vicieux de le prendre et de le jeter pour une pseudo fierté. fiancée à alastair, parce qu'il faut jamais faire les choses à moitié. crève d'amour pour sa belle gueule, et ça, ça vaut l'coup d'encaisser les mauvais moments avec lui. ça finit toujours par en créer des bons.
occupation : après des mois sans rien, elle est enfin repartie sur le monde du travail. employée à la salle d'arcade sur foothills village. répare parfois les machines et tente d'arnaquer ses potes pour venir dépenser leur argent là.
habitation : c'est surprenant, de quitter les bas quartiers pour ceux qu'on trouve beaux. a emménagé avec alastair, à partager le loft sûrement dix fois plus grand que son ancien studio. chestnut district, n°001. ouais, ça fout une claque.
nbre de mots : je dépasse pas les 700 mots.
couleur rp : #339999
disponibilités : disponible :

pandora
alastair
milo
pronom ig : elle
cible de scandale ? : Oui
trigger warning : hera : dépression, délinquance, violence infantile, violence physique, sang, idées suicidaires, vulgarité, conflits familiaux, sexe, consommation de tabac et de drogues, adultère, divorce, troubles alimentaires, potentielle pyromanie, mutilation, mort d'un parent (père).
moi : à discuter en amont.

(#) Ven 17 Nov - 15:36

j'te jure l'absence elle est méchante


@Alastair Duke@Hera Kingsnorth
outfit ✧

tel père, telle fille. y'a cette putain de phrase qui se répète dans ma tête, s'est imprimée sur chaque bouffée de tabac que j'ai avalé. alors je crois que j'ai plus vraiment assumé mes pensées depuis cette phrase qu'elle a balancé comme si elle était au courant du moindre coup, de la moindre insulte balancée à une gamine à peine entré dans son adolescence. lâche, comme tous les autres. a bloqué avant que je puisse défendre la haine pour ses horreurs. recopient tous la même histoire. jamais foutus de se complaire dans une relation - on s'en fout, si elle est pas vraiment saine, en fin de compte. parce qu'ils me foutent la gerbe, me retournent les entrailles, à me fusionner à l'allure du diable. plus dans la famille, plus foutue de rentrer dans leur case de perfection trop salie. je jette le mauvais sort sur un autre, à plus faire confiance à ceux qui partagent mon sang. on sait jamais, c'est peut-être arrivé, une ou deux heures. puis cette phrase elle gueule, y'a les rires en fond, sorte de sitcom un peu pourrie, sur une vie déjà foutue en l'air. j'ai pas besoin de héros. j'ai le goût de vengeance pour une gosse que j'connais pas, j'ai le goût de violence pour les abrutis de cette ville bancale. ou c'est moi qui le suis, bancale, pas droite, pas foutue tourner bien rond, y'a toujours un décalage et un coin trop brut. je propose le mal, enfonce le client dans l'illégal. propose de foutre en l'air un peu, c'que les autres finissent par trop aimer. viens mikey, on va foutre la merde. c'est juste une rengaine, une routine agréable, le genre à faire ressentir au moins un picotement dans le crâne. puis y'a toujours autre chose. l'envie de l'appeler, d'aller crever un peu dans ses bras. pas le client. j'comprends plus les messages qu'on s’envoie, faut sûrement me donner une carte, alastair, parce que j'pensais pas que ça pouvait s'arrêter si rapidement. parce qu'au fond, ça m'bouffe le cœur, le silence que j'essaie d'imposer, la présence que j'essaie d'étouffer jusqu'à la tuer. à m'sentir désolée. pour une fois. je crache, la saveur immonde du joint. je sais pas, quand je ressens un truc plus qu'ignoble, je finis par plus apprécier me noyer correctement dans ma merde. j'écrase le mégot, entre avec les deux gosses incapables de se lâcher. j'sais plus vraiment si c'est mignon ou répugnant, de les voir si proches. ou si j'envie, un peu, l'affection un peu différente. le sous-sol. sans poser de questions. ouais, il a raison, chinen, j'irais toujours chercher sa compagnie. et ça me fait chier. mais j'aime pas le monde en haut, j'ai même pas le souvenir de qui est ce foutu james. ce que je veux, c'est le bouclé, celui que j'vois seul dans son canapé un peu défoncé. j'me jette juste à côté de lui, à sa droite, ou à sa gauche. je crois que c'est la droite. à laisser les deux autres prendre place ailleurs, ils sont assez grands pour s'barrer dans deux secondes à peine. je sais, que c'est trop, le deuxième joint que j'sors, le besoin de planer. le besoin d'oublier, que y'a un truc bizarre en moi, dès que j'sais que son aura m'effleure. sa chaleur. son souffle. ses lèvres. fermer les yeux, pencher la tête en arrière et sentir ma nuque percuter le dossier. il est à côté, mais son absence est méchante. c'est quoi, cette fois ? le truc qu'il s'injecte dans le bras, quand moi, je bouffe la fumée au goût pas terrible. à pencher la tête vers lui, rouvrir les yeux, et le regarder. parce que je le regarde toujours plus facilement que tous les autres polluants de ma survie. j'peux pas tester avec toi ? tout pour juste me foutre en l'air, encore plus pour le faire avec lui. y'a un truc, alastair, pour que je veuille autant de toi, tout en voulant te faire fuir. parce que c'est plus simple que l'abandon.
colibry ♡



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Alastair Dukemembers  too many secrets
Alastair Duke
messages : 1050
rps : 12
pseudo : decay
pronom irl : il/he/him
id card : chalamet + ava : ralhiel / gif : nothliits / signa : exordium + hera
multicomptes : pandora la gosse naïve (m. alcock) + mikey le red flag ambulant (n. murakami)
gif : j'te jure l'absence elle est méchante | alastair 33de86e2535dca39cf751d239cedc06c
âge : t'as dépassé le quart de siècle de 3 ans déjà. les 28 ans auxquels tu t'habitues. t'es pas de ceux qui pleurent parce qu'ils vieillissent, non. toi, t'attends juste patiemment le jour où tu pourras vivre comme tu le souhaites réellement.
statut civil : tu l'attendais patiemment, le jour où tu pourrais enfin dire qu'elle est tienne. enfin. en couple avec hera et tu l'as même pas menacée ou forcée. un grand pas pour l'humanité, vraiment. t'as déjà une idée de la bague à lui offrir pour que tout s'officialise, les fiançailles, la promesse d'une vie meilleure avec ton nom, à tes côtés.
occupation : c'est gore, c'est dégoûtant, ça en répugne pas mal, pourtant ça te plaît. un corps sur une table, sans vie, sans pouls. et tu es le seul à pouvoir remettre les pièces du puzzle en place. c'est bizarre à dire, mais tu te sens tellement bien, quand tu trouves la raison exacte de la mort de quelqu'un. des fois, tu te dis que t'es juste né pour être médecin légiste.
pronom ig : he/him
cible de scandale ? : Oui
trigger warning : alcool, drogues, sexe, tabac, toxicité, tromperie, stalking, anxiété, dermatillomanie, mutilation, insensibilité sur certains sujets (manque de connaissances, prévenu à l'avance), tout ce qui concerne les médecins légistes
(#) Ven 17 Nov - 20:06

j'te jure l'absence elle est méchante


@Alastair Duke@Hera Kingsnorth
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tw : drogue dure, seringue, allez savoir quoi d'autre
c'est frustrant, par moments. hera. tu lui cours après depuis si longtemps, tentes de donner une image de toi agréable mais pas forcément fausse. c'est dur, de mélanger les deux sans retomber dans le rôle. celui du fils modèle, qui cache tout, qui sourit de la façon la plus hypocrite possible, qui se détruit le mental pour un peu de fierté de la part de papa maman, quelques mots, une tape sur l'épaule. t'essaies de pas passer pour ce gamin capricieux qui est prêt à tout pour avoir ce qu'il veut. non, hera, tu la laisses venir à toi. même si ça fait des années. même si c'est qu'en soirée, sous l'effet d'un joint sûrement trop chargé. ou deux, trois, tu veux même pas les compter. tu lui offres des sourires vrais, parce qu'elle te fait réellement sourire, même quand elle tire la tronche. tu lui offres ta main. et ce soir, elle a décidé qu'elle préférait cracher dedans. souvent le cas. t'es presque devenu habitué. mais ça te fait toujours un peu mal. grimacer devant les messages. repoussé, elle veut rien avec toi. et ça t'énerve, qu'on te refuse un truc. surtout quand elle donne des raisons pourries derrière. alors t'as juste envoyé un message. trouvé de quoi passer une bonne soirée, loin de ça, loin de la frustration, de cette incompréhension qui te bouffe l'esprit, par moments. tu veux la comprendre, mais elle te laisse pas. tu veux la protéger mais elle te donne des coups pour t'empêcher d'approcher. tu veux juste lui faire du bien, mais elle te porte à bout de bras pour que tu sois loin. incapable de la toucher. menace de te faire bloquer, vus lâchés sans aucune pitié, tu laisses tomber l'affaire jusqu'à la prochaine fois. et ça recommence. jusqu'à ce message, que t'attendais pas. parce qu'elle a fini, normalement. t'attends pas un autre message d'elle, elle a décidé d'arrêter la conversation. tu souffles en voyant le message. la tête ailleurs, le corps qui se mêle déjà depuis bien trop longtemps aux coussins du canapé. tu fais un peu tâche, dans la scène. dans un coin du sous-sol, sur un vieux sofa usé, avec tes vêtements qui pourraient être neufs. t'as enfilé un pull, à peine rentré chez toi après ta journée de travail à dormir debout, et t'es reparti aussitôt. tu mets quelques secondes de plus que nécessaires à lire les messages, prends toujours garde à ne pas laisser transpirer ton état. tu lis et relis les mots, regard qui floute tout, avant d'envoyer et te laisser être aspiré à nouveau par le canapé. c'est un va et vient qui ne s'arrête jamais. elle te dit d'arrêter, tu refuses, et c'est reparti pour un tour. mais la drogue que tu fous directement dans tes veines semble avoir un autre effet que la confusion et la béatitude, ce soir. t'en as juste rien à foutre. rien à foutre quand tu lui dis que t'abandonnes, quand tu l'écoutes. acquiesces comme un bon enfant obéissant quand elle ordonne presque que t'arrête de la vouloir. ça fait pas mal. tu ressens rien. c'est ça, qui est bien. tu te fiches des mots que tu tapes, tu les regretteras demain. mais visiblement pas. t'as joué à son jeu et décidé de quitter la partie avant elle, pour une fois. et ça. te fait rien ressentir. même quand elle te dit qu'elle est juste devant l'entrée de la maison, tu ressens rien. et c'est peut-être ça, que tu recherchais, au fond. ce soir, au moins. être capable de juste tout lâcher, le temps de quelques heures, le temps qu'il n'y ait plus rien à remettre dans la seringue. seringue que tu portes pour la troisième fois à ton bras ce soir. petite dose par petite dose. t'attends les effets en lui répondant tu lui donnes toutes les cartes en main. si elle veut t'éviter, parfait. tu lui diras où tu vas à chaque moment. même si tu te levais pour aller pisser, tu lui enverrais un message, juste pour la prévenir que le grand vilain alastair, à éviter à tout prix, est de sorti. sorti de sa cave. sauf que le temps passe. et t'en perds la notion depuis déjà trop d'heures. les corps bougent autour de toi, flacon se vide, seringue se remplit. et quelques minutes après que tu la reposes sur la table basse, tu la vois. tu clignes des yeux sûrement trop, hausses le sourcil un peu haut. tu penses à une hallucination, au début, mais elle est là. elle est là, avec ce joint qu'elle sort, avec les deux acolytes qui s'assoient pas loin. tu la connais pas trop, elle, mais lui, mikey, tu l'as assez vu pour te rappeler son nom. et lui demander quelques adresses de temps à autres. l'un sur le sol, l'autre sur un fauteuil derrière lui. tu t'en fiches, tu te reconcentres sur la perfection qui a décidé d'atterrir à côté de toi, comme par miracle. tu le laisses s'échapper, le sourire satisfait. fier de toi-même. "tiens donc. si c'est pas princesse tire-la-tronche, accompagnée de tic et tac", que tu les accueilles en riant légèrement. sauf que t'es un peu le seul à rire. la blonde semble t'ignorer, le regard qui dévie déjà sur ta succube du moment. elle pose la question, tu donnes la réponse. "ketamine." c'est aussi simple que ça, tu caches rien à tes potes. pas même la merde à laquelle t'as décidé de te buter, ce soir-là. t'essaies de pas montrer, pourtant, qu'elle te parle pile au moment où les effets t'assomment. grandes inspirations et yeux qui papillonnent. tu agrippes l'accoudoir de la main, hors de vue, pour t'allonger un peu plus. ne faire qu'un avec le meuble. dès qu'elle ouvre la bouche, tu la sens venir, la connerie. t'as déjà ta réponse, sans même savoir ce qu'elle allait dire. même si tu fais l'effort de l'écouter. "non. tu pourrais choper un truc. pas touche, hera." pour pas dire que, contrairement aux autres, t'as cette envie qu'elle y touche pas. ou alors que ce soit dans un contexte plus intime. tes doigts qui pressent le liquide en elle alors que tu l'embrasses, un rêve de ce genre. mais ce sera pas ce soir. et encore moins avec une seringue que t'as utilisée. tu veux rien risquer. ni le sida, ni l'overdose. ta vie serait bien triste, sans elle. "c'est drôle, pour quelqu'un qui voulait pas me voir, t'as l'air très présente. ou alors t'es qu'une hallucination... t'as l'air très réelle, pour une hallucination." le petit rire fatigué qui sort de ta bouche alors que tu la regardes dans les yeux pendant toute ta tirade. puis de haut en bas. "belle hallucination, ouais..." que tu marmonnes, tout bas, juste à toi, avant de tendre les doigts vers son joint. demande silencieuse mais autoritaire.
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statut civil : quatre ans, c'est long, elle a cassé le cercle vicieux de le prendre et de le jeter pour une pseudo fierté. fiancée à alastair, parce qu'il faut jamais faire les choses à moitié. crève d'amour pour sa belle gueule, et ça, ça vaut l'coup d'encaisser les mauvais moments avec lui. ça finit toujours par en créer des bons.
occupation : après des mois sans rien, elle est enfin repartie sur le monde du travail. employée à la salle d'arcade sur foothills village. répare parfois les machines et tente d'arnaquer ses potes pour venir dépenser leur argent là.
habitation : c'est surprenant, de quitter les bas quartiers pour ceux qu'on trouve beaux. a emménagé avec alastair, à partager le loft sûrement dix fois plus grand que son ancien studio. chestnut district, n°001. ouais, ça fout une claque.
nbre de mots : je dépasse pas les 700 mots.
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cible de scandale ? : Oui
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(#) Ven 17 Nov - 20:52

j'te jure l'absence elle est méchante


@Alastair Duke@Hera Kingsnorth
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je colle parfaitement à la décadence de cette soirée. à avoir niqué le tissu de mon pantalon sous les chutes, les frottements contre le bitume, par l'anxiété de l'arracher fil par fil. tenue trop légère, j'pourrais jurer avoir froid, me sentir paralysée par l'automne rude - je crois qu'on cause d'hiver à ce rythme. parce que j'ai rien sur mes épaules, juste la chemise que j'ai volé à un gars sans trop savoir lequel. je sens juste mes doigts arracher les fils qui dépassent des trous sur mes cuisses. en crachant ma dernière bouffée. elle est pure, la belle fumée blanche, laisse sa traînée juste à peine quelques secondes pour savoir m'en rendre compte. menteuse fière, elle pue le mauvais, mais elle apparaît trop belle. à entendre la voix d'une stupide inconnue familiale, je ris aux paroles d'une autre. c'est même pas expressif, juste un souffle, discuté avec moi-même. parce qu'elle appelle ça des merdes, qui foutent en l'air ma vie, quand ce qui me sert de sang l'a bien fait en solitaire. pas eu besoin d'une aide quelconque pour faire de moi le trublion, la gosse rejetée et imaginée sous un pont d'ici moins d'un mois. le mégot c'est sûrement mon cœur, la métaphore de l'espoir que j'écrase, je lui crache à la gueule, à cette connerie de poésie. c'est l'heure d'oublier, la première mauvaise partie de cette tragédie à peine bien jouée. d'entrer dans la deuxième, suivie des deux addicts au sexe. au leur. à force, je finirais par plus vraiment m'y intéresser. parce que y'en a qu'un pour foutre en l'air la seule ligne droite que je suis capable de faire, de tenir. y'a des accoups, toujours, mais j'suis la seule coupable, faut croire. coupable de rejeter le pauvre gosse qui m'apporte un semblant d'attention, et ça fait des années, que j'fais que marcher dessus. à accumuler les autres, à laisser la chance à des bouffons qui lui arrivent sûrement même pas en dessous de la cheville. ouais, ça me bouffe des neurones, ça me rend dingue de l'avoir aussi bien dans mes yeux, quand j'ose croire qu'il créera aucune insomnie. donc c'est simple, et j'sais que l'autre chinen ira me balancer ça demain, dans la gueule. là trop occupé à résister à la fausse innocente qui le suit. mignonne, elle fait sourire, leo. mais je m'intéresse au bouclé, que je rejoins en m'affaissant dans le canapé, en râlant en levant les yeux au ciel parce qu'il est troué pile où j'ose poser mon cul. éviter au début son regard, complètement ignorer le fait qu'il détaille, sûrement. juste soupirer, fort, avant de me pencher en avant pour regarder les deux autres, qui captent sûrement même plus rien, le monde c'est le leur, y'a jamais plus personne autour d'eux. ta blague est à chier, j'sais même pas pourquoi ils sont là. et princesse, j'vais te le faire bouffer. je t'ai déjà dit de pas utiliser cette merde. y'a ce frisson, de dégoût. bouffon, à la limite, mais clairement pas au titre royal. pas quand je l'utilise pour les pseudo miss parfaites de cette famille. puis il lance le nom, presque alléchant. juste acquiescer, d'un hochement de tête, d'une fumée crachée. et je sais d'avance, que ma connerie, elle passera pas. demande déjà foutue à la corbeille, je crois que j'ai même pas besoin qu'il ouvre la bouche. pas pour ça, en tout cas. et y'a encore un rire soufflé, faut croire que c'est le soir où les émotions daignent bien vouloir exister un peu. tu donnes des ordres maintenant ? aspirer, inspirer, garder quelques secondes dans la gorge, et recracher. simple habitude, jusqu'à ce que je fasse tomber mon regard sur lui. il a l'air proche, mais loin, dans la même nuance. il a dû bouger, mais ça m'intéresse pas tant que ça. parce que mon genou, c'est un abruti. il vient se poser contre le sien, comme-ci j'allais manquer d'équilibre, alors que j'ai juste besoin de son contact. mais c'est là, le rapprochement, léger. le fait de vouloir presque me jeter pour bouffer ses lèvres. il quémande le joint, ordonne presque. ou ordonne tout court. juste les doigts, pas plus de paroles. et je mets sûrement plus d'une minute à trouver une réponse probable, à tirer plus fort, à le consumer un peu plus. y'a des rêves qui sont trop réels. ça pourrait expliquer pourquoi personne nous capte. ni les deux cons accro au sexe, ni le fait que tu sembles être seul ici. hausser les épaules, reprendre une taffe, et lui tendre. lui autoriser enfin mon dû. avant de m'affaisser un peu plus dans ce canapé. et je crois que je pourrais m'y noyer, me laisser bouffer par ce meuble, disparaître comme ça. l'monde tournerait mieux, le mien pourrait se taire, enfin. mais j'suis happée au réveil. nan, y'a un truc qui clairement me manquerait. c'était automatique. de venir ici. la contradiction hera dans son état pur, quoi. léger sourire. presque étonnant. de ressentir mes lèvres se former dans ce rictus. de ressentir que ça pourrait aller, si le monde arrêtait vraiment de tourner, avec lui juste dedans en continuel mouvement. alors je récupère, mon précieux, passe après le goût de ses lèvres, et c'est bon, le joint est bien meilleur. te plains pas. j'suis ici. l'autre con ira se foutre de ma gueule demain. mais j'suppose que ça vaut un minimum le coup, hm ? ouais, là j'ose. le regarder dans les yeux, sûrement la seule personne avec qui j'suis capable d'un tel contact. à lui retendre ce qui nous appartient ce soir, ce qu'on partage. quitte à se niquer les poumons, le crâne, autant le faire à deux.
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âge : t'as dépassé le quart de siècle de 3 ans déjà. les 28 ans auxquels tu t'habitues. t'es pas de ceux qui pleurent parce qu'ils vieillissent, non. toi, t'attends juste patiemment le jour où tu pourras vivre comme tu le souhaites réellement.
statut civil : tu l'attendais patiemment, le jour où tu pourrais enfin dire qu'elle est tienne. enfin. en couple avec hera et tu l'as même pas menacée ou forcée. un grand pas pour l'humanité, vraiment. t'as déjà une idée de la bague à lui offrir pour que tout s'officialise, les fiançailles, la promesse d'une vie meilleure avec ton nom, à tes côtés.
occupation : c'est gore, c'est dégoûtant, ça en répugne pas mal, pourtant ça te plaît. un corps sur une table, sans vie, sans pouls. et tu es le seul à pouvoir remettre les pièces du puzzle en place. c'est bizarre à dire, mais tu te sens tellement bien, quand tu trouves la raison exacte de la mort de quelqu'un. des fois, tu te dis que t'es juste né pour être médecin légiste.
pronom ig : he/him
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(#) Sam 18 Nov - 19:13

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tw : drogue dure, seringue, allez savoir quoi d'autre
t'y crois, à ce que t'écris. t'y crois totalement, quand tu lui dis que t'arrêtes de la suivre partout. de la vouloir. d'espérer plus qu'une nuit où vous êtes juste défoncés tous les deux. parce que c'est visiblement la seule condition pour qu'elle t'apprécie. être défoncé. et c'est visiblement aussi la seule condition pour que t'arrêtes de lui courir après. ou penser que tu vas le faire. que t'en es capable. couper court à l'obsession, parce que t'as beau le nier, tu sais tout comme les autres que c'en est une. t'es totalement obsédé par tout ce qui la concerne. t'aimerais tout savoir. les beaux détails, les horribles, ceux sans importance aucune. tout d'elle t'a toujours plu. et t'en es encore conscient, quand elle se pose à tes côtés sur ce canapé détruit. tu lui souris, tu rigoles en les accueillant tous. le trio particulier qu'ils semblent former. les deux inséparables et l'objet de tous tes désirs qui tient légèrement le rôle de baby-sitter, par moments. elle râle, son agréable, et tu roules les yeux au ciel sans répondre, sans perdre ton sourire. tu lui lances un petit regard qui répond à tout. à ce que les deux autres font ici, ce que tu comptes faire concernant le surnom. t'arrêteras pas. ou alors si elle te le demande gentiment, tu considèreras l'idée. mais pas avant. elle a les yeux qui semblent loucher sur ton amante du soir. celle que t'as décidé de prendre avant elle. avant même de savoir si t'avais une chance de la voir. tu caches pas son existence, ni même ce qu'elle contient. tu te contentes juste de refuser quand elle te demande si elle peut y goûter, elle aussi. tu crèveras avant de lui dire oui. surtout quand l'aiguille est déjà entrée dans ta chair. plus pour ça que pour le reste, honnêtement. passer après elle, lui prendre l'horreur des doigts après l'avoir utilisée, tu t'en fiches. mais tu refuses qu'elle puisse attraper la mort par ta faute. c'est pas un ordre. tu me demandes, je te réponds. c'est une discussion, hera. par contre, tu y touches et je la plante là où ça t'empêchera de bouger. tu lui réponds simplement, menace gentille, toujours avec ce cran d'humour que tu sembles avoir à chaque parole, ce soir. mais avec en plus ce ralentissement dans la voix, ce mélange dans tes mots. parce que c'est bon, tu les as sentis, les effets. tu gardes dans ta tête ton petit commentaire sur ses études, qui devraient lui faire comprendre au moins un minimum les bases d'une conversation. mais elle a raison, y a un ordre, dans tout ça. mais tu le nies. ce serait avouer que t'en as encore quelque chose à faire. plus ce soir. même si, à peine son genoux frôle le tien, tes yeux dérivent et observent, fixent, phasent. ton peu de concentration est dessus, même s'il est flou à tes yeux. t'as envie d'y poser ta main, le caresser comme tu le ferais habituellement. elle va pour le faire, la main, mais elle s'arrête en plein vol pour remonter vers le joint, tendre les doigts pour en avoir un peu. elle prend un malin plaisir à prendre de longues taffes dessus, avant de parler. toujours pas pour toi. c'est pas grave, t'attends, tu l'auras. le voleras si elle ne te l'offres pas. elle tire une nouvelle fois dessus avant de te le proposer. tu hoches la tête, comme pour dire merci. il est à quelques centimètres de tes lèvres quand tu parles, tu peux le sentir à chaque mot. il en faudrait beaucoup pour qu'ils captent un truc. ils ont probablement encore prévu un truc bizarre, les connaissant... tu laisses le carton se poser sur tes lèvres. l'aspiration qui laisse la toxicité entrer dans ta bouche puis tes poumons. je voulais peut-être être seul, t'en sais rien. tu recraches la fumée vers elle. mouvement derrière elle, du coin de l'oeil, tu vois juste mikey se redresser. s'asseoir sur sa blonde, face à face. un jour t'apprendras son nom. mais t'en as vu assez pour l'instant, alors qu'ils semblent dans leur propre monde. tu veux pas en connaître les détails, t'as pas envie de finir traumatisé à vie par deux gamins excités par le moindre contact. t'attrapes à peine les mots qui te sont destinés, trop occupé à te déconcentrer. tu rigoles à ses mots. t'empêches, t'enchaînes, alors que t'as juste envie de lui dire. que toi, tu l'aimes bien, cette contradiction. tu l'adores, tu la vénères, par moments. tu te noies dans le mouvement de la commissure de ses lèvres qui remonte légèrement. tu ferais tout pour mettre un stop aux situations pour mieux l'observer. à chaque fois. elle tente de récupérer le joint entre tes doigts. t'en lèves un pour lui demander d'attendre, prends une grosse taffe avant de le lui laisser à nouveau. t'es légèrement confus. tu comprends pas tout. tu recraches la fumée, en toussant un peu. plus à cause de ton incompréhension qu'autre chose. pourquoi il se foutrait de ta gueule ? pour être venue ? y a des connexions qui se font déjà plus, t'as laissé ton cerveau aux côtés de la seringue, du flacon, sur la table basse. elle tend à nouveau le joint et tu le prends. cherches ton verre des yeux, sur la table. introuvable. tu soupires, tant pis, bouche restera pâteuse et les mots seront incompréhensibles au bout d'un moment mais ce sera plus ton problème. tu changes le joint de main, le portes à ta bouche une nouvelle fois. poses enfin l'autre sur son genoux, caresses du pouce sans y faire trop attention. en examines la courbe et les creux comme s'il s'agissait d'un sujet d'étude. à la limite de prévenir si une bosse n'est pas censée être là. tu laisses la fumée sortir. fin de sa punition dans ton corps. mais du coup ? pourquoi t'es venue, au juste ? tu le sais bien. tu penses le savoir. tu simules l'ignorance mais tu sais. t'as juste envie de voir si elle est capable de le dire.
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Hera Marshmembers  too many secrets
Hera Marsh
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âge : 07.12. flemme des vingt six ans en fin d'année. sera sûrement banale comme toutes les autres années, cette journée.
statut civil : quatre ans, c'est long, elle a cassé le cercle vicieux de le prendre et de le jeter pour une pseudo fierté. fiancée à alastair, parce qu'il faut jamais faire les choses à moitié. crève d'amour pour sa belle gueule, et ça, ça vaut l'coup d'encaisser les mauvais moments avec lui. ça finit toujours par en créer des bons.
occupation : après des mois sans rien, elle est enfin repartie sur le monde du travail. employée à la salle d'arcade sur foothills village. répare parfois les machines et tente d'arnaquer ses potes pour venir dépenser leur argent là.
habitation : c'est surprenant, de quitter les bas quartiers pour ceux qu'on trouve beaux. a emménagé avec alastair, à partager le loft sûrement dix fois plus grand que son ancien studio. chestnut district, n°001. ouais, ça fout une claque.
nbre de mots : je dépasse pas les 700 mots.
couleur rp : #339999
disponibilités : disponible :

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alastair
milo
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cible de scandale ? : Oui
trigger warning : hera : dépression, délinquance, violence infantile, violence physique, sang, idées suicidaires, vulgarité, conflits familiaux, sexe, consommation de tabac et de drogues, adultère, divorce, troubles alimentaires, potentielle pyromanie, mutilation, mort d'un parent (père).
moi : à discuter en amont.

(#) Dim 19 Nov - 18:01

j'te jure l'absence elle est méchante


@Alastair Duke@Hera Kingsnorth
outfit ✧

c'est sûrement la soirée de trop, comme toutes celles d'avant, comme j'tente de me faire rentrer dans le crâne que c'est jamais forcément la meilleure idée. ça recommencera demain, après-demain, avec la même pensée, chassée d'un coup de shit dans les poumons. j'sais pas encore, pourquoi j'ai foutu les pieds ici alors que ma mémoire a totalement effacé l'existence de son hôte. mais elle est unique, cette maison, est en décalage, rentre pas bien dans l'allure un peu chic du quartier. le toit jaune attire l’œil, gueule que c'est l'anniversaire du gosse de ses murs, gueule que c'est là qu'on enterre l'idée de revoir papy dans son jardin. là où y'a le sexe passionné, les engueulades à se tuer les cordes vocales, les dîners à rire en communion, ou la bouffe en solitaire devant un programme à chier sur les chaînes qu'on regarde même plus avec intérêt. ouais, elle m'inspire tout ça à la fois, le genre de vie que je bouffe qu'à moitié. parce que je sais pas vivre l'une des parties correctement, et que l'autre me colle à la peau. comme lui. c'est pour lui que j'ai mis les pieds dans cette maison, pour lui que j'ai directement pris la direction du sous-sol, à me faire suivre par les deux plus jeunes qui se bouffent du regard. ouais c'est sûr, y'a une belle alchimie, des corps qui se savent pas se séparer. ça reste beau, pas vrai ? ouais, trop, sûrement. faut les envier un peu fort, faut les envier un peu moins, sinon ça reste bloqué dans la tête, l'image que je tente de réprimer. parce que c'est ça, c'est pas lui que je rejette, c'est mes idées que tout puisse recommencer, à l'envers. l'abandon avant, le bon après. je sais plus vraiment, je crache juste ma fumée, blanche, pure, putain ce qu'elle est belle, elle. elle a l'emprise totale de moi, ou c'est alastair qui peuple mes insomnies et qui cause mes arrêts cardiaques. je sais plus vraiment, j'ai plus réellement de souvenir de ce qui se trame quand je trouve pas le sommeil. je pense juste à cette aiguille, à la sensation qu'elle aurait à s'enfoncer dans ma chair, à me bousiller un peu la veine. ça en vaudrait le coup. je louche sur elle, sur les effets qui m'donnent envie. il refuse, ça me gonfle. il refuse, mais j'comprends, j'veux pas choper la mort de cette manière. il refuse et ça me fait râler. prendre ça pour un ordre ? quelle mauvaise idée. puis la menace fait sourire, plisser du nez, avant de lever les yeux au ciel. toujours ce maudit sourire sur les lèvres. fuck adé, c'est ça qui m'excite. continue de me parler comme ça, j'pourrais pas me retenir. et je sais vraiment si c'est de l'humour, je sais pas si c'est réellement le cas. cogner nos genoux, c'est plus une caresse, c'est obtenir ce qu'il pourrait me refuser - il en a plus rien à foutre, ce soir. et ça m'effraie. ça m'embête. ouais, c'est mon total inconfort quand j'passe mon temps à le faire dévier de moi. tirer, long, deux fois. lui donner. pas jeter mon dévolu sur les deux autres personnes qui forment le reste du trio improbable. sûrement baiser dans un coin. partir, dans leur monde. partir hurler, et on les entendra faire rougir les plus malsains. ouais, même eux savent plus où se foutre quand ils sont dans les parages. et putain ce que j'irais bien lui voler la fumée, soufflette je désire, me bouffer la lèvre inférieure juste en regardant les siennes recracher le joint. rien à foutre de ce qu'il a dit, j'crois que je fantasme. admire, phase, transe. appelez ça comme vous voulez. j'suis plus là, ailleurs, regarde les mots se former, être jetés, mais j'arrive pas à mesurer le ton. et j'crois qu'on est deux, à plus bouger, à se regarder comme deux abrutis, comme-ci le monde devait s'arrêter, là, tout de suite, sous un seul ordre de nos regards. puis la question m'extirpe, me fait relever les yeux vers lui, pour sortir, las : j'ai dit qu'on venait, mais pas pour t'voir. j'ai foiré mon propre plan. pas de verre. rien. juste une gorge sèche, une bouche pâteuse. rien, pas de quoi s'abreuver. juste de lui. contact me fait soupirer, encore une fois. à profiter des caresses, à vouloir récupérer mon précieux, qui fume dans son autre main. mais la mienne vient, quérir le bas de sa cuisse, presser, légèrement, ressentir que ça puisse se tordre sous moi. puis je sais pas quoi répondre, pas la vérité, ça donnerait un trop gros coup dans la fierté. j'sais pas ne pas te voir. j'pense pas être capable de ça. de la consommation excessive de lui, pas assez, j'ai pas assez mes doses. je râle un peu, dans mon crâne, j'ai besoin de ressentir les effets un peu plus intensément. alors j'sais pas vraiment, ce qui se trame. à juste me pencher, à venir plonger la tête dans son cou. juste ça. juste un baiser. un deuxième. remonter à l'oreille. j'sais pas si ça peut déraper, je sais pas si ça accuse le coup des soirées trop longues sans lui. pose une seule question, je te jure que je t'étouffe. menace, lancée, animosité, sûrement pas crédible. parce que j'attrape sa mâchoire. appuie fort sur ses lèvres, des miennes. l'embrasse. besoin avide de lui. je m'en fous, des retombées demain. mais là, j'ai juste besoin de ça. besoin de sentir qu'il est réel, lui aussi.
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