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Bienvenue sur wicked little town, forum city simple et sans prétentions qui se déroule dans la petite mais mouvementée ville de Klamath Falls (Oregon, USA). Lieu de détente où vous verrez s'affronter les différentes classes sociales, venez interpréter des personnages issus de tous horizons. Pour citer une célèbre marque : venez comme vous êtes ! Mais attention, Scandale n’est jamais bien loin pour dévoiler les secrets que vous cachez.
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 a tale old as time | alastair

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Nyx Allenmembers  too many secrets
Nyx Allen
messages : 37
rps : 5
pseudo : elio.
pronom irl : il.
id card : emily alyn lind + ethereal (ava) + awonaa (signa)
multicomptes : hera, leo, marcus.
gif : a tale old as time | alastair 5346ccd8de1fe91637d847a477158d16
âge : 02.02. vient d'empocher les dix-neuf ans. patience sereine avant d'atteindre la majorité complète. plus que deux ans à attendre.
statut civil : il y a des cœurs brisés, et ceux qui n'ont jamais vraiment connus d'émois. célibataire et l'cœur volage. y'a eu les crushs mais jamais les vrais amours. bien trop jeune, pour savoir ce que c'est vraiment, d'aimer ou de détester quelqu'un.
occupation : parce qu'elle a le cœur littéraire, et l'âme vendue à la pop culture. elle est vendeuse au comic shop du coin, dans le quartier de foothills village. c'est curieux d'bosser là où la copine de son frère travaille.
habitation : c'est son chiffre préféré, alors elle devait habiter sur un alignement parfait de celui-ci. quartier d'appel gate avenue, au n°333, dans un appartement un peu... en bordel.
nbre de mots : de 200 à 700 mots.
couleur rp : #339999.
disponibilités : indisponible :

august
adélie
alastair
pronom ig : elle.
cible de scandale ? : Oui
trigger warning : nyx : abandon paternel, adultère, alcoolisme, dépression, maltraitance psychologique infantile, délaissement maternel, maladie mentale (démence), sexe (sûrement), vulgarités.
moi : à discuter en amont.

(#) Mar 6 Fév - 18:02

◟a tale old as time◝


@Alastair Duke@Nyx Allen
outfit ✧

23 décembre 2023, à 17h15 | elle est encore malade. le numéro s'est affiché, une nouvelle fois. les chiffres alignés qui me sont trop familiers. ça résulte à sa démence, ça me percute trop fort. la composition est parfaite, je récite trop facilement ces nombres qui se forment, comme une équation que je peine à résoudre quand je préfère me plonger dans les histoires fantasques du monde littéraire. pourtant, c'est cruel, comme ce calcul, je sais si bien le résoudre. voilà une année, que tout s'était à peu près arrangé. aux crises qui s'étaient tues, présentes qu'aux angoisses qui viennent l'étouffer dans ses cauchemars. il y a eu ma liberté, la raison pour laquelle je n'ose plus lui offrir les étreintes d'une bonne fille à sa pauvre mère. malheureuse, je n'en ai jamais eu le doute. à me crier dessus, j'en ai enduré, des larmes en crises, un cerveau qui s'est bouffé petit à petit. mademoiselle allen, votre mère est de nouveau à l'hôpital, nous avons prévenus monsieur duke. je n'ai pas su, au début, le titre correct à lui offrir. mécène, protecteur... père. dans ses aveux malades, elle m'a confié qu'il était celui dont elle n'a jamais vu ne serait-ce que l'ombre dans ses draps, enfin, juste une fois. assez pour m'avoir moi.
j'en soupire l'air froid de la ville, à ne pas avoir pris le vélo quand les rues sont glissantes. jeunes harpies qui s'attardent sur les chutes de leurs victimes, le rire fort et les souvenirs à causer aux amis, si tenté qu'ils n'ont pas filmé le spectacle. à entrer dans l'hôpital, c'est son odeur qui m'est familière, elle aussi, me dégoûte plus qu'aux premières fois où j'y ai passé des nuits pour me faire virer à coup de mauvaises paroles dans sa bouche. le cerveau ne répond plus à la raison, mademoiselle allen. pour ne pas brusquer l'âme encore bien jeune. je salue de politesse, le personnel soignant et les étrangers dont je croise la route, avant d'entrer dans la chambre. aujourd'hui, elle semble sourire, semble si heureuse de ma venue. alors en posant mon sac et mon manteau sur le siège pas loin, je viens lui offrir ce câlin, cette étreinte qui me rassure, gamine à sa mère quand sa mère n'a jamais été sienne. et j'aurais sûrement voulu, que tout se passe bien, que son sourire persiste. mais les voix en dehors de la chambre augmentent en volume, et ça me fait grimacer. ne bouge pas maman, je vais voir ce qu'il se passe... que je me dévoue, parce que ça l'inquiète, qu'en dehors de cette pièce, elle puisse reconnaître l'image sans décalage de mon père. alors à avancer, c'est l'homme aux cheveux grisonnants que j'approche, lui, et le garçon aux cheveux bouclés. l'air trop innocent, à pas oser, au tout début, m'immiscer dans cette conversation trop adulte pour que ça colle avec moi. monsieur duke... grimace, il n'aime pas, gronde de ses grands yeux, avant que je murmure... papa... maman s'inquiète... c'est dit tout bas, à peine audible, alors que je joue des manches de mon pull, que je regarde le sol, quand je n'ose pas affronter ce début de réalité qui va bouleverser bien plus qu'une seule malade.
colibry ♡



kiddo
i was just a kid, dreams were looking big and then i had to grow up.
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Alastair Dukemembers  too many secrets
Alastair Duke
messages : 1050
rps : 12
pseudo : decay
pronom irl : il/he/him
id card : chalamet + ava : ralhiel / gif : nothliits / signa : exordium + hera
multicomptes : pandora la gosse naïve (m. alcock) + mikey le red flag ambulant (n. murakami)
gif : a tale old as time | alastair 33de86e2535dca39cf751d239cedc06c
âge : t'as dépassé le quart de siècle de 3 ans déjà. les 28 ans auxquels tu t'habitues. t'es pas de ceux qui pleurent parce qu'ils vieillissent, non. toi, t'attends juste patiemment le jour où tu pourras vivre comme tu le souhaites réellement.
statut civil : tu l'attendais patiemment, le jour où tu pourrais enfin dire qu'elle est tienne. enfin. en couple avec hera et tu l'as même pas menacée ou forcée. un grand pas pour l'humanité, vraiment. t'as déjà une idée de la bague à lui offrir pour que tout s'officialise, les fiançailles, la promesse d'une vie meilleure avec ton nom, à tes côtés.
occupation : c'est gore, c'est dégoûtant, ça en répugne pas mal, pourtant ça te plaît. un corps sur une table, sans vie, sans pouls. et tu es le seul à pouvoir remettre les pièces du puzzle en place. c'est bizarre à dire, mais tu te sens tellement bien, quand tu trouves la raison exacte de la mort de quelqu'un. des fois, tu te dis que t'es juste né pour être médecin légiste.
pronom ig : he/him
cible de scandale ? : Oui
trigger warning : alcool, drogues, sexe, tabac, toxicité, tromperie, stalking, anxiété, dermatillomanie, mutilation, insensibilité sur certains sujets (manque de connaissances, prévenu à l'avance), tout ce qui concerne les médecins légistes
(#) Sam 10 Fév - 23:56

◟a tale old as time◝


@Nyx Allen

23 décembre 2023 - 17h15 | tu passes ton temps à courir d'un coin à l'autre de l'hôpital aujourd'hui. pas un moment dans l'endroit chéri, adoré. elle te manque, la morgue. elles te manquent, les tâches habituelles. mais c'est une autre de ces journées où on te fait faire tout sauf ce que tu apprécies. les patients apparaissent et disparaissent. entrent et sortent. tu les comptes plus. fatigué par les cas trop différents. les heures qui semblent devenir interminables. n'en finissent plus. le téléphone éteint, hera manque aussi. t'aimerais pouvoir lui envoyer un message. quelques mots simples et rapides, concis, pour lui rappeler ton existence. ta présence dans sa vie. mais non. il te faut toute la concentration que tu peux avoir. alors la routine fait que l'écran reste noir. ne s'allume pas une fois pendant ces dix heures passées dans les couloirs d'une blancheur impeccable. l'odeur si particulière te prend aux narines, donne un début de migraine. le traiteras plus tard avec une ou deux pilules dans le creux d'une main. pour l'instant tu carbures au café pour tenter de repousser la douleur qui n'est pas appréciée, pour une fois. et c'est étrange, honnêtement. de revenir au niveau des salles d'attente et le voir déambuler. comme s'il savait déjà où aller. peut-être que t'as loupé un message ? une information importante ? un rendez-vous écrit dans le calendrier familial. une raison à sa venue. lui. le paternel. père adoré. tu comprends pas réellement. tu réagis sûrement trop lentement. le temps d'être sûr que c'est bien lui. pas une hallucination étrange pour te déconcentrer dans tes objectifs. tu lui cours après. t'élances à sa poursuite. il te sème presque. rapide dans ses pas. trop à côté de toi et de ta marche à peine moins lente que d'habitude. papa ? c'est pas assez fort pour qu'il l'entende. tu te presses pour l'atteindre. la main qui va attraper son épaule alors qu'il semble être arrivé à sa destination. face à une porte. les doigts tendus vers une poignée. tu réessaies. papa ? qu'est-ce qu'il se passe ? pourquoi t'es là ? il y a le sourire à toute épreuve, qui clash pourtant avec ta confusion claire. l'inquiétude qui se fait une place dans la gorge. tu comprends pas. qui est dans cette pièce ? qui est-il venu voir ? alastair. il dit ton nom comme s'il venait de l'apprendre. ou de se rendre compte de ton existence pour la première fois. c'est étrange. la situation est étrange. t'arrives pas à rassembler les détails pour que l'image se forme. il s'est passé quelque chose ? désolé, mon téléphone est éteint, j'ai peut-être raté quelque chose... c'est maman ? il lui est arrivé quelque chose ? qu'est-ce qu'il se passe ? tu te répètes. la voix monte et l'angoisse se fait sentir derrière le rire nerveux. mais il ne répond à aucune de tes questions. son regard passe de la porte à toi avant de lâcher un soupir. une main sur la tienne, la fait partir doucement, pose la sienne dans ton dos et commence à t'éloigner de la porte. un pas, puis un autre. il tente d'agir naturellement, mais plus rien ne semble l'être. ne t'en fais pas alastair, ta mère va bien. tu peux y aller. un sourire qui se veut rassurant. pourtant tu peux pas t'en empêcher. regarder la porte, puis son visage, la porte à nouveau. tu comprends pas, qu'est-ce qu'il se passe, au juste ? mais... qu'est-ce que tu fais là, alors ? le sourire est parti. confusion pure et dure, douloureuse sur les traits trop doux. une légère résistance quand il tente de bouger encore. tu mets tout ton poids sur tes talons pour empêcher le mouvement forcé de se répéter une nouvelle fois. alastair. et cette fois, le ton est dur. fort. le prénom laisse un goût dégueulasse en bouche.
c'est une mise en garde.
celle de fermer ta gueule et partir.
la porte s'ouvre. et c'est une petite blonde qui sort. jamais été très bon au jeu du devine mon âge mais tu lui donnes pas vingt ans. elle s'adresse à ton père. elle le connait. et tu fronces les sourcils. il lui lance un regard, par dessus l'épaule, que tu ne peux voir. elle marmonne une phrase que tu n'entends pas. plus. l'impression d'être laissé hors de la boucle. parce que tu comprends le premier mot. et ça empêche de capter ceux d'après. ça bouge trop vite. le fil de pensées s'emmêle. tu te tournes vers lui. mouvement brut. sa main quitte ton dos. le geste rassurant se barre. papa ? tu l'appelles pas. tu répètes le mot. incrédule, pas croire ce que t'as entendu. laisser planer le doute entre vous trois quand t'es pourtant sûr de ce que t'as entendu. alastair, c'est pas- le nom fait grimacer. tu lui lances un regard noir. oh ? c'est pas quoi ? j'ai mal entendu, c'est ça ?c'est moi le problème ? mon audition ? le nez qui se plisse sous les spasmes de la grimace. tu te tournes vers la petite, cette fois. plus un regard accordé au paternel. les mérite plus tant que la question n'a pas de réponse. dis moi. c'est qui cet homme, pour toi ? tu le connais ? le ton est redevenu doux. les yeux ont abandonné leurs éclairs. t'essaies de la mettre en confiance le plus possible. le sourire refait son apparition, même s'il est faux. pue le foutage de gueule, comme toute ta blague de famille. tu pointes du pouce le plus vieux, comme si la question de qui tu parlais pouvait se poser. il tente de répondre à sa place mais t'écoutes pas. seule sa réponse à elle t'intéresse à présent.
colibry ♡



would you love me moreif I killed someone for you


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Nyx Allenmembers  too many secrets
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statut civil : il y a des cœurs brisés, et ceux qui n'ont jamais vraiment connus d'émois. célibataire et l'cœur volage. y'a eu les crushs mais jamais les vrais amours. bien trop jeune, pour savoir ce que c'est vraiment, d'aimer ou de détester quelqu'un.
occupation : parce qu'elle a le cœur littéraire, et l'âme vendue à la pop culture. elle est vendeuse au comic shop du coin, dans le quartier de foothills village. c'est curieux d'bosser là où la copine de son frère travaille.
habitation : c'est son chiffre préféré, alors elle devait habiter sur un alignement parfait de celui-ci. quartier d'appel gate avenue, au n°333, dans un appartement un peu... en bordel.
nbre de mots : de 200 à 700 mots.
couleur rp : #339999.
disponibilités : indisponible :

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cible de scandale ? : Oui
trigger warning : nyx : abandon paternel, adultère, alcoolisme, dépression, maltraitance psychologique infantile, délaissement maternel, maladie mentale (démence), sexe (sûrement), vulgarités.
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(#) Lun 4 Mar - 13:37

◟a tale old as time◝


@Alastair Duke@Nyx Allen
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23 décembre 2023, à 17h15 | famille bancale, s'offre un instant de répit suite à l'appel inquiétant. m'a suscité l'envie de m'en aller, oh, ne pas répondre aurait été cruel. mère tant adorée, les hurlements n'ont jamais plus que muets depuis l'annonce d'un cerveau plaintif, d'une pathologie qui ronge le système nerveux jusqu'à n'en laisser d'une enveloppe en constante interrogation. la veste est déposée, le sourire avec elle. elle n'a pas le souvenir de moi, pas intacte. il est brouillon, rien qu'un mirage, juste le visage poupon et les couettes blondes avant d'aller à l'école. nos doigts se lient, peut-être qu'elle ne voit qu'en moi l'image de sa jeunesse confisquée. a pleuré sur mon berceau sa vie que j'ai injustement taché de ma présence. les mots vilains me reviennent, comme une chanson maladroite. une étreinte, et ce n'est pas ses plaintes que j'entends à travers les murs fins de cette chambre d'hôpital. voix masculines qui s'expriment, fortes, l'une incertaine, l'autre désire faire partir l'interlocuteur. mère s'inquiète, me demande ce qu'il se passe, l'angoisse serre autour de sa gorge, lui en veut à coup sûr à sa peau, je n'en ai jamais douté. mais ne t'en fais pas, maman, je vais voir ce qu'il se passe à l'extérieur. bonne fille que je suis, à sortir aussitôt les mots confiés. promesse de calmer la tempête, seule, elle ne court aucun danger. à se reposer, seule, solitude, solitaire, n'a jamais réellement aimé la compagnie de son bon vivant. voilà qui n'est pas méchant, de la laisser à son compte, quand je m'aventure dans le couloir, quand je referme la porte sur cette image qui, parfois, me rend si triste à imaginer encore. mère me peine, maman me manque, maman ne sera bientôt plus présente. juste un souvenir. mais je chasse bien vite cette idée, me rend à la source des voix à peine reconnues. l'une est familière, l'autre est inconnue. le visage aussi. les boucles. les vêtements. l'air soudainement surpris, choqué, abasourdi, étonné, blessé, cassé. sourire s'échappe. papa, qu'il répète. mon regard jongle, d'un homme à l'autre, grands, forts, moi, petite souris tente de m'échapper, de me cacher contre le mur juste derrière. encore quelques pas, et je touche le précieux. encore quelques pas, et les méchants loups pourront me dévorer. pourtant mon regard se jette, l'un à l'autre, pour tenter de comprendre le déroulement de cette scène incongrue. qui est le problème ? je tente de me faire plus petite qu'à l'habitué, me cache presque sous mes vêtements, si tenté que l'action soit réellement possible. mais le médécin s'adresse à moi, père tente de répondre à ma place. qui tente t-il de protéger réelelment ? j'entrouvre les lèvres, agneau apeuré, regarde l'air de ce garçon qui n'a rien d'effrayant. alors j'avance, d'un petit pas, ose peut-être dire à haute voix : oui, je connais cet homme... il s'agit de mon père... avouer parce qu'il n'a rien d'horrifique, ce garçon. mais la question veut se retourner, la question veut avoir une réponse bien plus claire que mon imagination qui commence à tourner les différents scénarios possibles. êtes-vous son fils, vous aussi...? que c'est demandé, tout bas, murmure garde le secret quand ma mère ne doit pas vivre cet événement. avancer d'un nouveau petit pas, les mains que je rejoins dans mon dos, danser d'un pied à l'autre, plus vraiment savoir où me mettre quand je suis le nombre rajouté à une équation qui devait aller si bien, au départ. je suis désolée, d'arriver dans votre vie comme ça, si c'est le cas... je ne voulais pas causer du tort... m'excuser à la place d'une traîtrise d'un père, cache son deuxième né, peut-être que je suis bien plus loin dans la liste ? ses parents sont-ils divorcés ? suis-je une pièce défectueuse du mécanisme ? les questions se bousculent, et quant à moi, je reste là, piquet humain au milieu d'une querelle de deux hommes, qui semble tellement justifiée pour le garçon à la blouse blanche.  
colibry ♡



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