L'amnésie est dans certains cas psychologique

trigger warning : Mort, suicide, insultes, meurtre, relation abusive, abandon

Ilias Danversfeat stephen amell

âge, lieu de naissance C’est un 18 novembre 1984 que je suis devenu le premier enfant d’une famille déjà bien étrange en son genre. Originaire de Klamath Falls, je n’ai jamais connu une autre ville que celle-ci, beaucoup trop attachée à mes petites habitudes et me sentant chez moi, malgré le passé et des souvenirs disparus, sans doute un peu masochiste avec moi-même à trente-six ans.

genre Masculin.

origines, nationalité Si je ne porte qu’une seule nationalité, celle des Etats-Unis, un pays que je représente fièrement, je ne peux que reconnaître qu’entre les Danvers et les Greenberg, je suis porteur de plusieurs origines. Je porte en moi la classe des anglais, l’amour de la bière tel un écossais ( on oublie, je porte très mal le kilt ), Ach, je pourrais porter des salopettes verte et un chapeau tyrolien avec mes gênes allemande, mais ne comptais pas sur moi pour ça ! Pour finir, je porte 1/16eme de sang français/canadien, il est peu difficile de comprendre que mes ancêtres étaient principalement des européens.

occupation $$$$$$, La crise de la trentaine m’a permis d’arrêter de me réveiller le matin pour un emploi qui ne me plaisait pas, mais qui rapportait bien, pour devenir propriétaire du hanscam's bowling center.

statut civil En surface c’est un choix que j’ai fait, en profondeur c’est pour protéger n’importe quelle fille, principalement de mon père, responsable de beaucoup trop de rupture me concernant, c’est pourquoi je suis complètement célibataire.

orientation sexuelle Je suis tout ce qu’il y a de plus hétérosexuel, ouvert d’esprit, sans le moindre doute, mais il n’y a rien chez les hommes qui m’attire, je ne trouve rien d’excitant à travers une musculature apparente, ni même à la présence d’un service trois pièces entre les jambes, il n’y a que les femmes qui savent attiser ma curiosité et réveiller chacun de mes sens.

situation familiale Je suis le fils de Jonathan, psychologue aux manipulations incroyables, tel un parfait pervers narcissique, il sait se faire passer pour le père idéal, son manège marche sur beaucoup de monde, mais je n’en fais pas partit. Une mère avec qui j’ai toujours eu une très forte connexion, c’était si fusionnel entre elle et moi, que son décès a été tragique. J’étais si jeune au moment de son décès que je n’ai jamais mis en doute le rapport de son accident. Je suis l’aîné d’une famille qui a comme cadette une petite soeur, avec qui je suis très proche, nous vivons une belle complicité, bien souvent assombris par notre père, puisqu’elle et moi n'avons pas le même avis sur la question. Je suis également le père d'une petite fille Willow, ma plus belle merveille du monde, avec qui je vis depuis sa naissance. Une petite fille que j'élève depuis bientôt huit ans, comme un père célibataire, après la fuite surprise de sa mère, sans la moindre explication.

à klamath falls depuis C’est la seule ville dans laquelle j’ai posé mes affaires, je suis né ici et je n’en suis jamais parti. C’est ma maison, celle où je me sens bien, parce qu’elle me permet de garder un lien avec ma mère. L’idéal aurait été que mon père décide de plier bagages et d’en partir, mais ça serait beaucoup trop simple.

traits de caractère Je ne suis pas réputé pour avoir le caractère le plus facile au monde, je suis capable de faire preuve d’un grand calme, mais un seul petit détail et cette douceur s’envole en un éclat, remplacé par mon caractère tempétueux. Aussi loin que je m’en souvienne, j’ai toujours été quelqu’un d’orgueilleux, les années passent et je continue de travailler sur ce détail-là de ma vie, mais difficile de laisser ce trait de caractère de côté. Trente-sept ans approchant à grand pas, cela ne m’empêche pas de rester quelqu’un de déterminé, lorsque j’ai un objectif en tête, il me sera difficile de ne plus y penser, de passer à autre chose. Je n’ai pas ma langue dans ma poche, attention, mes paroles je les pense toutes, même sous l’effet de colère, ce qui me rend dans ces moments blessant. Du genre inventif et volontaire, je reste pourtant quelqu’un de très compliqué, n’ayant que très peu de doute en disant que même ma famille ne me connaît pas réellement, qualifié d’énigmatique dans une grande partie du temps.

29% intérêt richesse5% intérêt scandale13% intérêt popularité

cosmopolitan

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(un) Je souffre d’ablutophobie ou plus simplement de la peur de se noyer, j’aime l’eau, mais uniquement dans des endroits où j’ai pied. (deux) Je souffre d’une amnésie dont je n’ai même pas conscience, qui a eu lieu de mes 16 à mes 17 ans. (trois) Énigmatique, j’ai beaucoup de mal à parler de moi, de mon passé dont je ne suis pas toujours fier, principalement à cause d’un membre de ma famille. (quatre) Ayant un père psychologue, il est difficile d’avoir des conversations avec lui, étant en permanence analysé par celui-ci, nos rapports ont fini par totalement se détériorer, au point de ne plus avoir l’envie de le voir, de le recroiser. (cinq) Je n’ai jamais vraiment réussi à faire le deuil du décès de ma mère, la perdre à sept ans a été beaucoup trop brutal pour moi, pour endosser ce rôle de grand-frère à temps plein avec ma petite sœur. (six) Digne d’un fils à papa, je n’ai pas eu de mal à jouer de ses biens financiers, que ce soit pour quelques conneries d’adolescence ou encore pour le faire enrager, j’ai toujours pris un malin plaisir à agir pour nuir à sa réputation. (sept) Durant de longues années, je ne me suis jamais épanouie au sein de Klamath Falls News, gagnant bien ma vie, mais tournant en rond tel un lion en cage. Il m’a suffit d’une soirée au bowling et d’une discussion avec le patron pour apprendre qu’il a mis son affaire en vente, je n’ai pas mis longtemps avant d’en devenir le propriétaire.

Contrairement à d’habitude, cette journée est bien différente et si je n’étais pas un enfant de sept ans, j’aurais pu m’en rendre compte dès le début de cette journée, il me suffisait de poser les yeux sur ma mère, afin de percer son inquiétude et cette peur qu’elle avait depuis quelques jours déjà, qui n’avait cessé de grandir. Seulement, ce sont des choses que je n’ai pas vu, que je n’ai pas ressenti et qui me sont passées à côté, à défaut de ressentir une douleur au ventre à cause des tracas de ma mère, qui auraient pu me travailler tout au long de cette journée, j’ai eu la surprise de voir mon père venir me chercher à l’école avec dans ses bras une petite fille ayant tout juste passé le cap des un an. Ta maman m’a demandé de venir te chercher m’a-t-il dit, sans même s’arrêter là, c’est la la journée de maman aujourd’hui, j’ai passé la journée avec ta soeur et maintenant on va être tous les trois, jusqu’à ce que maman rentre. Quel enfant de sept ans, peut être capable de remettre en cause les dires de son père ? Moi je n’en ai pas été capable, alors contrairement à d’habitude, j’ai donné mon cartable à mon père, pour marcher ses quelques pas qui séparent l’école de notre maison. On ne parle pas ici d’une maison de bas étage, l’homme qui m’accompagne est un psychologue de renom, installé dans un petit village, mais dont les villes alentours sont prêtes à faire le chemin pour le consulter. Une fois encore, aux yeux du petit garçon que je suis, pour moi tous ces mots ne sont que du charabias que je ne suis pas capable de comprendre, pour moi, mon père guéris les têtes, ni plus, ni moins. « Papa ? » Ce sont les mots que je prononce en le regardant, la tête relevé, proche d’un torticoli, alors que ses yeux sont en direction de notre maison, cette maison qui montre les moyens de la famille Danvers, mais cet argent aujourd’hui, ne va rien pouvoir faire pour nous. « Papa ? Pourquoi y’a la police ? » « Je ne sais pas Ilias. » Je suis envahi de questions en portant mon attention sur ces policiers qui viennent de se retourner et de se rendre compte de notre présence. Ils ne se sont pas trompés d’adresse, il n’y a pas d’erreur et il est possible de le comprendre en les voyant marcher jusqu’à nous. Où est-ce que se trouve ma mère ? Je veux ma mère ! J’aime mon père, quand bien même après cette tragique journée, ce sont des mots que je ne prononcerais plus, mais je suis proche de ma mère, il y a une fusion entre nous qui est incassable et surtout imbattable. « Monsieur Danvers ? Nous pouvons vous parler ? » « Oui … Oui bien sûr … Mais qu’est-ce qu’il se passe ? Ilias, tu peux t’occuper de ta sœur le temps que je parle avec ces messieurs ? » Non, je ne veux pas ! Pas que je n’aime pas ma soeur, bien loin de là, mais je veux entendre, je veux savoir pourquoi les policiers sont ici, mais je n’ai pas d’autres choix que d’abdiquer, comme toujours, du haut de mes sept ans et de prendre ma petite soeur dans mes bras. Comme tout enfant, j’ai mon petit caractère, je sais être têtu quand je l’ai décidé et avoir l’envie de contredire l’un de mes parents, bien que plus souvent mon père, mais dans un ensemble je suis un petit garçon qui se rapproche du caractère de ma mère, d’un calme assez surprenant, je suis capable de tout accepter, sauf aujourd’hui. « Monsieur Danvers, nous sommes désolé de devoir vous annoncer une telle nouvelle, mais le corps de votre femme a été retrouver dans le lac. » Je n’ai même pas monté quatre marches que je me suis arrêté dans les escaliers, asseyant ma petite sœur à côté de moi. Il me faut du temps pour comprendre, j’ai besoin de longues secondes pour assimiler ce que je viens d’entendre et c’est avec l’intervention de mon père que j’ai réellement compris d’ailleurs. « Vous êtes en train de me dire que ma femme est morte ? » Je ne comprends pas ce qui est en train de se passer, cette journée n’avait rien d'ordinaire dès le matin et elle semble poursuivre son chemin pour m’enlever la seule personne qui me comprenne réellement, l’une des seules personnes que j’aime dans ma toute petite vie. Comment est-ce que je peux vivre sans elle ? Je ne suis clairement pas prêt à une telle chose ! Elle n’a pas fini de m’apprendre à grandir, d’être ce petit garçon qu’elle aime tant, comment est-ce que je vais devenir ce fils qu’elle voyait en moi, si elle n’est pas là ? Je me retrouve dans un trou noir, je ne suis pas capable de décrire clairement ce qui est en train de se passer autour de moi, tout ce que je sais, c’est que j’ai la sensation de ne plus être maitre de mon corps, ma vision est trouble, les larmes coules toutes seules sans même que je ne puisse le contrôler et je peux clairement sentir que j’ai la tête qui tourne, en cette journée de février, mon coeur de sept ans est brisé et il est facile de comprendre que jamais il ne pourra être réparé.

Il est bien loin ce petit garçon que j’étais, celui qui avait la joie de vivre, toujours l’envie de rire et de faire le clown, aimant être aimé d’un maximum de personnes. Après ce vingt-six février, toute ma vie a changé, à commencer par cette relation que j’avais avec mon père, par cette entente qui n’est définitivement plus au beau fixe entre nous. La complicité que j’avais par le passé avec ma mère, je l’ai reportée sur ma petite sœur, qui a appris à grandir sans présence féminine, sans le moindre souvenir de celle qui l’a mise au monde. Bien des choses ont changé, cette discrétion qui définissait très bien le petit Ilias Danvers a laissé place à un véritable petit démon, qui en a fait voir de toutes les couleurs durant mes années scolaire, je ne compte plus les heures de colles que j’ai pu accumuler, au grand dam de mon père. Élève plutôt soigné dans mes devoirs, c’est principalement en dehors que je suis devenu un véritable petit monstre que l’on ne souhaite pas avoir comme fils. Désormais il me suffit de la moindre remarque, la moindre réflexion et je suis capable de m’énerver en une fraction de seconde, de m’emporter bien plus vite qu’il ne faille de temps pour le dire. Entre mon côté orgueilleux et le feu qui couve derrière cette apparence que je me force à garder, il suffit d’une étincelle pour que je sorte de mes gonds, que je laisse ce fleuve beaucoup trop calme, à une tempête totale. Le décès de ma mère a eu raison de cette enfance que je n’ai pas vécu au final, que je n’ai même pas eu le temps de commencer, me coupant cette envie de toujours avoir le mot pour faire rire les gens, de profiter de cette vie qui me semblait si belle à l’époque. J’ai eu la chance durant mes années de lycée de découvrir l’amitié de la popularité, j’étais toujours entouré et personne n’avait peur de me suivre dans mes idées, les plus farfelus, mais j’ai également appris que ses amitiés ne durent pas, qu’elles finissent toujours par se terminer, qu’on sache pourquoi ou comme moi, qu’on ne le sache pas. Il m’aura fallu attendre la vingtaine passée pour réellement découvrir l’amitié et pour réellement me sentir libre d’être moi-même. Cette nuit n’a pas été le fruit de ma première fois, mais contrairement à mes habitudes, le réveil a été quelque peu différent, alors que je ressens encore les effets néfastes de l’alcool ingurgité la veille. « Tu pars déjà ? » Autant dire, que je suis en plein dans le cliché du gros connard, qui vient d’avoir ce qu’il voulait avec une fille et qui prend ses affaires pour partir. « Oui, je dois y aller, c’est mon premier jour de stage au journal et j’suis déjà en retard. » J’ai toujours aspiré à devenir journaliste, tout du moins, c’est ce que je crois être mon avenir, c’est pour cette raison que je me suis plongé dans ces études et que je suis en train de poursuivre avec ce tout premier stage. L’envie est forte de retourner m’allonger dans ce lit, de venir la reprendre dans mes bras. Au lieu de ça, je suis en train d’enfiler un tee-shirt assez simple sur moi, mon regard allant de ce que je suis en train de faire, à celle qui est l’amante de la nuit précedente. « On se voit après ? » La main dans mes cheveux, je ne cherche même pas à savoir à quoi je peux ressembler, je laisse un sourire se montrer petit à petit. « Bien sûr ! Tu veux que je revienne ici après ou on se rejoint quelque part ? » « Qu’est-ce que tu penses de passer la soirée au lac, rien que tous les deux ? » Dans ma quête de préparation en express, je me retrouve arrêté dans ma course à la proposition qu’elle vient de me faire, me figeant sur place en même temps que mon sang devient de la glace. « Je ne suis pas très fan de l’eau… Ça te dérange si on se retrouve plutôt au bowling ? Je suis le roi des spare ! » « Va pour le Mulligan ! » Il y a une grande différence entre le bord d’un lac et un bowling, mais c’est un endroit que je préfère, où je me sens beaucoup plus à mon aise, éloigné de cette peur qui est en moi. Je ne saurais expliquer cette peur qui arrive à me figer sur place, comme ça vient de se produire, mais l’idée même de me retrouver près d’un plan d’eau est impossible à mes yeux, ayant bien trop peur de me noyer. Je peux classer cette crainte derrière moi, programme modifié, pour mon plus grand soulagement, c’est pourquoi je pose une main sur le lit, j’approche mon visage du sien, appréciant ce baiser que l’on est en train de partager, le dernier avant que je ne quitte les lieux.

Le temps a beau être passé depuis plusieurs années, rien ne semble s’arranger avec mon père, au contraire, c’est devenu de pire en pire, ne laissant pas la moindre chance d’un minimum d’amélioration. Et ce n’est pas aujourd’hui que les choses vont changer, comme il sait si bien le faire, il s’est rapproché de ma petite amie, encore une fois, donnant cette image de père modèle, d’homme parfait, laissant bien trop de tension au sein de mon couple. Ce n’est pas la première fois qu’il me le fait, c’est devenu une hantise à chaque femmes que je rencontre, j’ai mis fin à certaines relations pour ne pas vivre ce moment, pour ne pas lui donner ce plaisir. Il sait quoi dire, tout ce qui est parfait, pour venir changer une relation qui est parfaite, en une confusion tellement grande, qu’il est impossible de pouvoir revenir en arrière. « Alors c’est ça que tu voulais ? T’es content de toi ? » Cette colère, cette rage que j’ai contre lui, je ne peux pas la contrôler, je n’y arrive pas, je n’en suis pas capable, la seule chose que j’ai envie, c’est de venir lui mettre mon poing en pleine tête. « Elle n’était pas faite pour toi Ilias, tu le sais comme moi, vous étiez complètement différents tous les deux. » « Et alors ? Qu’est-ce que ça change ? Tu crois vraiment qu’il n’y a que des gens qui se ressembles qui peuvent être ensemble ? Pourtant regarde toi avec maman, vous n’aviez rien en commun, absolument rien ! » Je n’arrive pas à contrôler cette haine qui grandit depuis bien trop d’années contre lui, je ne peux pas cacher ce regard noir qui lui est destiné, je ne peux pas prononcer le moindre mot, sans aucune agressivité dans ma voix, c’est ce qu’il souhaite, je le sais, mais je ne peux pas faire autrement. « Tu dis ça parce que tu ne m’apprécies pas, mais ta mère et moi on avait bien plus de point en commun que tu ne pouvais en avoir avec ton ex-copine. » Je déteste ces moments avec lui, parce que cela finit toujours de la même manière, il réussit à m’énerver, à me pousser à bout, que j’en vienne à laisser exploser toute colère contre lui, alors qu’il reste d’un calme olympien face à moi, le son de sa voix qui ne montre qu’un homme serein et qu’est-ce que ça a le don de me pousser à bout encore un peu plus, il ne manque qu’un sourire sur son visage, pour que je ne cède et ne vienne le frapper. « Ex-copine ? Est-ce qu’au moins une fois, une seule fois dans ta vie tu ne peux pas reconnaître la vérité et admettre que la seule chose que tu voulais, c’était venir foutre la merde dans mon couple ? » « Pourquoi est-ce que tu me dis ça ? Je suis ton père, je ne veux que ton bien. » « Arrêtes ce petit jeu avec moi, ça ne prend plus et tu le sais. Je sais qui tu es, je connais l’homme qui se cache derrière ce psychologue et s’il en porte le nom, il n’a rien d’un père pour moi. » « Tu dis ça uniquement parce que tu es énervé, on sait tous les deux que cette colère que tu as en toi, tu ne peux pas la maîtriser, mais ça ne changera rien au fait que tu restes mon fils. » Il a raison, cette colère je ne peux pas la contrôler, pas quand je me retrouve en face de lui, il a cette facilité de savoir où appuyer pour que je n’en sois plus capable. « JE NE SUIS PAS TON FILS ET TU N’ES PAS MON PÈRE ! » Mes doigts agrippant le tee-shirt qu’il porte, je laisse toutes haines possibles s’exprimer, en laissant son dos rencontrer le mur sans la moindre douceur. « J’espère que maintenant tu vas comprendre le message, parce que si je te recroise à nouveau, je te promet que tu verras enfin cette colère que je ne pourrais pas maîtriser ! » Un affront entre son regard et le mien, une menace que je viens de lui faire, quelques secondes qui s’écoulent et je relâche ce tee-shirt que je tenais, dans un geste brusque, tout autant que précédemment. Mes mots, je ne les regrette pas, au contraire, bien trop longtemps que j’ai envie de les lâcher, que j’ai envie de les lui dire, c’est désormais chose faite.

pseudo, prénom C’est toujours moi les copains, je suis toujours Elodie et je porte toujours le pseudo de squad, je ne change pas. âge, pays Je suis encore dans la trentaine … En même temps je viens tout juste d’y entrer, j’ai encore quelques années devant moi pour penser à un tout nouveau cap. personnage Inventé, je n’ai pas pu résister à la merveille qui nous attend en rp avec @”Veronicka Millstone” ! disponibilités Autant qu’il m’est possible de l’être. crédits avatar : Valtersen. gif : confidentialityspice. autres Vous êtes tous des amours !

☽☽ Quand tu es heureux, regarde au plus profond de toi. Tu verras que seul ce qui t’apporte de la peine, t’apporte aussi de la joie. Quand tu es triste, regarde à nouveau dans ton cœur, et tu verras que tu pleures ce qui te rendait heureux

REBIENVENUUUUUUUUUUUUUUUUE !!! :string:

Bonne chance pour ta fichette ! L'amnésie est dans certains cas psychologique 820207515

@Popeye O'Connell Merci beaucoup L'amnésie est dans certains cas psychologique 2858664368

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Aarow

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Rebienvenue parmi nous beau gosse et amuse toi bien avec ce personnage :lovely:

Re-bienvenue à la maison avec cette belle tête :luv:

stephen t'est réservé pour les sept prochains jours L'amnésie est dans certains cas psychologique 2111669308

(re)bienvenue chez toi petit chat L'amnésie est dans certains cas psychologique 1945578570

Rebienvenue :bril:

Re bienvenue à la maisooon

Re-bienvenue à la maison ! L'amnésie est dans certains cas psychologique 526118900

On se moque de ce qu'ils pensent. On les provoque, pour eux, c'est perdu d'avance. Ha quelle époque. Célébrons nos différences.

Misha. nom masculin.
1. Définition d'un trouble de la sociabilisation notable.
2. Polygamie refoulée, souvent notifiée sous le terme de Harem.
3. TW facile d'utilisation.
4. Attraction touristique la plus visitée de Klamath Falls.
5. Futur nom de chlamydias.
Synonymes : Casanova, Mâle alpha, El Mishou, Mattel (Créateur de Barbie depuis 2021), Sal*pard (Terme très répandu), l'infidèle.

mood :

Awards 2024 :

Rebienvenue ici L'amnésie est dans certains cas psychologique 1945578570

Rebienvenue avec ce nouveau bonhomme ! L'amnésie est dans certains cas psychologique 1945578570

Bon courage pour la suite ! :pinky:

A little bit tired of sinking / And I just wanna see if you feel the same as me
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