We deserved this moment w/ Vicky #5

14 février 2022  « Me dit pas que tu préfères être derrière ton comptoir ce soir ? » Je ne peux empêcher mes lèvres de s’étirer doucement pour laisser apparaître un léger sourire sur mon visage, alors que mon attention est toujours portée sur ce que je suis en train de faire avec mes mains. Préparation d’un cocktail spécial sur la carte du bowling, un cocktail spécial cupidon en cette journée spéciale pour les amoureux, pour un alcool spécialement français que j’ai pris grand soin de commander il y a quelques mois pour une soirée réussie. « Alors je te dirais rien. » C’est à un habitué que je suis en train de répondre, alors qu’une fois le shaker en main, je me permet de poser mon regard sur lui, continuant cette préparation, en remuant frénétiquement le cocktail en cours de préparation. « Sérieux mec ? Tu peux pas me dire que tu préfères être dans ce bowling avec tout ce monde, plutôt qu’en charmante compagnie ! » J’ai toujours eu beaucoup de mal à comprendre le concept de la saint Valentin, malgré la minutie que j’ai prise pour l'événement au sein du bowling, après tout, pourquoi avoir besoin d’une journée pour exprimer ses sentiments ? C’est un concept qui est capable de m’échapper, en même temps que jamais je n’ai eu l’occasion d’avoir la moindre envie de passer cette journée spéciale en compagnie d’une femme que je puisse aimer, la faute à un père beaucoup trop envahissant au sein de ma vie privée. C’est sur Véronicka que mon regard vient se poser, alors que je ne cesse de frapper le shaker, ne pouvant empêcher un léger sourire au coin de mes lèvres de se présenter. Mes iris sont posés sur elle, mais je ne fais pas attention à ce qu’elle est en train de faire près des pistes de bowling, une chose est sûr, depuis qu’elle a fait son entrée dans ma vie, elle n’a cessé d’apporter de l’action dans ma vie, peu importe le sens des sensations. « C’est exactement ce que je te dis. » C’est un sourire amusé présent sur mon visage, que je viens lui répondre, alors que je verse le cocktail dans les deux verres, n’oubliant pas la commande que j’ai pu recevoir il y a quelques minutes à peine.

Je ne peux m’empêcher de revenir derrière le comptoir, après une fermeture assurée avec l’aide précieuse de Véronicka, ne manquant pas de prendre une grande inspiration, pour remplir mes poumons d’air, un peu la seule occasion de la soirée. Je me suis préparé à une soirée forte en influence, mais pas une soirée forte en intensité, qui ne nous a pas permis de pouvoir souffler ne serait-ce qu’une minute. Mes deux mains présentes sur le comptoir je ne peux empêcher mon regard de venir trouver avec une grande facilité la demoiselle qui fut mon binôme durant les dernières heures. Mes iris n’ont pas le moindre mal à flirter avec les courbes de son corps, alors qu’elle est en train de couper le courant sur les derniers jeux d’arcades présents au sein de cet établissement. Je ne peux m’empêcher de repenser à cette conversation que j’ai eu un peu plus tôt dans cette soirée, alors qu’elle est en train de provoquer à nouveau un sourire sur mon visage, sans même qu’elle n’en ait conscience. Mes yeux se détournent d’elle à l’instant même où elle ne me tourne plus le dos, dès les premiers pas qui lui permettent de venir s’approcher du comptoir où je me trouve. « On a résisté à cette soirée ! » Je ne peux empêcher un sourire se présenter à mes lèvres, pour une intonation amusée face à ce que je viens de lui dire. « On a mérité une petite récompense, tu ne penses pas ? » Une question qui s’échappe de mes lèvres, sans même que je prenne le temps d’y réfléchir, pourtant cette idée est bien loin d’être bête. On vient de courir un peu dans tous les sens au cours des dernières heures de cette soirée, sans avoir l’occasion de pouvoir se poser et reprendre notre souffle, nous avons mérité que le temps à venir puisse être pour nous désormais. « Dis moi que ta sœur ne t’attend pas ce soir et que tu n’auras pas la moindre raison pour refuser un repas rien que toi et moi. » Je ne suis pas en train de rêver, je suis bien en train de proposer à mon employée un repas en ma compagnie et le pire dans cette histoire, c’est que je ne réalise pas l’heure tardive responsable de la fermeture des restaurants de cette ville. Ma place derrière le comptoir est rompue, puisque je suis en train de le longer pour en faire le tour et me permettre de me rapprocher de Véronicka, un sourire toujours présent sur mon visage, pour un regard qui ne semble pas décidé à la quitter.

« Je pense que tu as bien raison ! Mais je pense aussi que tu as une idée derrière la tête, je me trompe? » Je ne peux masquer ce sourire qui est en train de se présenter sur mon visage, en même temps que je suis en train de suivre le même chemin que Véronicka, en me penchant vers le comptoir, en permettant à mes coudes de se poser dessus, pour me retrouver à distance réduite du visage de ma partenaire du soir. Sans doute une distance risquée, quand on est au courant du passif qu’il y a entre nous, dans ce même bowling, mais c’est bien un risque que je suis en train de prendre, pour lui proposer un repas en ma compagnie. Je ne peux faire disparaître mon sourire en voyant la surprise apparaître sur son visage à ce que je viens de lui proposer, alors que je suis en train de me redresser, pour me permettre de faire le tour du comptoir, pour nous permettre de ne plus rien avoir entre nous. « Alors je te le dis, je n'ai pas la moindre raison de refuser, je suis toute à toi ce soir … Euh … avec toi. » C’est un rire que j’ai envie de laisser franchir la barrière de mes lèvres, face au double sens que les propos de Véronicka, mais qui vient mourir au fond de ma gorge, pour un sourire amusé qui ne semble pas quitter les traits de mon visage, pour un regard qui ne se détourne pas de celle à qui je viens tout juste de donner rendez-vous, le soir même de la saint Valentin. « C’est exactement ce que je voulais entendre. » Une réponse que je lui apporte, sans donner plus de précision, sans cibler réellement de quelle partie de ses propos je suis en train de parler. Le contact de ma main sur le comptoir est rompu pour m’approcher de l’entrée du bowling, pour baisser le rideau métallique, pour fermer officiellement les lieux, après une soirée qui ne fut pas de tout repos. Je ne sais pas si durant ces quelques longues secondes Véronicka est venue s’adresser à moi, une ouïe perturbée par le bruit d’un rideau se déroulant pour trouver contact avec le sol. « Mmhh je ne sais pas ce que tu avais en tête, mais si c'était un restaurant je pense que c'est raté au vu de l'heure … » Une attention qu’elle réussit à avoir, avec mon regard qui se tourne dans sa direction, pour un sourire qui parvient à nouveau à étirer mes lèvres. « J’avais bien vu l’heure … » Une simple réponse que je suis en train de lui donner, alors que je m’avance doucement dans sa direction, avec l’envie de quitter ce bowling, que l’on puisse vivre notre réelle soirée à nous. « Mais tu as de la chance, il reste un restaurant à Klamath, qui est quasiment pas connu, qui est ouvert encore à l’heure qu’il est et c’est exactement là-bas que je veux t’inviter. » Je suis sûr de moi et c’est une émotion que je n’ai pas de mal à retranscrire dans le son de ma voix, que je ne suis pas capable de masquer dans les expressions de mon visage, alors que ma main trouve contact avec le bras de Véronicka. « En plus, contrairement à la dernière fois où tu y es allée, il ne devrait pas y avoir de mannequin couverte d’une chemise … On sera rien que tous les deux. » Voici un indice donné à ma partenaire du soir, sans avoir pu m’empêcher de jouer de cette allusion, de cette rencontre qu’elle a faite avec Quinn, le lendemain de notre baiser, à mon appartement, pour le début d’un quiproquo d’un mois.

« Tu avais raison, pas de jolie blonde à l’horizon. » La première partie de cette soirée de saint Valentin est désormais derrière nous, nous avons quitté le bowling pour rejoindre mon appartement et la seconde partie, celle qui va nous permettre d’être rien que tous les deux, sans la présence de Quinn, une remarque qui ne manque pas de me faire sourire, un sourire amusé qui est en train d’étirer mes lèvres alors que je suis en train de poser ma veste sur le porte manteau. « Je t’avais prévenu, c’est pas ce soir que tu la verras. » C’est le regard posé sur mon bras, que je viens de reprendre la parole, en même temps que je suis en train de remonter les manches de la chemise que je porte sur le dos, que mes pas m’amènent pas habitudes jusqu’à la cuisine qui est la mienne depuis plusieurs années maintenant. « Alors Chef, quel est le menu de ce soir ? » Je ne peux masquer ce sourire qui est en train de se présenter à mon visage, alors que j’arrête le moindre de mes mouvements, dès l’instant où ma main entre en contact avec la porte du frigo, tournant mon attention vers ma compagne du soir, vers celle qui est plus que de raison dans mes pensées. « En tout cas je te préviens, si tu comptes sur moi pour t’aider, je ne te garantie pas le résultat ! » Le rire de Véronicka est en train de parvenir à mes oreilles, alors que je détourne mon chemin du frigo pour commencer par servir à boire à mon invitée du soir. Un verre posé sur le comptoir contre lequel elle se trouve, je suis en train de le remplir d’un rouge, d’une cuvée gardée spécialement de côté pour ce que je peux appeler une grande occasion, comme une saint valentin de dernière minute. « Spaghetti à la sauce arrabiata, burrata et coppa. » Je ne suis pas italien, je n’en ai pas le moindre gène qui soit en train de couler dans mes veines, c’est la raison qui fait que j’ai besoin de temps et d’une grande articulation pour ne pas me tromper dans la prononciation de ces mots italiens. « Je n’ai pas besoin de toi, ce soir tu ne fais rien, tu apprécies et je m’occupe de tout. » Je peux aussi m’occuper de toi. « Tu vas pas souvent au restau toi, non ? » C’est avec un air amusé, que je suis venu lui poser cette question, faisant référence à la façon dont je me suis prit pour l’inviter, pour qu’elle accepte de me suivre jusque chez moi en cette soirée des amoureux.

« Ça se voit tant que ça ? Il faut être en bonne compagnie pour aller au restaurant … » Je ne peux m’empêcher de lever mon regard en direction de Véronicka, un sourire joueur sur mon visage, une regard amusé par la situation, n’ayant pas la moindre difficulté à entendre ce qu’elle vient tout juste de me dire, ne pouvant passer à côté d’une telle occasion. « C’est exactement ce que tu fais ce soir. » Elle n’est pas à l’aise, il y a cette gêne qui est en train de se présenter à travers les traits de son visage, qui me touche tout autant qu’ils sont en train de m’amuser, pour un coeur qui ne peut s’empêcher de cogner un peu plus fort contre mon torse. Mes iris suivent le mouvement de ses mains, alors que je suis en train de poser la bouteille de vin, après avoir pris soin de me servir un verre, son intention est de changer discrètement une conversation qui ne l’a met pas à l’aise. « A notre moment de détente bien mérité. » C’est dans un profond silence, que je suis en train de lui répondre à travers un clin d’oeil qui lui est adressé, une seconde avant le tintement de nos verres, pour me laisser aller à la douceur de ce rouge que je suis en train d’apprécier, de l’arôme qui est en train de se répandre dans ma bouche et que mon palet est en train d’apprécier.

« Tout ça semble bien trop appétissant. » Mon attention est portée sur ce que je suis en train de faire, sur la présentation des assiettes, en servant les spaghettis, après tout ne vient-elle pas de m’avouer ne pas avoir l’habitude d’aller au restaurant en charmante compagnie ? Ce soir est l’occasion de changer ses habitudes, de lui offrir ce moment un minimum parfait. « Tellement appétissant, qu’il y en a un qui commence à s’impatienter. » Je ne peux m’empêcher de saisir cette perche que son estomac est venu me donner, en ayant eu le manque de discrétion de faire entendre sa faim, sans doute aucunement aidé par l’odeur d’un repas presque terminé qui parfume la cuisine de mon loft. « Je peux faire quelque chose ? » « Tu veux faire quelque chose … » C’est une question, qui n’est pas en train de sortir comme tel à travers le timbre de ma voix, alors que mon regard est en train de croiser celui d’une Véronicka qui est proche de moi, pour un battement de mon coeur qui se manque, alors que l’atmosphère est complètement en train de changer. Je ne porte plus mon attention sur la cuisine que je suis en train de faire, mes iris s’offrent le luxe de dévier chemin en direction des lèvres de cette blonde envoutante, en même temps que je suis en train de combler la distance qui me sépare de celles-ci pour venir l’embrasser. Sans doute est-ce un geste déplacé de ma part, quand bien même ce baiser n’est pas le premier que nous partageons, mais je ne peux résister à cette folle tentation, alors que mes mains rompent complètement le contact avec la cuisine, que mes doigts trouvent place sur l’une de ses joues.

A nouveau je peux sentir le contact de ses lèvres contre les miennes, des retrouvailles que je n’ai pas pu empêcher, beaucoup trop attiré à cette femme remplie d’une maladresse attendrissante. Ma main a su trouver son chemin pour venir se poser sur sa joue, mes yeux sont fermés, alors que je suis en train de savourer chaque secondes qui sont en train de passer à l’horloge, que je suis en train d’apprécier le contact des doigts de Véronicka contre ma nuque, que je suis en train de sentir son corps s’approcher du mien. Ce n’est pas la première fois que l’on s’embrasse tous les deux, depuis le jour de notre rencontre, un quelque chose a eu lieu entre nous, une attirance s’est faite avec seulement une étincelle qui a su prendre directement, sans que je ne sache réellement comment une telle chose soit possible. Contrairement à cette soirée dans le bowling, elle ne semble pas avoir l’envie de fuir le loft dans lequel elle se trouve, elle ne semble pas ressentir l’envie de s’éloigner de moi à vitesse grand v, contrairement à ce baiser que je lui ai offert chez elle, celui-ci n’a rien de chaste, celui-ci n’a rien d’un simple baiser en guise de preuve à croire sur parole. Je suis en train d’oublier le repas, toujours présent sur le feu, alors que ma main a rompu contact avec sa joue, pour venir prendre place sur ses hanches, pour venir passer mes doigts dans son dos, pour l’approcher de moi. « Ce serait dommage de gaspiller tant d'efforts …et promis, cette fois je ne compte pas m'enfuir. » Mon visage reste proche de celui de Véronicka, alors que ma langue est en train de passer sur ma lèvre, son regard a su se frayer un chemin jusqu’au repas en cours de cuisson que j’ai laissé de côté. Ma respiration se veut courte, se veut rapide, se veut surtout complètement irrégulière, alors que mes lèvres sont en train de laisser un sourire s’étirer sur mon visage, pour un léger rire qui est en train de se faire entendre. Je n’ai pas le temps d’apporter une réponse, qu’à nouveau je puisse sentir les lèvres de Véronicka contre les miennes, à nouveau nos langues parviennent à se trouver, ça serait dommage de gaspiller, mais nous sommes tous les deux du même avis à cet instant précis. « Une seconde … » Un baiser que je suis en train de rompre avant l’heure, mes iris parviennent à se poser à nouveau sur cette blonde, qui sait faire chavirer un cœur qui est en train de battre à tout rompre. Je ne suis pas l’homme le plus facile à comprendre au monde, principalement du genre énigmatique, ce soir pour autant, il n’est pas difficile de comprendre à travers les traits de mon visage, à travers cette lueur dans mon regard, qu’elle me plait, que j’ai envie d’elle, que je ne veux pas rompre ce moment. Mon attention est en train de se tourner vers les plaques de cuisson, que je suis en train d’arrêter, mon choix sur la suite de cette soirée est fait et ce n’est pas celui de remplir nos estomac, pour plus tard. Cette soirée est le soir de la saint Valentin, cette fête des amoureux à laquelle je n’apporte pas la moindre importance, durant laquelle je ne suis pas sûr d’en avoir passé une en compagnie d’une femme, ce soir je suis en présence de cette blonde qui ne me laisse pas indifférent. Mon regard trouve à nouveau contact sur elle, les battements de mon coeur sont en train de résonner dans ma tête au rythme où il cogne contre mon torse, alors que mes mains sont en train de venir retirer les lunettes qu’elle porte sur son nez, un instant de silence durant lequel mes iris ne rompent pas le contact avec ceux de Véronicka, je ne peux pas expliquer ce qui est en train de se passer entre nous, je ne sais pas comment est-ce qu’elle arrive à m’attirer à elle avec autant de facilité, ce que je sais, c’est qu’elle me plait, que j’ai envie de l’embrasser et c’est ce que je suis en train de faire. C’est une part de passion que je suis en train de mettre dans cet échange entre nous, c’est avec envie que ma langue entre en contact avec la sienne, alors que je suis en train de retirer, avec mes mains, cette petite veste qu’elle porte sur ses épaules, ne laissant pas le doute sur mes intentions.

Je ne pourrais expliquer ce qu’il se passe avec Véronicka depuis notre toute première rencontre, une connexion qui s’est faite à la seconde où mon regard est venu se poser sur elle et ce n’est pas de mettre fait passer pour un employé qui est venu changer quoi que ce soit. Une confiance placée en elle, que je ne peux comprendre, une attirance qui existe pourtant bel et bien entre nous, ce n’est pas sans raison que l’on se retrouve à s’embrasser tous les deux. C’est un tournant qui est en train de se produire pour cette soirée de saint Valentin, alors que je sens le tissus du haut que je porte sur mon remonter, doucement, laissant un léger vent de fraîcheur entrer au contact de ma peau, de mon torse qui se dénude et de nos lèvres qui se quittent. Un léger sourire est en train de se présenter au coin de mes lèvres face au regard de Véronicka qui est en train de flirter avec mon corps, avec les muscles qui y sont présentés. Tout est en train de se produire rapidement, tout est en train de se faire naturellement, alors qu’une nouvelle fois, un nouveau baiser est de mise entre nous, un baiser qui se veut un peu plus appuyer, un peu plus fougueux, alors que l’une de mes mains est en train de venir prendre place dans le bas de son dos. Je peux sentir ses doigts courir contre ma peau, je peux les sentir passer sur mon ventre, provoquant sur leur chemin de nombreux frissons que mon corps est en train de répandre en moi. Nul doute que nos intentions se trouvent être les mêmes et une nouvelle fois un sourire est en train de se présenter à mon visage, à l’instant même où la ceinture que je porte, n’est plus en état de fonctionner. « Plutôt adroite … » Je ne peux m’empêcher de reprendre ses deux mots, qui sont en train de franchir la barrière de mes lèvres, faute est de reconnaître que Véronicka est bien moins maladroite face à ma ceinture, que sur ce qu’elle a prit l’habitude de me montrer au quotidien. Cette ravissante blonde sait ce qu’elle veut et je suis un homme plutôt chanceux, puisque nos envies sont similaires, c’est sur le même chemin que nous sommes en train de nous diriger. Un mouvement des mes mains est suffisant, pour me permettre de relever cette jeune femme, qui ne me laisse pas indifférent, de venir passer ses jambes autours de moi, alors que j’ai besoin de quelques pas, pour m’approcher du plan de travail, pour venir l’a déposer dessus. Mes mains sont libres de tous mouvements, mes doigts sont en train de retirer le haut que porte Véronicka, un baiser qui est rompu, qui me permet de poser mes iris sur son corps, que je suis en train de découvrir pour la toute première fois. Une vision qui ne m’aide pas à calmer mes ardeurs, une vision qui au contraire, fait monter un peu plus cet état d’excitation, qui me pousse à retrouver ses lèvres avec énormément d’envie.