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Bienvenue sur wicked little town, forum city simple et sans prétentions qui se déroule dans la petite mais mouvementée ville de Klamath Falls (Oregon, USA). Lieu de détente où vous verrez s'affronter les différentes classes sociales, venez interpréter des personnages issus de tous horizons. Pour citer une célèbre marque : venez comme vous êtes ! Mais attention, Scandale n’est jamais bien loin pour dévoiler les secrets que vous cachez.
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  you're not allowed to leave me { with marcus

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Joan Oswaldmembers  too many secrets
Joan Oswald
messages : 296
rps : 15
pseudo : bliss - she/her - elle
pronom irl : elle/she
id card : zendaya coleman by ohdaylight ♥ (avatar) & v1tfrma (img profil)
multicomptes : nope
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âge : sous ses airs d'enfant farouche, la belle possède déjà 27 années au compteur. l'envie d'entrer dans ce club légendaire... ou justement de se surpasser et d'atteindre sa vingtième-année.
statut civil : est-elle capable de réellement aimer ? elle ne sait pas. ne veut pas savoir. ne se pose pas la question. ment surtout. elle est en couple, cela n'a rien de sain, rien de normal. sans savoir si elle a envie de perdurer dans cette relation, peut-être qu'elle a juste peur de se retrouver seule.
occupation : sous les projecteurs, elle s'offre au public, pleine de grâce, l'étoile ondule et danse dans les airs. elle est là pour vous hypnotiser avec son numéro aérien.
elle compose aussi... chante, joue du synthé dans le noir, sans se dévoiler trop, parce qu'elle ne sait pas montrer son véritable visage.

nbre de mots : environ 500 mots (parfois plus parfois moins)
couleur rp : #999966
disponibilités : 3 places disponibles

### she just needs a little place - with theodore
### won't wave my white flag - with milo

pronom ig : elle/she
cible de scandale ? : Oui
trigger warning : abandon - naissance sous x - foyer - adoption - décès de parents - drogues - alcool - manipulations - pensées sombres - boulimie
(#) Lun 1 Avr - 16:39

you're not allowed to leave mew/ @Marcus Perez

Elle découvre encore les lieux. Depuis combien de temps vit-elle ici ? Trop peur pour avoir l’impression que c’est chez elle. Et pire encore, elle ne sait pas si elle restera. Solution temporaire. C’est comme ça qu’elle l’a présenté, c’est ce qu’elle espère. L’envie de prendre un appartement pour elle trotte dans sa petite tête mais la solitude est quelque chose qui semble tellement... tellement quoi Jo’ ? Terrifiant ? Oui, sans doute. C’est le terme, l’idée de se retrouver seule lui donne mal au ventre, retourne son estomac. Pour L’heure, elle n’a pas à y penser. Joan doit se concentrer sur le mélange qu’elle met dans le blender. Elle vérifie si elle n’a rien oublié, rajouter l’assaisonnement. La jeune femme se penche au-dessus du mélange pas encore mixé pour renifler. Une grimace se dessine sur son doux visage. Qui a dit que cela devait être bon ? C’est un mélange pour soigner pas pour le plaisir. A côté, son thé fume encore, elle peut aussi sentir les effluves de jasmin. Avant de mélanger les ingrédients, Jo avale une gorgée de thé. Puis referme le blender et le met en route. La couleur du résultat n’est pas archi convaincante. Son regard est perplexe, n’oublions pas que la danseuse n’est pas de celles qui savent cuisiner, même un smoothie healthy cela semble... hors de sa portée. Elle essaie au moins. C’est son jour de repos et elle a prévu de mettre pas mal de chose en œuvre pour son ami Marcus et cela commence avec un mélange artichaut, citron, aloe vera. Un peu de miel aussi pour adoucir l’acidité du citron. Un haussement d’épaules et la voilà qui commence verser le tout dans une gourde transparente. Ok la couleur verte n’inspire pas confiance mais il faudra vraiment que son Marcus le boive. Prête à se battre pour qu’il avale tout ça.

Elle termine son thé, lave sa tasse et la range avant de quitter la cuisine, elle file se changer, un pantalon, des baskets et une chemise rentrée à l’intérieur. Est-ce qu’il faut qu’elle tente de dompter la tignasse qu’elle possède ? Elle n’est pas certaine, pourtant, sans trop savoir pourquoi, elle s’attarde devant le miroir et elle se coiffe un peu, il y a un peu de mascara sur ses cils et du baume à lèvres sur sa bouche. Son parfum vient se glisser sur sa peau. Est-ce étrange de se sentir plus forte avec cette odeur qui la caractérise tant ? Peut-être pas tant que cela. Joan descend pour enfiler son manteau, elle attrape la gourde avec le smoothie healthy qu’elle met dans son tote bag qui lui sert clairement de sac à main. Sur le travers qui n’est pas très long, elle s’arrête prendre de quoi faire à manger, qu’est-ce qui lui prend ? Joan derrière les fourneaux ? A-t-elle envie de faire brûler l’appartement de Marcus ? Parce qu’il y a de grandes choses que l’alarme incendie se déclenche si elle décide de faire à manger. La voilà en train de choisir des légumes, sans trop savoir ce qu’elle fait. Elle renifle un chou-fleur... puis encore du céleri. Des carottes aussi. Bref elle prend plein de trucs pour tenter une ... comment on dit déjà ? une poêlée de légumes. Les achats sont faits maintenant elle avance à pied vers l’appartement de Marcus en se retenant de fumer, combien de temps tiendra cette nouvelle résolution ? Mystère. Elle resserre un peu son manteau contre elle, regrettant de ne pas avoir pris une écharpe, l’air est encore froid malgré le soleil de la journée.

Elle monte jusqu’à l’appartement de Marcus, parce qu’elle connait par cœur les lieux. Bon, elle frappe quand même à la porte pour se manifester mais elle pénètre dans les lieux sans attendre qu’on lui ouvre la porte. « - J’espère que t’es présentable, je te préviens ! » s’écrit-elle dans l’appartement à la volée, avançant directement vers la cuisine pour poser ses affaires et sortir de son sac, le fameux mélange. « - J’ai pris de quoi faire à manger » Lance-t-elle, comme si c’était normal... non rien n’est normal quand on mélange Joan et cuisine, rien.

tenue


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(#) Lun 1 Avr - 17:54

you're not allowed to leave mew/ @Joan Oswald

tw : vulgarité, maladie (cancer), pensées sombres.

outfit | se réveiller avec ce putain de mal de crâne, l'impression vivace qu'on vient me compresser la cage thoracique. y'a un coup dans l'abdomen, sonne à la place du réveil. réveille le corps, le force à se redresser, essuyer le peu de sueur de la nuit passée. et j'ai encore trop mal dormi. ça m'éclate le crâne, et la gorge avec. parce que faut avaler ce putain de médicament à peine j'ai eu le temps de voir que j'étais toujours dans cette réalité. cette putain de réalité. le mot est trop employé aujourd'hui, parce que je me prends la tête, parce que je regrette déjà de poser un seul pied sur le sol. c'est froid, ça donne un frisson, et c'est sûrement la première bonne chose de cette journée. juste un quotidien bancal, l'envie de retourner m'enfoncer la tête dans les draps, dans le coussin, y étouffer un cri ou deux, histoire de savoir me remettre sur les rails avant d'exploser de haine encore une fois. les jours s'accumulent et j'ai l'impression de me sentir crever un peu plus. le corps répond mal, les pensées sont sombres, et moi, je garde ce foutu sourire aux lèvres. refaire semblant pour les autres. disparaître, d'une pièce à l'autre, juste une âme ambulante, pas vivant, pas mort. je suis juste un spectre, part sous la douche, sèche à l'air libre, en me regardant vingt minutes dans le miroir. j'suis une putain d'oeuvre de burton. heureusement que c'est le jour de congé. un d'eux. on est quoi ? mardi ? vendredi ? dimanche ? plus aucune idée, le temps est court, long, chiant, pas assez présent, y'a un tout qui m'échappe, et c'est presque à maudire toute cette situation. je finis par me poser, à oublier de bouffer, juste une clope au bout du bec, les cheveux attachés en queue de cheval pour éviter de râler parce qu'ils sont trop longs, mais les apprécier parce qu'ils sont parfaits. guitare sur les cuisses, je fous un fond sonore derrière. un truc à rejouer, une chose à refaire, une manière de me connecter à ce qui garde la tête un peu saine. les doigts glissent, sur les cordes, les autres sur le papier. et je sais même pas écrire de la main gauche. je sais pas l'heure, à force, j'ai juste oublié que j'étais pas la guitare, ou pas les sons. non. y'en a que j'entends. mais ils sont pas dans la musique, si ? nan, ils sont extérieur. parce que y'a sa tête qui dépasse. son corps entier. elle entre dans la bulle, elle bouscule le mauvais, c'est presque toujours étonnant. j'ai qu'une sale gueule, le reste c'est assez présentable. poser la guitare à côté, me lever, râler un peu. même ça, ça provoque la douleur. hausser un sourcil, pas comprendre, elle sort des mots qui s'enchaînent assez mal. tu comptes faire quoi ? répète pour voir ? foutu sourire insolent, un coup pur de moquerie avant de venir lâcher un baiser dans ses cheveux, de zieuter dans le tot bag. sortir la bouteille transparente, les sourcils haussés, et le clair dégoût sur le visage. tu comptes buter qui avec ça ? mes voisins sont sympas, tu peux pas planifier leur mort. en rire, quand pourtant, la mixture a une claire allure d'horreur mélangée au décès du bouffon qui osera en approcher ses lèvres.
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Joan Oswald
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statut civil : est-elle capable de réellement aimer ? elle ne sait pas. ne veut pas savoir. ne se pose pas la question. ment surtout. elle est en couple, cela n'a rien de sain, rien de normal. sans savoir si elle a envie de perdurer dans cette relation, peut-être qu'elle a juste peur de se retrouver seule.
occupation : sous les projecteurs, elle s'offre au public, pleine de grâce, l'étoile ondule et danse dans les airs. elle est là pour vous hypnotiser avec son numéro aérien.
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(#) Lun 1 Avr - 19:44

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tw : vulgarité, maladie (cancer), pensées sombres. Une semaine sans tabac. Ce n’est pas si mal ? Est-ce que cela se ressent ? Sans doute, c’est peut-être même ce qui lui donne envie de cuisiner alors qu’elle n’en a jamais été capable. C’est un peu de sa faute, son père -adoptif – a tenté de lui apprendre mais elle n’a jamais eu la patience, l’envie. Maintenant il n’est plus là et elle ne peut rien apprendre sans lui, enfin c’est une impression. Elle n’en a pas envie. Qui lit vraiment les recettes d’ailleurs ? C’est bien un truc qui l’horripile, décrypter les termes précis du monde de la cuisine... une horreur. Elle aimerait mélanger tous les ingrédients, faire sauver et tadam, un repas incroyable pour le dîner. Évidemment les choses ne se passent pas comme ça. Il y a trop de précisions dans l’art culinaire et cet art-là, Jo ne le possède pas. Elle est douée dans un tas d’autres trucs, juste pas ça. Mais voilà arrêter de fumer cela la rend un peu plus nerveuse, elle a besoin d’occuper son esprit. Elle veut bien faire, montrer à Theodore qu’elle mérite cette chance, elle peut le faire, veut le faire. Ne pas passer sa vie à faire les mauvais choix. Alors comme elle aurait dû le prévoir, annoncer à Marcus qu’elle va cuisiner, c’est quelque chose de presque... choquant ? Un baiser dans les cheveux, un geste naturel qui l’apaise, sentir la présence du jeune homme derrière elle lui plait, elle est en confiance ici, pas sur la défensive comme souvent. Elle finit par tourner son visage vers le propriétaire des lieux et un petit sourire se dessine sur son visage. « - Ta tête est tout à fait normale, pas pire que d’habitude » taquine-t-elle. Bien sûr qu’il est beau mais bien sûr que non, elle ne lui dira pas. Elle sort le chou-fleur, le céleri, les carottes... comment on fait pour faire sauver tout ça... direct dans la poêle ? « - A manger, il faut que tu manges des trucs sains, j’ai pris des légumes. J’imagine que tu sais comment on les fait cuir ? » Il ne faut pas trop en demander. Les compétences de la jeune femme en cuisine sont vraiment nulles. Marcus le sait parfaitement. Elle finit par s’asseoir sur le meuble de la cuisine pour être un peu près à la même hauteur que lui. Il regarde ce qu’elle a déjà préparé. Le mélange à boire. Un petit sourire... fier ? Oui, elle est contente d’avoir fait ce truc... qui a l’air certes immonde mais qui est apparemment bon pour le foie et le pancréas. Tout ce qui compte à ses yeux. « - Arrête de te moquer, faut que tu le boives » Elle rit un peu. « - C’est pour ton foie, ça lui fera du bien, j’ai trouvé la recette sur internet » Clairement, cela signifie que cela pourrait être totalement nul aussi. « - Essaie, je suis sûre que ce n’est pas si terrible ! » Elle reprend la bouteille pour l’ouvrir et sentir. Ok, ça pue, Joan est obligée de se pincer les lèvres pour ne pas rire. « - J’en bois une gorgée pour te montrer, et tu finis la bouteille ! » Elle tente d’être sérieuse mais voilà, elle a bien son petit air espiègle sur le visage. Ce truc doit être immonde. Une inspiration, un regard vers Marcus, elle cherche un peu de courage qu’elle ne trouve pas. Une gorgée, les sourcils qui se froncent. Elle manque de tousser et recracher mais non, elle tient bon, elle a une volonté de fer la petite. « - Je te jure ça se boit » Elle tend la bouteille. « - Cul sec mon petit, allez ! » On est sur de l’encouragement oui oui oui. Elle garde ce demi sourire malicieux sur le visage mais cela ne l'empêche pas d'être sérieuse, c'est bon pour la santé.


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(#) Lun 1 Avr - 22:27

you're not allowed to leave mew/ @Joan Oswald

tw : vulgarité, maladie (cancer), pensées sombres.

outfit | le mal de crâne enchaîne l'humour pourrie, à vouloir foutre la réalité sur pause. cramer l'espoir sur le bout de la clope, passe du blanc à l'oranger, s'allume puis s'éteint, c'est qu'un amas noir, et ça fait rire, ça fait souffler, monter et descendre les épaules. t'as l'allure de mon foie, gamine. et à être consumée tout en lenteur, j'ai l'impression d'voir le cancer dévorer mon corps, cellule par cellule, creuser les joues, les cernes, foutre en l'air la belle image que j'ai toujours tenté de projeter. j'assure la promesse, dévoiler le vrai marcus, mais j'ai jamais demandé cette aide. elle est terminée, réduite en cendre, mais la jumelle la suit, termine entre mes lèvres, pas allumée, juste laissée là, lovée au coin de ma bouche, alors que le crayon griffonne les futures notes à balancer au studio. quelques accords, ils déraillent, râlent un peu, et c'est mauvais à l'oreille. ça rime à rien, sonne faux dès que j'ose prétendre à savoir la bonne mélodie à enchaîner. c'est pas si grave, y'a une autre occupation qui se montre. là, les cheveux bouclés, épais, l'air décidé, les chaussures laissées à l'entrée et le sac posé sur le plan de travail. alors après un râle, je me bouge. après un baiser sur son crâne, je cause. ça critique la seule gueule, elle est habituelle. ouais, la routine s'est installée, et ça me fait claquer la langue contre le palais. renvoie un air de t'as bien vu ta gueule à toi ? signe de la main pour simplement chasser la question physique, continuer sur la question la plus importante : les mots qui se mêlent mal avec elle. les sourcils se froncent, tentent de capter le sens qu'elle tente de donner, comme s'il se passait l'une des choses les plus banales du quotidien. je crois que le truc le plus sensé, c'est de me demander comment je sais les cuire. secouer légèrement la tête, prendre un des légumes, le chou-fleur en soit, et le regarder avant de le reposer, et le dépit observe ses petits copains. je vais donc cuisiner pour deux, c'est mieux pour notre survie. encore avoir ce foutu air moqueur, autant que l'horreur sur le visage, quand la boisson, elle, n'inspire aucune confiance réelle. adorable mais assassine, la gamine. elle déblatère le bon de cette recette, et internet n'est clairement pas là pour le bien de cette histoire. me dis pas que t'as trouvé sur tiktok, sinon j'peux déjà me préparer à aller chier. peu glamour, mais réel quand les recettes sont... épatantes. mais peu rassurantes. et elle s'y tente, se moque, peste, alors que je regarde la scène avec un certain... dégoût, sur les lèvres. elles sont étirées, pincées, et je donne l'impression de voir la pire horreur. elle n'aime pas, et ça me met en danger. prendre la bouteille est complexe, mais je soupire. ose boire, sans même demander. cul sec comme j'en avais l'habitude avant. et la gorge tente de recracher, la bouteille qui cogne contre le plan de travail, la main devant la bouche. dos contre lèvres. putain c'est immonde ton truc. venir me tenir à elle, les mains sur ses genoux, alors que le regard se lève vers elle, tête qui se secoue, très clairement de mécontentement. je vais me venger. ta poêlée de légumes, je vais te l'empoisonner. me redresser, approcher les pauvres légumes, avant de lui lancer la carotte, et montrer l'évier. on va d'abord les nettoyer avant de vraiment finir par crever plus vite que prévu. et quitte à rendre l'instant plus détendu, autant faire une blague sur ma tombe déjà creusée depuis l'mois de janvier.
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Joan Oswaldmembers  too many secrets
Joan Oswald
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(#) Lun 1 Avr - 23:19

you're not allowed to leave mew/ @Joan Oswald

tw : vulgarité, maladie (cancer), pensées sombres. Est-ce une surprise que la boisson soit immonde ? Non, évidemment. C’est dégueulasse et personne ne peut être surpris avec un tel mélange. Qui a décidé que le tout serait bon pour le foie ? Vraiment il y a comme un doute lorsque l’on sent le goût du truc. Le pouvoir des plantes, toussa toussa. Vraiment la seule plante qui fait de l’effet sur Joan, c’est la Marijuana. Mais là, on est loin de l’ambiance, loin d’être dans la récréation. Joan veut prendre soin du garçon qui se trouve en face d’elle qui la connait si bien, trop bien. Celui qu’elle ne peut pas laisser partir, impossible. L’idée l’angoisse affreusement, c’est ancré au fond de son estomac, cela pourrait lui donner envie de hurler. Elle qui ne contrôle pas ses émotions. Et puis l’arrêt du tabac ne l’aide clairement pas à y voir clair. Jo est obligée de rester calme en toutes circonstances. Elle tente aussi de montrer à Theodore qu’elle a évolué, qu’elle a changé. Elle grandit peut-être. Il était sans doute temps.

Joan tient bon, elle ne recrache pas la mixture verdâtre, pince ses lèvres et arrive même à les étirer en un sourire pour tenter de lui faire croire que c’est bon. Bon d’accord, qui pour croire un tel bobard ? Personne. Marcus n’est pas né de la dernière pluie, il sait qu’elle en rajoute, il sait que c’est immonde. « - Google, pas tiktok, j’te promets » Pourtant, il prend la bouteille, il se lance, Jo a envie de rire mais elle le soutient aussi, c’est entre l’enfance et l’âge adulte ce qui se passe là.  Il boit cul sec, peut-être sont-ils trop habitués à boire des mélanges étranges. Les sourcils se froncent, il claque presque la bouteille sur le plan de travail. Elle attend le verdict, vraiment, sincèrement. Immonde donc, c’est le verdict et Jo s’autorise à rigoler. « - Artichaud, citron et aloe-vera, j’ai mis du miel aussi dedans » Un haussement d’épaules. « - Il paraît que c’est pour optimiser les façon hépatiques de ton foie » récite-t-elle, elle a bien appris sa leçon. Ou elle a juste bonne mémoire.

L’hôte semble vouloir prendre le contrôle de la cuisine. « - Oui, donc tu ne sais pas comment ça se cuit c’est ça ? » Elle reprend ce qu’il disait avant qu’ils n’attaquent la dégustation de la mixture. Elle rit aux fausses menaces prononcées. « - J’ai tellement peur, je ne t’ai pas empoisonné déjà, c’est une potion magique ! » Elle rit encore, c’est naturel. Il lui balance la carotte alors qu’il lui explique comment procéder. « - Je fais quoi avec ça hein ? » Elle lui montre avant même de croquer dedans cru, ce n’est pas dégueu. Mais avant qu’ils n’attaquent le repas, elle se penche pour le tirer vers elle. « - Attends, deux minutes Marcus » Une fois qu’elle l’a tiré devant elle, elle passe ses mains sur son visage pour regarder son état. Une inspiration, son cœur qui peine à battre correctement, bien sûr qu’elle a peur pour lui, terriblement même. Son visage se ferme un peu. « - D’abord, je veux que tu me dises comment tu te sens... pas de mensonge, t’as pas le droit, tu le sais » Ses mains tombent autour de sa nuque, elle ne souhaite pas être épargnée sur son état, elle doit savoir s’il est mal... savoir comment il se sent, elle veut être là pour lui, vraiment, sincèrement, faire les choses bien.


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(#) Mar 2 Avr - 14:50

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outfit | j'maudis internet et son air candide. j'maudis les recettes à en faire gerber les tripes pendant une demie-heure au-dessus des chiottes. mais le pire, c'est que son attention, je l'adore. à subir la bonne volonté, enfoncée dans ma gorge comme un cadeau que j'voudrais pas vraiment. impression de devoir gober la pitié à coup de grosses cuillères. déroutant la manière dont ça me dégoûte pas vraiment, l'allure de faible qu'elle balaie d'un revers de main, et moi, ça me plaît sûrement un peu trop, de plus avoir l'air d'un gamin qu'on recueillerait après l'avoir vu chialer au beau milieu de la rue. mais ça, je préfère l'étouffer, jouer au bon ami qui se fout de sa gueule, qui a le dramatique en pleine poitrine histoire d'éviter de gerber l'horreur qu'elle tente de me faire avaler. parce que ça se voit, au final, qu'elle manque de recracher, que ses lèvres font barrière au liquide trop immonde pour être donné au pire con trouvé dans cette ville. putain d’exagération. lever les yeux au ciel, c'est mieux comme réponse, parce que google vaut pas mieux que l'autre réseau social des jeunes bouffons de cette génération. il a juste l'air d'un immense dictionnaire numérique, rien d'autre. juste une belle image. mais au diable, quitte à survivre, autant croire que c'est par ce liquide magique. la gorge elle bouge, elle se plaint pas. j'ai l'habitude d'enfiler les bouteilles, il s'perd pas, l'alcoolisme sévère. nan, il reste dans un coin du crâne, à flipper de recommencer si on m'accorde une seconde chance. parce qu'à y penser en buvant, j'arriverais sûrement jamais, à pas niquer le sain qu'on va foutre en moi. la main abandonne la bouteille, vient se poser avec sa jumelle sur les genoux de la demoiselle de cette pièce, et je relève la tête, les sourcils légèrement froncés. t'es sûr que y'a pas de l'arsenic dedans ou un truc du genre ? me moquer encore un peu, mais faut dire que les aliments vont pas vraiment ensemble, mauvais puzzle, mauvaise manière de s'accrocher à quelque chose qui fonctionne mal. mais... merci de préserver mon foie. pour ce qu'il en reste. puis souris lui, marcus, faut qu'elle y croit. et je râle un peu, plisse du nez, pour grimacer. y'en a, c'est pour sourire. râler, c'est un niveau expert alors que j'attrape le chou-fleur. si, je sais. j'apprends à mieux cuisiner ces temps-ci, régime oblige. le reposer, juste à côté, avant de lâcher un rire, soufflé, par le nez. wow ok, merci hermione granger. rire un peu, et observer le croc lâché dans la carotte. lui voler et faire la même chose, parce que c'est pas ignoble, juste un goût un peu sec. et putain j'aurais adoré savoir fuir. à devoir lui faire face. je veux plus faire face. ni à elle. ni à alastair. ni à mikey. ni à milo. ni à eve. mais je suis obligé, coincé là, le visage observé. elle voit la fatigue qui a creusé l'donjon, les joues maigres, l'impression que plus être vivant en pleine gueule. elle demande. elle oblige. et y'a un truc dans la poitrine, une impression d'me voir suffoquer. les mains qui se posent sur le rebord du plan de travail, s'y accrochent avec l'impression que si je lâche, je vais me faire bouffer parce que le sol va ouvrir sa gueule en grand. et je regarde ses jambes, même plus ses yeux. je vais mal. c'est lâcher avec ce ton de voix qui se brise à la fin. avec l'impression que la vision est floue, parce que ça s'appelle des larmes. alors je ferme les yeux, histoire que ça coule pas. je veux juste vivre, et j'ai l'impression que y'a plus d'espoir pour ça. mais eh, j'avance, je me lève, je taffe, je bouffe, je fume, je suis comme avant, mais j'me sens mal. même pas vide quand c'est juste un putain de trop-plein de mauvaises émotions. mais c'est la vérité nan, vous pensez pas ? le fait qu'au final, le cadavre continue de vivre sa vie de bon petit humain.
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(#) Mar 2 Avr - 18:56

you're not allowed to leave mew/ @Joan Oswald

tw : vulgarité, maladie (cancer), pensées sombres. Elle le regarde, là juste là devant elle et elle a peur. Elle craint de le perdre Marcus, craint de ne plus voir ce petit sourire en coin, taquin. Combien elle aime lorsqu’il fait cela avec sa bouche. Elle aime sentir son regard sur elle, elle n’a pas de tabou avec lui, parce qu’il n’y a plus de ça entre eux. Est-ce bien ? Est-ce mal ? Parfois elle a l’impression qu’il la connait par cœur, qu’elle le connait par cœur et elle est surprise à nouveau par une situation, un geste... quelque chose. Non, elle apprendra toujours à connaître ce garçon qu’elle a en face d’elle. Alors non, non ce n’est pas concevable de le perdre. Jamais. Joan n’est pas douée dans le deuil, pas douée pour perdre les gens qu’elle aime. Elle va finir par croire que personne ne veut d’elle. Les gens préfèrent l’abandonner ou mourir pour ne pas être à ses côtés, oui, vraiment, c’est ce qu’elle va finir par comprendre. Est-ce invraisemblable ? Évidemment mais c’est comme cela qu’elle fonctionne. On lui pardonne.

Un petit sourire se dessine sur les lèvres de la jeune femme à la réflexion taquine de Marcus. « - Si j’avais voulu te tuer très cher, tu serais déjà mort » Elle plaisante, évidemment, elle est loin d’être une experte dans ce domaine mais pour l’embêter, elle tente de faire croire l’inverse. Il remarque tout de même le geste et la remercie, même si bon il faut avouer qu’on n’est pas sûr que ce soit nécessaire vu comme ce truc est infame. Ses lèvres deviennent plus tendres lorsqu’elle le regarde. Ses yeux sombres le suivent en train d’attraper le chou-fleur, annonçant qu’il sait comment faire. Ses lèvres de la danseuse se pincent, elle inspire. Oui, régime oblige avec la maladie qu’il traine. C’est fou ce qu’elle déteste cette putain de cirrhose. Obligée de gérer cette colère qui monte et l’envahie. Putain mais le destin ne peut pas être un peu plus joyeux ? Ce n’est pas juste, Marcus est trop jeune. Et égoïstement... il ne peut pas la laisser, elle a tellement de mal avec cette idée. C’est une angoisse profonde. Et c’est pour cela qu’elle l’attire à elle avant qu’ils ne se mettent à cuisiner. Enfin que Marcus ne se mette à cuisiner. Elle a besoin de ce moment sérieux, quelques instants dans la réalité qu’ils ont tendance à fuir tous les deux. Trop vite le cœur de Joan se serre. Elle le regarde, elle a une réponse avant même qu’il ne réponde. Va-t-il lui offrir la vérité ? Oui, oui, il pose honnêtement les (maux) mots sur son état. Jo inspire profondément, elle tente de rassembler toutes les pensées qui traversent son cerveau, c’est un tel bordel dans sa tête. Elle l’écoute, patiemment, se sent tellement impuissante. Comment on fait pour sauver son ami ? Ses doigts glissent sur son menton pour le forcer à la regarder, elle vient coller son front contre le sien, frotte son nez au sien. « - Je suis là... toujours » murmure-t-elle. Ses bras reprennent leur place autour de sa nuque. « - Tu sais que tu n’es pas seul, tu ne te bats pas seul... je sais bien que l’on peut dire c’qu’on veut, on ne vit pas la chose, mais je n’ai pas l’intention de te laisser tomber. » Des mots qu’elle a déjà dit. « - Comment tu supportes le traitement ? » Encore quelques instants dans le dramatique avant qu’elle ne reprenne son rôle de petit clown. « - Je te jure qu’après j’arrête les questions déprimantes » Parce qu’elle a les larmes aux yeux mais ne se permet pas de pleurer, pas devant lui, elle veut être forte. Oui, pour lui.


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InvitéInvité
Anonymous
(#) Mer 3 Avr - 16:37

you're not allowed to leave mew/ @Joan Oswald

tw : vulgarité, maladie (cancer), pensées sombres.

outfit | tombe pas dans le panneau. tombe pas dans le panneau. t'es tombé dans le panneau. ça commence à foutre le bordel dans le crâne, les émotions qui se multiplient, entre le bon, le mauvais, le compliqué et l'aisé. c'est simple, de la voir, de la charrier, d'me moquer tant que ça peut encore sortir comme si j'étais rien d'autre que le même gars d'il y a quelques années. blâmer la boisson dégueulasse, elle est immonde elle, y'a pas de doute sur sa provenance. les aliments se mêlent pas bien, c'est pas un truc qui aurait dû être créé. joan, mon foie est déjà foutu, ça sert à rien de tenter de le réanimer. je souris, je rigole, mais je pense à autre chose. mon esprit s'est paumé, à lâcher le bon sens, la raison, l'instant trop bien pour le vivre. pas assez vivant pour savoir vraiment en profiter. mais je l'ai bu, ça doit rassurer, de savoir qu'on peut me garder encore un peu en vie avant de clamser parce que la transplantation arrive pas rapidement dans les mains des abrutis qui ont buté leur corps à coup d'alcool bon marché. c'est peut-être pas moi, mais cette éventualité est foutue à la corbeille. alors je préfère sourire, hausser les épaules, peut-être qu'elle m'aurait tué autrement, peut-être qu'elle aurait eu un air de cancer. je pense que t'as trop besoin de moi dans ta vie pour me tuer. obliger mon importance à avoir une place dans sa vie, avoir la prétention d'exister, de persister, de vivre un peu dans son petit monde, croire au final qu'un jour, son monde, il tournera autour de moi, que de moi. que de nous, mais ça, faut pas le dire. c'est qu'un putain d'égoïsme, une manière trop simple d'avouer que j'ai cruellement besoin d'attention, d'une manière quelconque d'être apprécié. de savoir qu'ils iront chialer sur ma tombe quand j'irais chialer le fait de plus jamais les voir. mais c'est pas grave, pas vrai ? qui en rêve pas ? cette manière de vouloir subsister, cette manière de vouloir impacter jusqu'à créer le manque au plus profond de quelqu'un. et avec elle, c'est ça. le manque, l'envie, le besoin. tout ce beau cocktail mélangé, on s'en fout si ça finit par faire mal, on s'en fout si ça finit par être malsain. on en a juste besoin, ouais. faut tenir le coup, faire croire que tout va bien, faire croire que tout est sain. c'est sûrement la raison pour laquelle je voulais fuir, pas faire face à son regard, à cette inquiétude. elle a un goût de pitié, je déteste ça. lâche pas mon visage, détaille les creux, les bleus, les cernes, la fatigue. la merde. elle demande. puis elle attire. dans le contact physique le plus pur possible. mais rien l'est, entre nous. mais je la laisse faire, le front collé aux siens, et on pourrait jurer que j'aurais l'envie d'un baiser. juste ça. juste un contact, perdu. wendy est plus là pour me le donner. wendy a disparu. alors y'a le manque, le besoin de ressentir les choses, les mots que j'entends pas réellement, parce que j'ai fermé les yeux pour me laisser bouffer par la vague négative. hocher la tête. pas être seul. y'en a d'autres derrière. mais ils vivent pas assez cette foutue douleur qui chope mon corps jusqu'aux entrailles. ouais j'sais, je suis pas seul. mais le combat reste trop compliqué. hocher la tête. le traitement, il affaiblit la bête. ouais, c'est ok. pas en dire plus, le sujet fait chier, le sujet rappelle que marcus, il se laisse juste bouffer par la situation. alors je me détache, après un baiser sur son front. m'empare des légumes, les lave, silencieux un instant, avant de sortir la plaque, le couteau, les légumes qui subissent l'envie de tout découper. ok, on va cuire tout ça à la vapeur. j'sais pas si on fait des nouilles ou du riz avec la poêlée, tu préfères quoi ? reprendre une image bien sage, j'suis pas cassé, j'suis sain d'esprit. le corps va bien, il bouge, je lui tourne le dos, et le couteau des fois, il tape dans le vide. des fois. une fois. légumes tranchés, balancés dans une poêle. j'oublie sûrement la moitié des étapes.
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Joan Oswaldmembers  too many secrets
Joan Oswald
messages : 296
rps : 15
pseudo : bliss - she/her - elle
pronom irl : elle/she
id card : zendaya coleman by ohdaylight ♥ (avatar) & v1tfrma (img profil)
multicomptes : nope
gif :  you're not allowed to leave me { with marcus Cc742bc32543508cfe693e6c8c0495c717b255b5
âge : sous ses airs d'enfant farouche, la belle possède déjà 27 années au compteur. l'envie d'entrer dans ce club légendaire... ou justement de se surpasser et d'atteindre sa vingtième-année.
statut civil : est-elle capable de réellement aimer ? elle ne sait pas. ne veut pas savoir. ne se pose pas la question. ment surtout. elle est en couple, cela n'a rien de sain, rien de normal. sans savoir si elle a envie de perdurer dans cette relation, peut-être qu'elle a juste peur de se retrouver seule.
occupation : sous les projecteurs, elle s'offre au public, pleine de grâce, l'étoile ondule et danse dans les airs. elle est là pour vous hypnotiser avec son numéro aérien.
elle compose aussi... chante, joue du synthé dans le noir, sans se dévoiler trop, parce qu'elle ne sait pas montrer son véritable visage.

nbre de mots : environ 500 mots (parfois plus parfois moins)
couleur rp : #999966
disponibilités : 3 places disponibles

### she just needs a little place - with theodore
### won't wave my white flag - with milo

pronom ig : elle/she
cible de scandale ? : Oui
trigger warning : abandon - naissance sous x - foyer - adoption - décès de parents - drogues - alcool - manipulations - pensées sombres - boulimie
(#) Mer 3 Avr - 21:09

you're not allowed to leave mew/ @Joan Oswald

tw : vulgarité, maladie (cancer), pensées sombres. Bon Joan, bravo, il est possible qu’en t’inquiétant pour lui, tu aies plombée un peu l’ambiance. Pourtant, elle a besoin de savoir, elle ne veut pas de mensonge. Dans un coin de son esprit, elle doit savoir comment il va, comment évolue son état, c’est important. Puis vient alors le déni et l’oubli. On ne veut pas y penser, jamais, c’est trop douloureux, ça angoisse profondément. Un stress capable de lui déclencher une crise de boulimie. C’est bien présent dans son estomac, cette boule qui ne disparait pas. L’idée même de perdre ses proches c’est une phobie, elle n’arrive pas à passer au-dessus, elle court après les gens mais qui court après elle. A qui elle manquerait si elle disparaissait ? Ces derniers temps, elle y pense. Elle songe à disparaître. Seul Theo est au courant qu’elle a perdu son logement. Devenu trop vide, l’appartement de la colocation, elle l’a perdu, elle n’a plus les moyens de payer un logement aussi grand. Et trouver un logement seule ? Cela l’angoisse profondément, alors elle ne cherche pas. Elle se fout elle-même dans la merde. Joan finira sous un pont. Tout ira bien et quand elle ne sera plus là, personne ne remarquera qu’elle a disparu. C’est une certitude terrible et effrayante.  La danseuse ravale ses peurs, qui elles intéressent de toute façon ? Voilà que sans drogue, sans alcool... sans rien... dans cette cure qu’elle tente de tenir, ses pensées sombres refont vite surface. Elle se noie dans un flot d’émotions noires. Elle tente de se battre mais parfois les vagues submergent, elle n’arrive plus à remonter à la surface. A un moment, elle touchera le fond pendant que tout le monde continuera de vivre.

Elle pourrait en parler à Marcus. N’est-il pas la personne qu’elle affectionne le plus ? Comme un meilleur ami, une âme liée à la sienne, son double. Mais pourquoi tenir davantage son image ? Pourquoi l’angoisser avec sa présence alors que lui-même n’est pas en forme ? Elle sourit pour être forte. Elle sait faire ça, c’est un truc qu’elle maitrise, le sourire factice. Jo se battra pour Marcus, jusqu’à ce qu’elle n’y arrive plus. C’est comme une ligne conductrice pour avancer. Il est la lumière et elle le petite papillon attiré. Et le papillon se brulera les ailes... et pas que d’ailleurs. « - Évidemment » Souffle-t-elle quand-on faut d’avoir trop besoin de lui. Le regrettera-t-elle un jour ? Possible. Pourtant elle fonce, comme toujours. Dans un mur, sans nul doute. Joan, c’est la fille dont on ne tombe pas réellement amoureux... la fille qui n’est jamais assez bien. C’est comme cela qu’elle se considère, tristement. Même sa mère biologique ne voulait pas d’elle après tout. Pourquoi les autres la désireraient aussi ? Cela a toujours trotté dans son esprit torturé.

Une inspiration profonde. Elle tente de trouver les mots pour Marcus, c’est important, seulement ne sont-ils pas redondants ? Ne peut-elle rien faire de mieux ? L’impression d’être inutile, futile... à quoi tu lui sers Jo’ ? Son cœur a mal, elle a l’impression de mal faire quand elle fait tout pour bien faire. Peut-être ne pourra-t-elle jamais être douée pour cela, pour les gens, pour aimer. Il ne répond que succinctement d’ailleurs, sans doute que ce n’est pas ce qu’il veut, pas d’elle en tout cas... d’ailleurs, il attend quoi de Joan ? Son regard le suit, il se met à reprendre la cuisine, explique comment il compte faire cuir les légumes, un hochement de la tête pour la jeune femme. « - Du riz ? » Elle s’en fiche à vrai dire mais elle veut lui offrir une réponse. « - Peu importe, j’aime les deux » Pas très difficile, où si mais pas dans la catégorie féculent. Elle descend du plan de travail pour tenter de l’imiter, elle prend un couteau, elle coupe un bout de carotte et sans trop savoir comment, un morceau saute à l’autre bout de la pièce. « - Tu savais toi que les carottes étaient sauteuses ? » Elle part à la recherche du bout qui s’est échappé, la voilà à quatre pattes sous la table pour le récupérer, en voulant se redresser, elle se cogne la tête. « - Aie putain, même les tables ne m’aiment pas, c’est fou, pourquoi personne ne veut de moi quand il s’agit de cuisine ? » Elle tente d’humour, elle tente de le faire rire. Son visage porte un sourire, factice ? Elle ne se prononcera pas. Elle veut que Marcus rie ... l’entendre rire, c’est si important. « - Tu me joueras un truc après ? »


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