night
vision
AccueilAccueil  RechercherRechercher  MembresMembres  GroupesGroupes  S'enregistrerS'enregistrer  Connexion  FAQFAQ  
Bienvenue sur wicked little town, forum city simple et sans prétentions qui se déroule dans la petite mais mouvementée ville de Klamath Falls (Oregon, USA). Lieu de détente où vous verrez s'affronter les différentes classes sociales, venez interpréter des personnages issus de tous horizons. Pour citer une célèbre marque : venez comme vous êtes ! Mais attention, Scandale n’est jamais bien loin pour dévoiler les secrets que vous cachez.

 

 serre-moi fort que j'oublie qu'c'est le chaos ((leo))

Aller en bas 
Mikey Chinenmembers  too many secrets
Mikey Chinen
messages : 3072
rps : 42
pseudo : decay
pronom irl : il/he/him
id card : nijiro murakami (ava : day.light ; signa : rogers + cyaspeedy)
multicomptes : alastair in weederland (t. chalamet) + pandora l'insupportable (m. alcock)
gif : serre-moi fort que j'oublie qu'c'est le chaos ((leo)) S4XDd3rt_o
âge : ça fait maintenant vingt-quatre ans que tu erres sur cette pauvre terre. le pas lourd et traînant, les soupirs bruyants et pleins d'ennui. vingt-quatre ans, pourtant t'as pas encore vu ce que ça voulait vraiment dire d'être adulte. le quart de siècle dans quelques semaines. tu cherches encore le sens de ta vie. penses le retrouver à chaque fois que tu revois le dealer.
statut civil : tu te considères jamais réellement en couple, pas pour ces relations si peu importantes qui durent quelques mois dans le meilleur des cas. céli-bâtard qui décide de noyer les sentiments dès qu'ils menacent de fleurir. qui ne fait rien d'autre que jouer avec ceux des autres. qui privilégie le charnel à l'émotionnel. même si y a celle que t'appelles la femme de ta vie, leo, même si c'est purement platonique et physique. et chimique, très chimique.
occupation : "vous v'nez voir quel film ?" t'es ce type qui voit tous les spectateurs passer avant de rejoindre les salles de projection. tu vends des tickets toute la journée, comme le bon putain de pnj chiant que tu sembles être devenu. quelques soirs, tu te mets dans le coin d'un bar pour jouer un morceau avec quelques potes, votre groupe que vous appelez ça. ça paie moins mais pourtant, tu préfères. même si tu te fais rarement du fric grâce à ça, tu prends à coeur ton job d'informateur. offrir les révélations contre des avantages. secrets observés, adresses, plans de soirée ou plus. ouais, tu vois un peu ça comme un taf.
nbre de mots : 400 minimum, plus si on m'en donne l'occasion
couleur rp : #ff9933 + gras
pronom ig : il/lui
cible de scandale ? : Oui
trigger warning : vulgarité, manipulation, drogues/addiction, "deal", alcool, sexe et hypersexualité, violence
( peut aussi apparaître mais moins joués : problèmes cardiaques, hôpital, grossesse adolescente, maltraitance infantile, harcèlement)

(#) Lun 23 Oct - 8:39

◟serre-moi fort que j'oublie qu'c'est le chaos◝


@Leo Brooks
outfit ✧

tw : conneries de mikey en général tbh
un paquet de clopes entre des doigts tremblants. c’est pas le froid. pas quand t’as toujours une de tes foutues vestes. comme cousue directement à ta peau, les fils plongeant dans et hors de ton épiderme. tu portes le filtre à tes lèvres une nouvelle fois, laisses la cellulose te brûler le bout de la langue, te lécher, mordre la lèvre inférieure. comme une amante qui est revenue te dévorer après des années d’abstinence. t’as jamais été un gros fumeur, ou même un fumeur tout court. t’en piquais une de temps à autres, la finissais même pas, la refilais à quelqu’un d’autre. prince mikey n’arrive pas aux mégots. t’as sa putain de voix dans la tête. son image gravée dans la rétine, revenue dans ton crâne, cauchemar d'antan. réminiscence insupportable. c’est un fantôme mais t’as tellement envie de le buter. l’enterrer à niveau dans le cimetière de tes souvenirs réprimés. tu fais tourner la bague encore et encore. et quand les doigts s’arrêtent de danser, tu portes l’ongle à ta bouche, bouffes, ronges dès que la clope s’éloigne. ta jambe bouge toute seule. ta colère, ta peur, ton anxiété, tout est visible. tes émotions sont à plat, posées devant toi. et t’es obligé de les regarder dans le blanc des yeux. t’es obligé de voir qu’elles existent encore, malgré tout. t’arrives plus à savoir si tu préfèrerais hurler, pleurer ou te rouler en boule dans la poussière, te laisser aspirer par la noirceur. celle de la baraque branlante, abandonnée. celle de ton esprit, tout aussi abandonné. parce que c’est tout ce que t’es. une nouvelle fois laissé seul, ignoré, oublié. t’as envie que le monde se referme sur toi. te replonger dans cette époque sombre dans laquelle tu trouvais pourtant tout le confort dont t’avais besoin. l’alcool qui coulait sur ta langue, jusqu’à ton oesophage, brûlait tes entrailles. les drogues que tu ne comptais même plus. celles que t’avais testées, celles qu’on t’avait promis de te faire essayer. des expériences nouvelles comme s’il en pleuvait. c’était agréable. être trop défoncé pour se rappeler que c’est la merde. la merde en dehors de ta bulle de bonheur chimique. oublier, encore et encore, que la vie est une pute avec toi depuis ta naissance. que la seule chaleur vient de ce qui est mauvais pour toi. peut te buter en un clin d’oeil alors que ça en prend deux, pour les autres.
tu voulais pas te lâcher sur elle. tu voulais pas que la colère se déverse sur elle comme un torrent. tu voulais tout garder à l’intérieur mais ça explose. tes barrières sont devenues trop fines. à vouloir s’éloigner le plus possible de la chaleur, t’as fini par te cramer avec juste une poignée de degrés en plus, malgré tes fringues ignifuges. t’arrives même pas à l’écrire. ce dont t’as envie. parce que tu hais tout ça. tu hais le fait d’avoir tenté de protéger cet enfoiré. tu hais le fait que, maintenant, tu veux la même chose que ce que t’as voulu lui faire arrêter. t’en as tellement besoin, tellement putain de besoin, un mantra infernal dans ta tête. ça tourne en boucle. tout tourne en boucle. tourbillon de pensées qui te donnent le tournis. tu mets du temps à répondre. t’enchaînes les cigarettes. ça t’étonnerait sûrement, si t’en avais quelque chose à foutre. mais t’en es plus capable. puis pire idée devient la meilleure que t’aies jamais eue. et tu sais pas vraiment comment, tu veux pas savoir. mais ton choix est fait. ça t’aveugle tellement que tout le reste disparaît. tu continues de répondre. tu sais pas avec quelle force. tu dis rien, mais c’est déjà trop. même si c’est leo, même si c’est sûrement la personne vers qui tu sais que tu peux aller sans aucun jugement. t’as juste. pas envie d’être perçu comme faible. d’être vu comme le pauvre animal blessé que t’es en réalité. mais c’est elle, qui t’empêche de courir à ta fin. qui t’empêche de conduire jusqu’au coin où il allait se fournir. t’étais avec lui, des fois. c’était ce qui se rapprochait le plus d’un date, il semblait. mais elle est là. et tu sais ce que ça fait, de voir quelqu’un qu’on apprécie, qui a beaucoup trop de valeur dans un coeur, glisser lentement, ignorer les paumes tendues puis tomber sans s’arrêter, sans pouvoir être retenu. tu veux pas lui faire ça. sauf que ses mots sont doux, trop doux. des façons de te rassurer, t’assurer qu’elle sera là quoi qu’il se passe. et tu perçois ça de la mauvaise manière. comme une main qui te pousse vers le feu. qui te dit de te faire bouffer par les flammes, que tout ira bien une fois que tu réussiras à te réchauffer. laisseras la chaleur entrer à nouveau. c’est assez pour que tu cèdes.
les mains sur le volant. la tête tombant sur elles. tu devrais pas être là. tu devrais même pas te souvenir du chemin. il suffit d’un coup d’oeil à ton téléphone. la blonde qui sourit à tes côtés sur le fond d’écran. les mots qui te poussent juste à faire une grosse connerie. t’as conscience que c’en est une. pourtant tu peux pas t’arrêter. tu peux pas arrêter ta main quand elle attrape la poignée, ton corps qui sort du véhicule, tes pieds qui s’avancent vers le coin de rue noir. ça semble trop simple. gravé en toi. comme jamais parti. t’avais dix-sept ans, la première fois. tu t’en souviens même pas, te rappelles juste attendre quelques pas derrière son corps, la tête pleine de brouillard, de couleurs, de sensations que tu ne connaissais que trop bien. obligé de la poser contre un mur pour ne pas te casser la gueule. l’attente, alors qu’il récupère son sachet, blague avec le dealer. puis cette main sur ta hanche pour te faire revenir sur terre quelques secondes, l’heure du départ. tu répètes juste les gestes. les salutations, les petits rires idiots, la discussion aussi profonde qu’une assiette plate. tu repars avec la poche plus lourde, le porte-feuille plus léger. l’impression d’être éveillé pour la première fois depuis des années. tu plonges dans un bain d’huile bouillante sans pour autant la sentir bouffer ta peau jusqu’à ce qu’il ne reste plus que brûlures et cicatrices. tu t’en fiches. tant qu’il y a cette chaleur qui entoure ton corps, semble l’avaler. cette résurrection de ton esprit. enfin satisfait. enfin heureux. en paix. tu ranges le téléphone dans la poche de ta veste, attrapes tes clés avant de sortir. te retrouves devant cette porte bien trop familière. c’est un peu devenu ta deuxième maison. tu t’apprêtes à faire le code pour entrer quand tu te retournes. cours vers ta voiture, qui n’est pourtant qu’à quelques mètres. tu ouvres la boîte à gants, sors une de tes fameuses bouteilles. une de celles qui indiquent un médicament qui n’est pas à l’intérieur, pourtant. tu la glisses dans ta poche avant de recommencer le petit manège. fermer la voiture, aller jusqu’à la porte. si tu ramènes un cadeau à leo, peut-être qu’elle verra pas l’état étrange dans lequel t’es. peut-être qu’elle laissera passer. tu tapes le code et entres. peut-être qu’elle oubliera, elle aussi.
colibry ♡ doom days


« j'regrette mes vieux démons, roi dans l'mensonge,
esclave dans l'vrai monde, vigilent à chaque seconde,
si j'le laisse seul, mon esprit s'égare dans la pénombre.
j'pensais m'lever un matin, être un homme,
sûr que la vie qu'j'ai choisie est la bonne.
fiable, avoir construit quelque chose de stable.
j'suis qu'un sale gosse sur un château d'sable. »



Mikey, définition par Le Petit Halstead:


Dernière édition par Mikey Chinen le Lun 23 Oct - 17:56, édité 1 fois
Revenir en haut Aller en bas
Leo Brooksmembers  too many secrets
Leo Brooks
messages : 1757
rps : 18
pseudo : elio
pronom irl : il.
id card : marissa long + pvtti smith (ava) + daylight (signa)
multicomptes : hera, marcus, nyx.
gif : serre-moi fort que j'oublie qu'c'est le chaos ((leo)) F0a768bd5cbcb300942ce2c10bda8cad
âge : 01.11. compte à rebours lancé pour connaître l'ivresse des vingt-cinq ans. encore une fête où elle perdra la tête.
statut civil : c'est chaotique, bordélique. célibataire mais avec des émotions fortes. mikey collé sa peau. c'est confus mais c'est là, c'est secret, mais ça s'voit. accumule les conquêtes, pour avoir des histoires à refaire et à raconter. plaisir de liberté.
occupation : réputée, la gameuse du jeu league of legends, parce qu'elle en a fait sa vie y'a des années de ça. streameuse sur twitch, rediffusion sur youtube, sa chaîne s'appelle ahri.tv. à côté, elle est réceptionniste au motel du coin, et de l'autre côté, encore un secret, elle a ouvert un compte onlyfans y'a quelques mois de ça.
habitation : ça tombait sous le sens, de créer une colocation avec mikey. vous pouvez les entendre au n°..., à appel gate avenue. oubliez pas zoro, il est toujours là.
nbre de mots : entre 200 et 700 mots.
couleur rp : #339999
disponibilités : indisponible :

mikey
mikey n°2
wendy & nova
esther
pronom ig : elle.
cible de scandale ? : Oui
trigger warning : leo : vulgarités, consommation de drogues et d'alcool, sexe (non explicite), pression parentale, religion, relation toxique/manipulation/violence psychologique, agression, violence physique, dépression.
moi : à discuter en amont.

(#) Lun 23 Oct - 12:44

◟serre-moi fort que j'oublie qu'c'est le chaos◝


@Mikey Chinen
outfit ✧

tw : conneries de mikey en général tbh
des heures, voilà ce que je tourne dans mon crâne depuis tout à l'heure, des heures. chantier infernal des questions qui débloquent, à voguer entre le sol grinçant de mon appartement et le vide où j'espère voir les phares de sa voiture m'aveugler. y'a les erreurs de syntaxe que je tape machinalement, y'a les excuses qui se tapissent sur une conversation où j'ai perdu le total contrôle de mes émotions. vives dans le négatif, vives dans l'explosion qu'il balance. des heures pourtant, à obtenir les réponses, aux hurlements imaginés - ça m'effraie, juste quelques secondes, à m'en retourner les entrailles, à m'en faire pleurer des larmes trop amères. ça brûle les joues, mais le reste, je l'envoie balader. dans le besoin affreux de ressentir sa présence, pourvu que ça puisse être possible, de rester une bouffée d'air frais. garder la tête haute quand elle se balance dans le vide, penchée au balcon parce que je ressens l'air qui me bouffe la peau. des bras. des jambes. y'a le nez rouge et le souffle qui crache la fumée humide. à maudire le temps, à maudire les souvenirs d'antan, les articles et les mots crachés sans même une once de remord. à ressentir, parfois, comme ça tue, quand je ne sais rien, du passé qui resurgit, des émotions qui naviguent si bien jusqu'à l'étouffer. plus une larme, juste les dents qui me bouffent la lèvre inférieure par simple nervosité. lui offrir une oreille, une épaule, plus insister, parce que ça fait qu'empirer l'état grave de la situation. à tapoter sur les touches, à défendre le cœur cassé. à la proposition de ne plus me séparer de lui, à la proposition d'arrêter la distance, écourter le temps, juste pour lui. veiller dans ma naïveté, veiller dans ma candeur. puis ça s'illumine, parce qu'il arrive, parce que les mots sont clairs. parce que ça fait mal dans la poitrine, à presque souffler trop bruyamment, pas savoir pourquoi - angoisse presque inconnue, inquiétude qui me bouffe, parce que c'est mikey. des minutes, à attendre, encore, que le bout de la ville soit que quelques centimètres seulement. des secondes, longues, à me crever la rétine par les phrases jaunâtres de sa voiture. à voir le corps, se balader, de l'entrée à la voiture, de la voiture à l'entrée. et je cours presque, jusqu'à la porte d'entrée, impatiente, crevée de sa peine, crevée des hurlements inaudibles. pas capable d'oublier, pas capable d'oublier. à revoir les confidences, à revoir les lettres en majuscule. le crâne les a imprimés, sur les zones qui clignotent. ouvrir la porte, peut-être un peu trop brutalement, c'est vif, avant que je le regarde, le détaille. il a l'air presque trop normal, rien n'atteint le visage détendu. haussement de sourcils, surprise, je comprends plus vraiment, l'image en décalage. mikey... murmure dont je sais pas vraiment si il est audible, c'est soufflé, parce que j'approche, d'un pas, ou de deux, je sais pas vraiment. calculer, l'air, observer le détendu. le sourire plus présent, juste un peu, mais ça cause un peu mal. à le tirer à l'intérieur, pas un spectacle - pour les voyeurs, quand ils entendent bien des opéras. est-ce que tu as... pris quelque chose...? juste un soupçon, un regard lancé dans le sien - bouée de sauvetage, ou je me noie finalement dans son regard. mais ça dure pas, parce que les iris glissent sur son visage, jusqu'à son corps. trouver l'astuce, qui trahit. est-ce que ça va...? réponse négative, très sûrement, c'est juste stupide. question idiote, mais je meurs d'inquiétude. égoïste sûrement, quand mes doigts s'accrochent misérablement à la manche de sa veste. mais pourvu, que je puisse être encore, juste un peu, le bien au fond du tunnel.
colibry ♡ doom days



tomboy yeah, i'm off my face. your love is my addiction and i like the taste. yeah, i just can't resist it. you are the thing that Iicrave when it's hard to sleep at night. i'll do anything for you, so just tell me what you like.

CODE BY DAY.LIGHT


i'd give you the sun if you asked me:
Revenir en haut Aller en bas
Mikey Chinenmembers  too many secrets
Mikey Chinen
messages : 3072
rps : 42
pseudo : decay
pronom irl : il/he/him
id card : nijiro murakami (ava : day.light ; signa : rogers + cyaspeedy)
multicomptes : alastair in weederland (t. chalamet) + pandora l'insupportable (m. alcock)
gif : serre-moi fort que j'oublie qu'c'est le chaos ((leo)) S4XDd3rt_o
âge : ça fait maintenant vingt-quatre ans que tu erres sur cette pauvre terre. le pas lourd et traînant, les soupirs bruyants et pleins d'ennui. vingt-quatre ans, pourtant t'as pas encore vu ce que ça voulait vraiment dire d'être adulte. le quart de siècle dans quelques semaines. tu cherches encore le sens de ta vie. penses le retrouver à chaque fois que tu revois le dealer.
statut civil : tu te considères jamais réellement en couple, pas pour ces relations si peu importantes qui durent quelques mois dans le meilleur des cas. céli-bâtard qui décide de noyer les sentiments dès qu'ils menacent de fleurir. qui ne fait rien d'autre que jouer avec ceux des autres. qui privilégie le charnel à l'émotionnel. même si y a celle que t'appelles la femme de ta vie, leo, même si c'est purement platonique et physique. et chimique, très chimique.
occupation : "vous v'nez voir quel film ?" t'es ce type qui voit tous les spectateurs passer avant de rejoindre les salles de projection. tu vends des tickets toute la journée, comme le bon putain de pnj chiant que tu sembles être devenu. quelques soirs, tu te mets dans le coin d'un bar pour jouer un morceau avec quelques potes, votre groupe que vous appelez ça. ça paie moins mais pourtant, tu préfères. même si tu te fais rarement du fric grâce à ça, tu prends à coeur ton job d'informateur. offrir les révélations contre des avantages. secrets observés, adresses, plans de soirée ou plus. ouais, tu vois un peu ça comme un taf.
nbre de mots : 400 minimum, plus si on m'en donne l'occasion
couleur rp : #ff9933 + gras
pronom ig : il/lui
cible de scandale ? : Oui
trigger warning : vulgarité, manipulation, drogues/addiction, "deal", alcool, sexe et hypersexualité, violence
( peut aussi apparaître mais moins joués : problèmes cardiaques, hôpital, grossesse adolescente, maltraitance infantile, harcèlement)

(#) Mar 24 Oct - 12:05

◟serre-moi fort que j'oublie qu'c'est le chaos◝


@Leo Brooks
outfit ✧

tw : conneries de mikey en général tbh
le vacarme de tes baskets sur le sol, dans les quelques pas que tu dois faire pour arriver jusqu'à la porte. elle s'ouvre devant toi, comme automatisée, attendant ta venue. mais tu sais que c'est pas la porte, qui t'attendait le plus. le petit sourire légendaire est plus grand que d'habitude. la grimace ressemble déjà plus facilement à ce que n'importe qui d'autre pourrait offrir. sauf que t'es pas n'importe qui d'autre. et une telle expression sur ta gueule, ça doit faire bizarre. t'y fais pas réellement gaffe. peut-être que tu forcerais les commissures à redescendre, si tu faisais gaffe. mais tu te contentes de la regarder, avec cet air détendu qu'elle n'a dû voir que trop peu. c'est plus que de la détente. la paix après la guerre de ton esprit. tu fais tout ton possible pour calmer la vitesse de ta respiration. comme si t'avais couru un marathon avant de venir. comme si le moindre mouvement était une séance de cardio. tu l'entends, ton nom, soufflé de façon presque inaudible. tu te concentres sur ses lèvres alors qu'elles bougent, vois les lettres danser sur le bout de sa langue plus qu'autre chose. elle te tire à l'intérieur, les doigts entourant ton poignet à travers le tissus. tu te laisses attirer, la porte qui se ferme dans ton dos. t'as l'impression de te concentrer sur tous les mouvements autour, tous les sons. ne pas tourner la tête en leur direction, pour les analyser en profondeur, est une épreuve en soi.
puis la question. tu savais qu'elle finirait par apparaître à un moment. dans son esprit, au moins. t'espérais peut-être qu'elle ait pas le courage de dire un truc. ferme les yeux, leo, juste cette fois. ça te donne envie de rire. parce qu'elle te connaît, la blonde. tu hausses un sourcil, légèrement amusé. laisses échapper un petit rire, coincé dans le fond de ta gorge. tu te retiens de lui dire que t'étais bien loin, déjà, quand vous vous êtes rencontrés. qu'elle t'a vu plus souvent sous l'influence d'une quelconque substance que dans ton état normal. l'état second est devenu ton état principal, avec les années. t'as tenté de le combattre, pourtant. essayant tant bien que mal de sortir de ce monde pourri dans lequel il t'a fait plonger. t'as dû tenir quelques mois avant de décider de toi-même de marcher dans les pas qu'il avait laissé dans la neige. tu tentes de rien dire. mais t'ouvres quand même la bouche. connement. t'avoues, parce qu'à quoi bon le cacher ? tu pourras toujours mentir sur ce que t'as pris plus tard, mais simuler la sobriété quand tu ne sais même plus vraiment à quoi elle ressemble, c'est stupide. "tu m'connais..."
tu sens son regard t'inspecter, sûrement qu'elle essaie de comprendre. de trouver un truc, n'importe quoi. quelque chose qui lui soufflerait à l'oreille ce qu'il se passe vraiment. mais aucun son. le vent ne dévoilera pas tes secrets. seconde question. tu fais tout pour cacher la tension qui prend ton corps en entendant les mots. t'es pas sûr de la réponse toi-même, comment tu pourrais lui répondre. évidemment, tu te sens plus vivant que jamais. comme la première bouffée d'oxygène après avoir passé un temps incalculable sous l'eau. t'as cette envie de la prendre dans tes bras, la rassurer, changer le sens de ses pensées vers quelque chose de plus beau. mais tu bouges pas. restes là avec ton stupide sourire. laisses ses doigts se saisir de ta manche. tu poses finalement ta main sur le haut de son crâne, caresses doucement les cheveux blonds dans une tentative stupide de l'apaiser alors que tu marmonnes "t'inquiètes." comme si ça allait tout arranger. comme si sa possible inquiétude allait dégager avec cette phrase si courte qu'elle n'en mérite pas le nom. tu dégages ton bras de son emprise, laisses la main couper le contact avec sa tête. tu cherches dans ta poche la petite bouteille avant de la lui lancer, même si t'es juste devant elle, même s'il serait plus intelligent, plus simple, de lui refermer les doigts dessus. c'est une technique idiote. c'est sûrement un de tes mauvais comportements qui ressort. tu sais très bien ce que tu fais. et habituellement, t'évites. tu te retiens, quand il s'agit de leo ou achilles. mais vu la situation, vu ton esprit embrumé et devenu un poil plus égoïste qu'en temps normal, tu t'en fiches. balaies du revers de la main ta petite tentative de manipulation. c'est innocent, c'est pas méchant. tu veux juste pas qu'elle s'inquiète, quel mal à ça ? la vérité n'est pas bien belle. les raisons, le contexte derrière la rendent encore plus infâme à regarder en face. tu la préserves, c'est tout. lui caches les yeux d'une main douce, lui offres une diversion. t'es pas un mauvais type, si tes intentions ne le sont pas.
sans un mot de plus, tu marches vers le petit balcon. sors le paquet neuf de clopes. neuf mais déjà bien vidé. tu glisses l'une d'elles entre tes lèvres, remarquant la vue directe sur là où tu t'es garé. tu te figes. les muscles qui brûlent doucement sous la tension, les dents qui se serrent et se frottent les unes contre les autres. t'espères juste qu'elle a pas attendu là, ou pas assez longtemps. pas observé ton petit manège. aucune idée de ce qui a pu se passer avant que tu sortes. tu tires sur la clope, laisses la fumée envahir tes poumons avant de recracher. tu te tournes, vers l'intérieur, vers elle. poses ton épaule contre l'encadrement de la porte pour te soutenir. le silence te soule. tu cherches la première chose à dire pour le combler. "t'es vraiment sûre d'être prête à me supporter chaque jour de l'année ? nan parce que. si tu me trouves chiant maintenant, tu seras clairement pas préparée." nouvelle taffe, tu souffles la fumée derrière toi, pour qu'elle ne rentre pas, pour qu'elle n'embaume pas l'intérieur. tes bras se croisent. normalement, tu frissonnerais, râlerais parce qu'il fait déjà trop fois, trop tôt dans l'année. mais tu fais pas attention à ça, quand ton corps est en surchauffe.
colibry ♡ doom days


« j'regrette mes vieux démons, roi dans l'mensonge,
esclave dans l'vrai monde, vigilent à chaque seconde,
si j'le laisse seul, mon esprit s'égare dans la pénombre.
j'pensais m'lever un matin, être un homme,
sûr que la vie qu'j'ai choisie est la bonne.
fiable, avoir construit quelque chose de stable.
j'suis qu'un sale gosse sur un château d'sable. »



Mikey, définition par Le Petit Halstead:
Revenir en haut Aller en bas
Leo Brooksmembers  too many secrets
Leo Brooks
messages : 1757
rps : 18
pseudo : elio
pronom irl : il.
id card : marissa long + pvtti smith (ava) + daylight (signa)
multicomptes : hera, marcus, nyx.
gif : serre-moi fort que j'oublie qu'c'est le chaos ((leo)) F0a768bd5cbcb300942ce2c10bda8cad
âge : 01.11. compte à rebours lancé pour connaître l'ivresse des vingt-cinq ans. encore une fête où elle perdra la tête.
statut civil : c'est chaotique, bordélique. célibataire mais avec des émotions fortes. mikey collé sa peau. c'est confus mais c'est là, c'est secret, mais ça s'voit. accumule les conquêtes, pour avoir des histoires à refaire et à raconter. plaisir de liberté.
occupation : réputée, la gameuse du jeu league of legends, parce qu'elle en a fait sa vie y'a des années de ça. streameuse sur twitch, rediffusion sur youtube, sa chaîne s'appelle ahri.tv. à côté, elle est réceptionniste au motel du coin, et de l'autre côté, encore un secret, elle a ouvert un compte onlyfans y'a quelques mois de ça.
habitation : ça tombait sous le sens, de créer une colocation avec mikey. vous pouvez les entendre au n°..., à appel gate avenue. oubliez pas zoro, il est toujours là.
nbre de mots : entre 200 et 700 mots.
couleur rp : #339999
disponibilités : indisponible :

mikey
mikey n°2
wendy & nova
esther
pronom ig : elle.
cible de scandale ? : Oui
trigger warning : leo : vulgarités, consommation de drogues et d'alcool, sexe (non explicite), pression parentale, religion, relation toxique/manipulation/violence psychologique, agression, violence physique, dépression.
moi : à discuter en amont.

(#) Ven 27 Oct - 14:21

◟serre-moi fort que j'oublie qu'c'est le chaos◝


@Mikey Chinen
outfit ✧

tw : conneries de mikey en général tbh
tout déconne, comme une image mal fichue, un virus dans les lignes de chiffres qui s'accumulent. y'a plus les signes d'avant, remplacés sans remord par les étrangetés d'un sourire. il y a cette ombre qui s'étend, je sais pas réellement si, plus fort, on pourrait apercevoir les fossettes. parce que j'en crève sûrement les traits de son visage, pour comprendre, ne serait-ce, qu'une seule émotion. à tenter de dénicher la différence, quand elle crève sur son visage tout entier. à faire claquer la porte, juste derrière - elle se fermera seule, à avoir l'esprit trop ailleurs, en lui, quitte à me perdre, ce soir. déchiffrer, oui, pas bien douée, ce qui a causé le mauvais. article à peine survolé, y'a que son nom qui a su m'attirer. pas maudire, les autres noms placardés, à blâmer le passé resurgissant sans même que je puisse le connaître réellement. puis je fais tomber les questions idiotes - c'est moi, pendant cette infime seconde, que j'insulte. stupide, idiotie, connerie... les noms s'enchaînent, parce que le questionnement est jamais bon. parce que jamais, je n'ai vu un côté plus sobre, parce qu'avec lui, je m'y laisse souvent bien tentée, baisée par ces cachets agréables. état second, pour ma personne, état habituel pour lui. état normal. pas normal. anormal. ça revient, la paix, le sourire qui s'agrandit. et ça sonne faux. quand je voudrais pourtant croire que ça pourrait sonner authentique. hypnotise, mais plus de la même manière - parce que je le connais, parce qu'il l'affirme, et que y'a sûrement rien de plus vrai que ça. parce que je le connais, et que je crois, que y'a une étendue que j'ai pas encore foulé, même après des mois, et des mois. des baisers, des soupirs, des sourires, des affections ; après nous. c'est parce que je te connais que je pose cette question, je crois... parce que nos effets sont jamais les mêmes. parce que la douceur des bonbons est opposée, parce qu'il sonne plus comme avant. destruction, auto, ou simple envie d'ailleurs. déglutir, sentir le malaise - pas physique, y'a juste dans mon crâne que les lignes sont plus si droites. il lance les mensonges, et j'arrive pas à les gober. forcée à avaler le mythe, mais je dégueule trop vite le brouillon. pourtant y'a le contact physique qui apaise un peu, le soupir que j'échappe. juste la paume de sa main sur le haut de mon crâne, mais y'a ce besoin de le voir exister près de moi. à ressentir le bon, mais l'inquiétude revient. il lâche les mots. pas s'inquiéter. il lâche le contact, se détache. lance la bouteille. rattrapée de justesse, observée. sobre, ou loin avec lui ? sobre, ou ailleurs, mais pas comme lui ? parce que je veux savoir, et pourtant, j'insiste plus, parce que ça se ressent, les yeux mouillés, et la tête trop pleine de questions à faire tomber autre part. c'est beaucoup demandé, de pas m'inquiéter... forcer le sourire, un peu triste - morose, c'est pas vraiment moi, mais faut croire qu'il est bien plus important que n'importe qui d'autre. puis ça étonne, ça, la fumée grisâtre. jamais vu la clope au bec, jamais vu recracher ce qui a pas forcément la plus bonne des odeurs. sourcils haussés, j'observe le spectacle, nouveau, m'offre une nouvelle scène. je sais plus vraiment, si je suis spectatrice ou protagoniste en second plan. désir bouffeur de découvrir ce qui l'anime - ou ce qui le tue, quand il a l'air plus éveillé là-maintenant. ouvrir le couvercle, et pas hésiter. prendre le cachet. il est joli, aujourd'hui. plus que les autres jours. avalé joli cacheton. avalé, l'emprise sur mon esprit. poser la bouteille sur le bureau, et avancer vers la fenêtre, c'est un mécanisme bien connu. c'est un aimant, venir vers lui, me ronger, d'un lui qui n'est plus lui, pas correctement, si lui a déjà existé. sourire juste un peu plus, regarder dehors, le menton posé sur son épaule. lui tourner un peu le dos, mais je quémande juste au moins un peu de contact. je veux vivre avec toi, puis y'a des moments où tu vois achilles, alors je suis pas sûre que tu sois là tous les jours de l'année. la garde alternée avec achilles ça ruine un peu le truc... laisser un rire m'échapper, juste rigoler un peu. à y réfléchir, c'est sûrement pas faux. mais quand je recule, j'essaie d'avoir l'air un peu plus sérieux, apaisé ? je sais plus vraiment, je veux juste que ça bouffe pas plus. je suis décidée, je veux te supporter tous les jours. puis je pourrais... veiller sur toi. profiter de plus de temps avec toi. et essayer de t'offrir un moment de répit. parce que ça, j'ose pas le dire. à garder le menton sur son épaule, mais cette fois, je suis tournée vers lui, le regard qui se balade sur la mâchoire qui avale la fumée. ça fout un coup dans le cœur, mais je saute pieds-joints sans hésiter pour le suivre. tu n'as pas froid ? parce qu'il fait trop froid, en ce début d'automne. parce qu'en temps normal, il aurait déjà râlé. mais que là, je sais même pas sentir sa peau. parce que je creuse, quand les effets sont pas encore bien établis. plus qu'une demie-heure, avant de m'immiscer dans le monde similaire. plus qu'une demie-heure, à l'observer, et à me laisser submergée par son emprise. parce que j'ose croire, que mes idées, il les déviera, dès que son souhait sera exaucé.
colibry ♡ doom days



tomboy yeah, i'm off my face. your love is my addiction and i like the taste. yeah, i just can't resist it. you are the thing that Iicrave when it's hard to sleep at night. i'll do anything for you, so just tell me what you like.

CODE BY DAY.LIGHT


i'd give you the sun if you asked me:
Revenir en haut Aller en bas
Mikey Chinenmembers  too many secrets
Mikey Chinen
messages : 3072
rps : 42
pseudo : decay
pronom irl : il/he/him
id card : nijiro murakami (ava : day.light ; signa : rogers + cyaspeedy)
multicomptes : alastair in weederland (t. chalamet) + pandora l'insupportable (m. alcock)
gif : serre-moi fort que j'oublie qu'c'est le chaos ((leo)) S4XDd3rt_o
âge : ça fait maintenant vingt-quatre ans que tu erres sur cette pauvre terre. le pas lourd et traînant, les soupirs bruyants et pleins d'ennui. vingt-quatre ans, pourtant t'as pas encore vu ce que ça voulait vraiment dire d'être adulte. le quart de siècle dans quelques semaines. tu cherches encore le sens de ta vie. penses le retrouver à chaque fois que tu revois le dealer.
statut civil : tu te considères jamais réellement en couple, pas pour ces relations si peu importantes qui durent quelques mois dans le meilleur des cas. céli-bâtard qui décide de noyer les sentiments dès qu'ils menacent de fleurir. qui ne fait rien d'autre que jouer avec ceux des autres. qui privilégie le charnel à l'émotionnel. même si y a celle que t'appelles la femme de ta vie, leo, même si c'est purement platonique et physique. et chimique, très chimique.
occupation : "vous v'nez voir quel film ?" t'es ce type qui voit tous les spectateurs passer avant de rejoindre les salles de projection. tu vends des tickets toute la journée, comme le bon putain de pnj chiant que tu sembles être devenu. quelques soirs, tu te mets dans le coin d'un bar pour jouer un morceau avec quelques potes, votre groupe que vous appelez ça. ça paie moins mais pourtant, tu préfères. même si tu te fais rarement du fric grâce à ça, tu prends à coeur ton job d'informateur. offrir les révélations contre des avantages. secrets observés, adresses, plans de soirée ou plus. ouais, tu vois un peu ça comme un taf.
nbre de mots : 400 minimum, plus si on m'en donne l'occasion
couleur rp : #ff9933 + gras
pronom ig : il/lui
cible de scandale ? : Oui
trigger warning : vulgarité, manipulation, drogues/addiction, "deal", alcool, sexe et hypersexualité, violence
( peut aussi apparaître mais moins joués : problèmes cardiaques, hôpital, grossesse adolescente, maltraitance infantile, harcèlement)

(#) Ven 27 Oct - 23:01

◟serre-moi fort que j'oublie qu'c'est le chaos◝


@Leo Brooks
outfit ✧

tw : conneries de mikey en général tbh
tu sais que c'est pas bien. tu sais que tu devrais pas. mais la voir gober ce que tu lui as offert. accepter presque avec joie la distraction que tu lui as tendu. c'est jouissif, presque. comme une promesse que les questions vont s'arrêter, comme un annulaire qui s'accroche au tien alors qu'elle murmure qu'elle ne voit rien, qu'elle se cache les yeux parce que tu lui demandes. tu lui changes les idées en lui jetant de la poudre au visage, des mots dans les airs. changement de sujet total. t'as beau aimer l'attention habituellement, être le thème récurrent dans les conversations, ce soir ? t'évites ça comme la peste. une peste trop curieuse, prête à te bouffer pour quelques grammes de vérité pure mais surtout dure. tu recraches une nouvelle fois la fumée logée dans tes poumons derrière toi. et le temps de te tourner vers elle une nouvelle fois, elle s'est rapprochée. pose sa tête sur ton épaule. tu te retiens de te pencher vers elle, tu te retiens de poser ta main sur son crâne ou même de te dégager du contact, par simple peur de te trahir tout seul. parce que tu le sais, avec leo, un toucher et tout s'embrase. un toucher et tu l'attaques, tu dévores tout. les dents au dessus de sa jugulaire, les mains qui découvrent territoire bien connu, les voix qui finissent toujours par se mêler et faire un concert que t'aimerais entendre en boucle, par moments. mais tu bouges pas. tu laisses faire. t'essaies de relaxer tes muscles le plus possible alors que tu portes la clope à tes lèvres une fois de plus, l'écoutant, posant toute ton attention sur ses mots. la commissure des lèvres qui remonte peut-être un peu plus, alors qu'elle rigole. tu sens les secousses et les vibrations du son contre ton épaule. souffles la fumée avant de répondre. "t'es jalouse de chill ? tu sais, il se passe rien avec lui. j'lui ai proposé, il a refusé. puis j'pense qu'il viendrait souvent, histoire qu'on arrête de squatter chez sa meuf. un peu marre, honnêtement. le seul avantage, c'est que ça la fait chier." tu laisses s'échapper un rire un peu plus long que tous ceux que t'as pu fournir à la blonde avant ça. t'es peut-être un peu content, qu'elle puisse pas te voir. sa réponse semble calmer une anxiété, un doute dont tu ne supposais même pas l'existence. rassuré qu'elle soit prête à faire ce pas. pour toi. avec toi. malgré ce que tu caches, ce qu'elle sait qu'elle ne sait pas. pas encore, en tout cas. c'est qu'une question de temps, avant que t'en dévoiles trop, que tu te trahisses d'une façon ou d'une autre. tu hoches la tête, sais qu'elle en sentira au moins le mouvement.
lentement, tu poses ta tête sur la sienne. laisses tes yeux se fermer doucement. putain, c'que c'est bien, la paix. tu la sens se tourner et c'est assez pour que tu te dégages de ce nouveau point de contact, la laissant néanmoins rester sur le perchoir qu'est devenue ton épaule. la cigarette qui commence à s'éteindre est à tes lèvres bien vite pour raviver la fraise. nouvelle taffe, nouveau voyage de l'intérieur de ta bouche jusqu'à tes poumons. tu recraches tout sous le regard de leo. tu fronces les sourcils à sa nouvelle question. tu sais que tu devrais être gelé. veste trop fine pour te protéger de la saison qui se refroidit de plus en plus. pourtant t'as presque cette envie de la retirer, la jeter loin. mais non. tu crèveras de chaud avant d'abandonner une de tes vestes. cependant, tu en remontes les manches un peu, jusqu'aux coudes, laissant visibles les tatouages si souvent cachés par les couches de tissus. "nan. pas vraiment. pourquoi, tu veux qu'on rentre ?" tu plonges les yeux dans les siens, coinces la clope déjà consumée à moitié entre tes lèvres. ta main va chercher sa hanche, presque instinctivement. réflexe pour s'assurer que sa peau n'est pas en train de se geler dangereusement, sous son haut. mais non. une température encore normale. tu sais que ça ne veut rien dire, elle peut très avoir froid malgré tout. t'es pas dans son corps, tu peux pas savoir.
colibry ♡ doom days


« j'regrette mes vieux démons, roi dans l'mensonge,
esclave dans l'vrai monde, vigilent à chaque seconde,
si j'le laisse seul, mon esprit s'égare dans la pénombre.
j'pensais m'lever un matin, être un homme,
sûr que la vie qu'j'ai choisie est la bonne.
fiable, avoir construit quelque chose de stable.
j'suis qu'un sale gosse sur un château d'sable. »



Mikey, définition par Le Petit Halstead:
Revenir en haut Aller en bas
Leo Brooksmembers  too many secrets
Leo Brooks
messages : 1757
rps : 18
pseudo : elio
pronom irl : il.
id card : marissa long + pvtti smith (ava) + daylight (signa)
multicomptes : hera, marcus, nyx.
gif : serre-moi fort que j'oublie qu'c'est le chaos ((leo)) F0a768bd5cbcb300942ce2c10bda8cad
âge : 01.11. compte à rebours lancé pour connaître l'ivresse des vingt-cinq ans. encore une fête où elle perdra la tête.
statut civil : c'est chaotique, bordélique. célibataire mais avec des émotions fortes. mikey collé sa peau. c'est confus mais c'est là, c'est secret, mais ça s'voit. accumule les conquêtes, pour avoir des histoires à refaire et à raconter. plaisir de liberté.
occupation : réputée, la gameuse du jeu league of legends, parce qu'elle en a fait sa vie y'a des années de ça. streameuse sur twitch, rediffusion sur youtube, sa chaîne s'appelle ahri.tv. à côté, elle est réceptionniste au motel du coin, et de l'autre côté, encore un secret, elle a ouvert un compte onlyfans y'a quelques mois de ça.
habitation : ça tombait sous le sens, de créer une colocation avec mikey. vous pouvez les entendre au n°..., à appel gate avenue. oubliez pas zoro, il est toujours là.
nbre de mots : entre 200 et 700 mots.
couleur rp : #339999
disponibilités : indisponible :

mikey
mikey n°2
wendy & nova
esther
pronom ig : elle.
cible de scandale ? : Oui
trigger warning : leo : vulgarités, consommation de drogues et d'alcool, sexe (non explicite), pression parentale, religion, relation toxique/manipulation/violence psychologique, agression, violence physique, dépression.
moi : à discuter en amont.

(#) Ven 27 Oct - 23:31

◟serre-moi fort que j'oublie qu'c'est le chaos◝


@Mikey Chinen
outfit ✧

tw : conneries de mikey en général tbh
petit bonbon descend le long de ma glotte. et dans quelques minutes, ça sera l'apothéose. le droit à m'oublier dans cette facette si récemment découverte. encore trop jeune, mais jamais bien candide. le droit à oublier l'état inquiétant - mais demain, ça finira par revenir. les questions en boucle dans mon crâne, l'inquiétude qui ronge, avide de mes sourires, avide du sentiment de paix que je répand sans même prendre compte de la couronne angélique au dessus de ma tête. mais il a jeté la tentation, gobée après des secondes d'hésitation. à l'accompagner, dans le monde ailleurs, dans ce qui paraît encore plus bon que la réalité - parce qu'à faire partie de la mienne, il n'en reste que nos réalités sont différentes. mais j'en profite, qu'il se laisse tenter, à venir se répandre plus fort contre ma peau, qu'il me marque, je suis l'inconsciente, le laisse me posséder sans même prendre crainte. comme c'est sûrement mauvais, aux yeux des conscients, mais peu m'importe, tant que son visage reste bien vivant, et que sa voix résonne encore contre moi, rebondit de mes formes jusqu'à l'oreille que je lui tend, peu importe si le monde commence à se casser la figure, là derrière. et c'est sûrement pour cet équilibre bancal, pour ce pléonasme un peu comique, que je m'approche, que je m'accroche à lui. à son corps, à lui, que j'ai toujours tant besoin de ressentir. je sais, que la demie-heure s'effrite, que dans quelques minutes, l'inquiétude va se calmer, rentrer la queue entre les jambes, quand j'en serais rendue à m'accrocher plus fort. et suspendue là-haut, à son épaule, je ne remarque plus, l'allure belle mais l'allure qui déraille. parce que l'image saute, indéniablement. le contraste fout le bruit de ces téléviseurs trop vieux dans les oreilles, à plus savoir reconnaître le mikey connu. et plus croire, finalement, que tout pourrais aller mieux demain. il aide, à balayer ça d'un revers de main, et je patiente pourtant, pour que tout puisse se calmer, pour que tout puisse se taire, juste un peu. jusqu'à rire encore, c'est sûrement mieux de prôner l'insouciance bien plus que l'étouffante peine. je peux pas être jalouse de ach, j'ai quand même l'honneur de passer beaucoup de mes nuits sous monsieur chinen. observer la fumée s'en aller, un sourire aux lèvres, le rire sûrement un peu silencieux, ou mes yeux rient à ma place. je sais plus vraiment, où donner ma tête avant de soupirer. et si elle vient avec lui ? parce que y'a cette petite étincelle quand je l'apprécie, la petite blonde, quand ils ne sont que le chaos ensemble, pourtant. et j'en regrette presque la rupture, de ce contact. de sa tête qui n'est plus contre la mienne. à jurer à moi-même, de cette énième connerie. mais je sais, comment sa bouche à lui aurait déjà râlé après la nature froide. et ça me fait stresser, peut-être pour la dernière fois de la soirée, parce qu'il doit pas rester trop de temps à ma raison de rester. mes yeux défilent, sur l'encre marquée, sur les dessins qu'on voit pas assez. à tendre les doigts, les dessiner du bout d'eux. je sais jamais m'en empêcher. non, j'ai pas froid non plus. je voulais m'assurer que tu sois pas congelé ici. souffler un sourire, un rire, je sais plus vraiment. mais comme j'aime, les frissons qu'il donne, à juste toucher ma peau, à agripper ma hanche. à poser mon regard dans le sien, rien craindre, jamais craindre quoi que ce soit, quand c'est mikey. est-ce que c'est moins merdique, maintenant ? référence à la nicotine qui se consume entre ses lèvres. parce que c'est son discours, rabâche ça dès qu'il en a l'occasion. mais cette fois, c'est sûrement demandé avec taquinerie. parce que je me laisse aller, dans l'autre moitié de moi. à remonter les doigts, sur son bras, jusqu'à son cou, là où j'admire encore, les marques un peu anciennes - c'est pas joli, quand elles s'effacent. ça part trop vite... les bleus, le délice de marquer, l'inquiétude qui se fait tabasser par la pilule. mais pourtant, ça persiste, juste le moi qui s'accroche, prouve sa présence plus fort, juste pour exister à côté de lui.
colibry ♡ doom days



tomboy yeah, i'm off my face. your love is my addiction and i like the taste. yeah, i just can't resist it. you are the thing that Iicrave when it's hard to sleep at night. i'll do anything for you, so just tell me what you like.

CODE BY DAY.LIGHT


i'd give you the sun if you asked me:
Revenir en haut Aller en bas
Contenu sponsorisé
(#)

Revenir en haut Aller en bas
 
serre-moi fort que j'oublie qu'c'est le chaos ((leo))
Revenir en haut 
Page 1 sur 1

Permission de ce forum:Vous ne pouvez pas répondre aux sujets dans ce forum
WICKED LITTLE TOWN. :: take a walk on the wild side :: some old memories :: rps terminés-
Sauter vers: