Bienvenue sur wicked little town, forum city simple et sans prétentions qui se déroule dans la petite mais mouvementée ville de Klamath Falls (Oregon, USA). Lieu de détente où vous verrez s'affronter les différentes classes sociales, venez interpréter des personnages issus de tous horizons. Pour citer une célèbre marque : venez comme vous êtes ! Mais attention, Scandale n’est jamais bien loin pour dévoiler les secrets que vous cachez.
Laurie complimentait les photos de la belle rousse qui était devant elle dans la file. Aussitôt, une jolie et jeune blonde arrive (@Emma Kingsnorth) avec un visage de poupée et un teint de porcelaine, Laurie ne put s'empêcher de sourire à la belle demoiselle qu'elle trouvait adorable. Les deux femmes se saluent alors et la jolie fille inconnue se présente à Laurie. La main gantée levée, Laurie la salua en retour. « Laurie, enchantée aussi. » Petit sourire qui s'esquisse et elle reprend aussitôt la parole pour lui répondre. « Il y a tellement de jolies choses ! Et... hum... Carey ? » Commence-t-elle en regardant la rousse, se souvenant de comment Emma l'avait appelée. « Elle a fait de sublimes photos de chalets tout aussi splendides. » Fit-elle en continuant instantanément.
Alors que la file se rapproche enfin de la caisse, Laurie put apercevoir sa cousine @Drew Abernathy la saluer de loin, chose qu'elle répond aussitôt avec un très grand sourire. Une autre femme approche alors du petit groupe que Laurie a "incrustée" bien malgré elle. La jeune femme @Jude Davis salua tout le monde, même Laurie, qui, ne la connaissait pas mais répondit avec politesse. Bien vite deux vendeurs se font libres et les chemins se séparent, Laurie préférant laisser @Carey Kingsnorth et les deux femmes qui semblaient la connaître entre elles. Laurie commande alors un vin chaud et une fois l'a-t-elle en main, sillonne entre les visiteurs pour atteindre sa cousine, @Drew Abernathy, assise près du feu et il faut dire, que c'était une place de choix. « Coucou ! Je peux venir ? » Laurie n'attends pas vraiment l'aval et s'installe juste à coté. « Tu es venue... toute seule ? » Laurie voit que le Don Juan Misha est pas là, heureusement d'ailleurs, la rouquine ne le porte pas en son coeur. « T'as acheté quoi de beau ? » comme une enfant, Laurie zyeute les achats de sa cousine, émerveillée.
Laurie se prend un vin chaud & abandonne les filles pour rejoindre sa cousine, @Drew Abernathy
C'est en voyant une certaine photo que tu entends une voix derrière toi. Une femme (@Laurie Brennan). "Merci beaucoup" tu lui réponds avec un grand sourire. Cela fait du bien d'entendre ce genre de compliments et te donne du baume au cœur. C'est en grande partie grâce à ça que tu fais ce métier. Non pas par pur égoïsme mais par passion de la photo et d'une potentielle reconnaissance du travail bien fait. "Je suis contente qu'elle vous plaise" tu reprends alors qu'elle te fait un nouveau un compliment. Tu commences à rougir face à elle. "Arrêtez, ce n'est pas grand chose". Tu ris légèrement avant de voir ta cousine (@Emma Kingsnorth) arriver près de vous. "Hey cousine. Eh oui toujours avec. Tu sais bien que j'ai du mal à m'en séparer". Il est vrai qu'il est toujours avec toi et que tu pourrais dormir avec si tu le pouvais. "Il y a pas mal de choses sympas à voir cette année, je pense revenir pour faire mes derniers achats". Tu entends encore ta voisine te faire des compliments avant de la voir partir avec son gobelet. Tu en profites pour récupérer le tien alors que la vendeuse t'attend impatiemment. Ton regard se pose sur le monde autour de vous et tu reconnais quelques visages dont @Ronnie Tremblay. Tu lui fais un signe de la main en lui demandant de venir vous rejoindre "Tu sais, je ne sais pas si je mérite tous les compliments que cette femme a dit. Ce n'est que quelques photos prises comme ça pour le plaisir. Tu veux en voir?" tu finis par lui demander.
Ally elle en a des frères et sœurs, plus jeunes qu'elle et qui ne vivent pas dans le coin. Elle est la seule des Sutton qui s'est installée à KF, en même temps, elle n'a pas trop envie de s'éloigner de cette ville, elle s'y est fait sans compter que sa fille vit ici et elle a un boulot, une meilleure amie… Mais, elle sourit, elle aimerait parfois pouvoir embêter sa famille elle aussi. Elle a au moins réussi à faire rire l'homme qui finit par s'approcher d'elle et poser son café sur la même table qu'elle. La blonde prend la main qu'il lui tend et elle la sert rapidement avant de replacer une mèche de cheveux qui a glissé devant son visage. Ses mains entourent de nouveau la tasse de café pour réchauffer ses doigts. "Directement mon prénom." L'attention de @Blake Davis se porte de nouveau sur son téléphone et il répond avant de laisser de nouveau son téléphone sur la table. Elle lui fait un petit sourire encore une fois. « J’ai l’impression que le papa a besoin de se changer un peu les idées ! » dit -elle en haussant légèrement les épaules. Son regard se porte sur les gens qui se promènent sur le marché de Noël. Sirotant une nouvelle gorgée de son café. « Tu as beaucoup d’enfants ? » Curieuse malgré tout et pourquoi pas essayer de lui changer les idées un peu.
♛ ♛ ♛ { Marché de Noël. } ♛ w/ tout le monde. tw : n/a. [ outfit ]
“ Directement mon prénom. “ Il sourit poliment, tout en acquiesçant. Ça ressemblait à un surnom Ally, comme pour Alyson. Mais plutôt original comme vrai prénom. Il n’émet pourtant aucun autre commentaire, obligé de répondre au sms de sa fille, qui visiblement, joue au même jeu qu’Angie quelques jours plus tôt. Prendre son père pour un imbécile. Il ne tient pas à manquer de savoir être en passant son temps devant son écran, alors il repose bien vite son appareil pour reporter son attention sur la blondinette qui lui offre un peu de compagnie pour l’heure. “ J’ai l’impression que le papa a besoin de se changer un peu les idées ! “ Il sourit, touché coulé. Le papa aux milles ennuis. Ou plutôt, le papa un peu trop étouffant, s’il en croit ses trésors. Tapotant du bout des doigts l’écran du téléphone reposé et éteint, il arrête son regard sur Ally.
_ “ On peut dire ça. “
“ Tu as beaucoup d’enfants ? “ Ho, donc, ils allaient se tutoyer ? Il est un peu décontenancé Blake, mais ne le montre guère, hochant simplement la tête doucement. C’était pourtant bien plus amical d’employé la méthode Ally, mais lui qui est habitué à fréquenter des groupes de professeurs un peu trop hautains, ça le change.
_ “ Quatre... Quatre filles. Et pour un père, c’est vite un nid d’angoisse. “
Qu’il ricane, amusé de le reconnaître. Pourtant il n’échangerait ses filles pour rien au monde. Il est un papa fier du moindre chemin qu’elles ont parcouru. Mais ces derniers temps, elles apportent aussi leurs lots de soucis. A grandir, elles s’entichent, elles vivent des moments intenses et pour un parent, c’est jamais de tout repos. Surtout pour lui qui les a protégés comme un lion.
_ “ Toutes à l’âge adulte. Je croyais que ce serait du repos pour nous, mais finalement, c’est pire. “
Qu’il ajoute, aussi amusé et ironique du sujet, avant de rabattre ses deux mains autour de son café chaud. Café qu’il ramène légèrement vers lui, le glissant le long de la table. Histoire de d’abandonner son téléphone pour de bon.
_ “ V... Tu as des enfants ? “
C’était pas gagner qu’il parvienne à la tutoyer tout le long.
Les enfants, on pourrait dire d’eux qu’ils sont la plus grande joie des parents, mais aussi leur plus grande source d’angoisse. Quand on devient parent, tout devient un peu une source de stress, on ne veut tellement pas les voir souffrir que lorsqu’ils ont mal ou sont malades, on aimerait prendre leur place, avoir mal pour eux. Bien qu’Ally n’ait pas la garde de sa fille, tout ce qu’elle fait c’est pour sa petite Norah, elle ne veut que le bonheur de sa fille et quand elle sera plus grande, elle risque de vouloir continuer de la couver. Pour le moment, elle est petite et ce sont des petits soucis seulement, mais en grandissant, les soucis deviennent plus grands et plus marquants aussi. Quand elle voit @Blake Davis sourire a sa remarque, Ally sait qu’elle a raison, elle sait que c’est vrai, qu’il a besoin de se changer les idées.
“Alors je le dis ! ” Elle hausse un sourcil, un petit sourire légèrement moqueur sur le coin des lèvres. Avant de le faire parler un peu sur sa famille, se renseigner sur le nombre de personnes qui peut l’inquiéter en ce moment. Elle écarquille les yeux, surprise par sa réponse.
“Oh tu m’étonne, les papas vous êtes toujours plus inquiets pour vos filles.”
Ally se souvient que son père lui a dit un jour : “ On est inquiet pour vous, parce qu’on sait comment les hommes pensent.” Ca Ally ne l’avait pas oublié, elle se souvient aussi des réserves que son père avait émises quand elle lui a annoncé qu’elle allait se marier. Il avait peur pour sa grande fille, son premier bébé, mais il aimait bien Billy, alors il n’a pas eu à raconter longtemps ses craintes. Puis, sa femme lui avait dit de se taire aussi, parce qu’elle avait des yeux et voyait que Billy aimait sa fille. Il était loin ce temps maintenant, Ally ressentit un élan de nostalgie et soupira avant de relever les yeux vers celui qui partageait sa table.
“Le pire ce n’est pas d’apprendre à lâcher prise un peu ? Il faut faire confiance aux enseignements et valeurs qui leur ont été transmises. Puis en tant que fille, notre papa reste toujours notre premier héro.”
Son père sera toujours le plus fort pour elle, comme Norah qui regarde son père avec admiration. Elle penche légèrement sur le côté avant d’hocher affirmativement. “Oui, j’ai une belle grande fille de presque huit ans. Elle est avec son papa justement. ” Même après trois ans, elle ne s’habitue pas à l'absence de sa fille près d’elle. Elle soulève le gobelet de café pour le porter à ses lèvres. “Je sais pas pourquoi, depuis que je suis maman tous mes sujets de conversation passe par ma fille, comme si je n’étais plus juste Ally. Il faut que j’apprenne à changer ça, à part être papa de quatre filles, Blake il fait quoi dans la vie ?” Mais c’est vrai, elle n’est pas qu’une mère Ally, elle est une personne à part entière.
âge : 31 ans, c'est le nouveau cap dans lequel je viens tout juste de me lancer, ayant redouté ce jour plus d'une fois et maintenant que je l'ai passé ? Et bien cela ne change rien, faut être con pour se faire du soucis. Les 40 ans, c'est comment ?
statut civil : On rencontre quelqu'un, on pense à chaque fois rencontrer la bonne personne, celle avec qui nous allons passer notre vie et puis la vie nous montre que l'on s'est trompé. C'est mon cas, ce n'est pas pour autant que les choses ont changé, fiancé à une femme que je ne peux pas quitter
occupation : Certains d'entre vous s'adresser à moi en m'appelant maitre, aucun jeu se rapprochant d'une quelconque domination, plutôt le statut d'avocat qui est le mien et quand on me voit, on ne m'imagine pas dans un tribunal
habitation : C'est à Eberlein Avenue que l'on peut me trouver, il suffit de trouver l'adresse de la procureur pour me trouver, puisque je suis son voisin, pour son plus grand plaisir. Sinon, je vis au #100, ça sera aussi plus simple, avec Aaricia, la femme qui partage ma vie
nbre de mots : je suis capable de faire des rps court, mais je suis aussi capable de me laisser emporter par l'inspiration et écrire un véritable roman
marché de Noël w/ topic commun and Ronnie Tremblay
marché de noël - 01 décembre 2023 - soir
tw : Misha
« Tu sais, je ne sais pas si je mérite tous les compliments que cette femme a dit. Ce n'est que quelques photos prises comme ça pour le plaisir. Tu veux en voir? » Ce n’est pas une voix inconnue qui est en train de parvenir à mes oreilles, celle de @Carey Kingsnorth, cette amie qui quelques secondes plus tôt a signalé m’avoir vu par un geste de la main, m’invitant à sa rencontre et celle d’@Emma Kingsnorth, encore une parfaite inconnue à mes yeux. Au cours des premiers temps de cette amitié qui s’est liée entre nous, j’ai regretté de ne pas avoir ma chance avec elle, de ne pas pouvoir partager une nuit dans son lit ou dans le mien, mais avec le temps, en apprenant à la connaître, je ne regrette pas une seconde de pouvoir la compter parmis les gens sur qui je peux compter, certaines amitié valent plus que tout. « Bien sûr. Montre moi ces photos, savoir si elles méritent tant de compliments. » Plaisanterie que je ne peux masquer à travers le timbre de ma voix, avant que mes iris ne viennent réellement se poser sur la blonde présente à ses côtés, ayant la merveilleuse faculté de garder ce sourire gravé sur mon visage. « Bonsoir. Je suis Ronnie, un ami de Carey. » Présentation assez classique que je suis en train d’avoir avec cette demoiselle, partant en premier lieu à la pêche aux informations, surtout celle de savoir si elle partage la vie de mon amie ou si elle se trouve être bien plus qu’une simple amie.
☽☽ Dans le monde il n'y a pas d'un côté le bien et le mal, il y a une part de lumière et d'ombre en chacun de nous. Ce qui compte c'est celle que l'on choisit de montrer dans nos actes, ça c'est ce que l'on est vraiment
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" Oh tu m’étonne, les papas vous êtes toujours plus inquiets pour vos filles. ” C’était plutôt vrai ça. Il sourit légèrement, baissant les yeux vers son café. C’était pas vraiment difficile à comprendre, le pourquoi. Instinct protecteur, puis le savoir aussi. En tant qu’homme, ils sont bien les premiers à savoir comment réfléchit et pense un autre mâle. L’ayant fait avant eux. C’est jamais très glorieux. Y’a plus de réflexions par le fond du pantalon, que dans les neurones.
_ “ C’est juste qu’on sait ce qui se passe dans la tête des autres hommes ? “
Qu’il plaisante doucement, d’un petit sourire au coin des lèvres, sans même se douter que son grand-père ait pu un jour, penser comme lui. Il aurait peut-être évité de le dire dans un cas pareil d’ailleurs, par peur de passer pour un “vieux” dans la tête. Il en a déjà assez l’impression avec ses filles. “ Le pire ce n’est pas d’apprendre à lâcher prise un peu ? Il faut faire confiance aux enseignements et valeurs qui leur ont été transmises. Puis en tant que fille, notre papa reste toujours notre premier héro. “ Il fixe toujours son café, les doigts autour du gobelet. Un petit sourire plus nostalgique aux lèvres, qui va plutôt bien avec celui d’Ally, aussi pensive que lui. Il n’était pas certain d’être encore le héros de Deborah à l’heure qu’il est. Visiblement trop étouffant, et ne comprenant pas tout l’amour qu’elle porte à un type de l’âge de son paternel. Alors pour simple réponse, il hoche la tête, le sourire pensif à la bouche.
Elle en dit un peu plus sur elle, et elle fait s’élargir le sourire de Blake quand elle mentionne ne pas assez parler d’elle. D’elle comme femme, et non comme maman. C’était un peu vrai ça. Les discussions tournent souvent autour de la vie de famille quand on est parents. Comme si on s’oubliait un peu. Impression qu’il a de plus en plus Blake, maintenant que ses filles sont grandes et ont quitté le nid. Alors il relève les yeux, et l’attention, sur la jolie blonde au si jolie sourire. Un sourire assez communicatif d’ailleurs.
_ “ T’as raison... On s’oublierait presque en tant qu’individu. “
Il hoche la tête de haut en bas, encore quand elle enchaîne, pour changer justement les choses et s’intéresser à leurs petites personnes. Ça le fait sourire de plus belle, et il en oublie de boire son café, les yeux rivés sur Ally.
_ “ J’suis enseignant. Professeur d’histoire à l’université. Tout à coup tu vas me trouve bien moins intéressant. “
Qu’il s’amuse, parce que les profs sont toujours ennuyeux d’après les jeunes. Surtout les étudiants eux même. Bien que dans le fond, Blake n’est jamais eu à se plaindre de mauvais commentaire à son égard. Au contraire, il fait participer ses élèves et ça semble plaire.
_ “ Et toi, tu es dans quoi ? “
Elle serait mannequin que ce serait pas très étonnant. Et se serait la première fois de sa vie qu’il tient une discussion avec une mannequin ? Enfin il lève son gobelet et vient avaler un peu de café, qui commence à refroidir.
Son sourire s’étira davantage à la réplique de Blake, un homme, qui d’autre qu’un homme pouvait dire un truc semblable ? Son propre père le lui avait dit plus d’une fois lorsqu’elle était plus jeune, mais ses parents n’étaient pas les gens les plus sévères, ils croyaient fermement à l'école de la vie, ils avaient beaucoup voyagé, apprit plusieurs cultures. Elle savait qu’elle avait eu de la chance et puis quand elle a rencontré Billy, son père lui a fait aussi un discours, Billy étant plus vieux qu’elle, il était inquiet pour sa fille, mais jamais il n’avait essayer d’interférer dans leur relation, pour lui c’était important qu’elle fasse ses propres expériences. Elle laisse échapper un petit rire en cascade en secouant légèrement la tête, ses yeux se reposent ensuite sur son interlocuteur. “Est-ce qu’il y a un guide de réplique de papa ? Vous dites tous la même chose !”
Ca la faisait rire, mais elle comprenait les inquiétudes qu’on pouvait avoir en tant que parents, ce n’est jamais facile de laisser voler le petit oiseau hors de son nid. Ally, avait encore du mal chaque fois que son oisillon partait loin d’elle, même après trois ans sans l’avoir tous les jours, ça lui faisait quelque chose. Elle parle de confiance et de laisser les enfants faire leur expérience, elle a presque l’impression d’entendre sa mère parler. La blonde fait tourner la tasse entre ses doigts, ne cherchant pas vraiment à combler le silence. Puis elle laisse tomber une constatation qu’elle a fait depuis quelques temps, quand elle a commencé à se demander qui elle était en tant que femme, ne se connaissant plus vraiment. Elle a été l’épouse, la mère, la conjointe, mais qui est vraiment Ally Sutton en tant que personne ?
Elle acquiesce doucement avant de diriger la conversation sur lui directement et non sur Blake le papa. Son sourire est communicatif et elle sourit en réponse au sien. “Pourquoi je trouverais ennuyant ? J’aimais bien l’histoire quand j’allais à l'école moi.” C’est simplement au lycée qu’elle a connu un enseignement différent, parce qu’avant c’était sa mère qui lui enseignait et elle avait le don d’enseigner les matières les plus ennuyantes de manière intéressante.
“Je suis dans le monde du voyage, je suis agente de voyage pour être plus précise. J’ai eu la chance de voyager énormément petite et j’ai envie de permettre aux gens de pouvoir faire leur voyage de rêve.”
Elle fouille dans sa poche et retire un petit porte-carte qu’elle garde toujours sur elle. Puis lui donne une carte d'affaires. “Si jamais tu as envie de te dépayser un peu.” Parfois, voyager reste la meilleure façon d’oublier tous nos soucis pour un moment. “Tu as beaucoup voyagé ? Sinon, je pourrais te faire une liste des coups de coeur. ”
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“ Est-ce qu’il y a un guide de réplique de papa ? Vous dites tous la même chose ! “ Il échappe un petit rire, ça semblait être le cas. Pourtant il le sait à quel point chaque parent réagis différemment. Y’a même des pères un peu trop détachés de leurs enfants. Qui ne s’inquiètent de rien, non pas par irresponsabilités - quoi que – mais parce qu’ils ne veulent pas s’embêter avec des sermons. La plupart des nouvelles générations d’ailleurs, aux yeux de Blake, avaient ce souci. Quand on voit comment les parents laissent leurs petits faire tout ce qu’ils veulent, sans hausser le ton, il n’ose pas trop imaginer ce que ce sera à leur adolescence. Dieu merci, ce ne seront pas son problème à lui.
_ “ J’ai dû lire le même que le tien. “
Qu’il ricane, alors qu’il n’a jamais suivi le moindre guide sur la parentalité. Sa femme, à la naissance des jumelles, avait fait quelques lectures du genre pour s’assurer d’être une bonne mère. Blake lui, partait du principe que tout est dans les tripes. Ça vient comme ça vient, et surtout, ça vient du cœur. De toute façon, y’a pas de parents parfaits, du moment qu’ils font de leurs mieux – et qu’ils ne laissent pas les gosses hurler dans les magasins sans rien dire. “ Pourquoi je trouverais ennuyant ? J’aimais bien l’histoire quand j’allais à l'école moi. “ Ils se font sourire mutuellement, comme si c’était contagieux. Il ne sait si c’est réellement vrai, mais il apprécie la réflexion. Puis elle lui apprend être dans les voyages. Intéressé, lui qui songeait depuis quelques temps à partir en séjour avec sa femme, l’écoute attentivement. Les yeux se baissant même vers la carte qu’elle lui tend. En fait, depuis quelques temps, entre l’histoire de James et Debbie, et le départ d’Elyna de la maison, Blake avait un peu la sensation que lui et sa femme étaient distants. Ou enfermés dans une routine un peu merdique. Alors l’idée des vacances en amoureux, qu’ils n’ont finalement jamais eux, parce que partant toujours avec les filles, lui trottait dans la tête. Il tend une main, prenant la carte de la jeune femme entre deux doigts. Puis il la ramène vers lui pour en lire les quelques lignes.
_ “ Beaucoup, je dirais pas ça. On partait en vacances dans le pays, pas trop loin... Avec quatre filles, le budget était vite serré. “
Qu’il explique, toujours le sourire aux lèvres. Puis d’un hochement de tête, il la remercie pour la carte.
_ “ J’vais la garder, je pourrais bien en avoir besoin. “
Il ne pouvait savoir si elle espérait avoir son numéro en retour, mais en toute honnêteté, il n’en voyait pas l’utilité, si ce n'est la politesse de l’échange. Mais étant marié, il n’a pas le réflexe de ça. Alors il fourre simplement la carte d’Ally dans sa poche, puis passe ses doigts autour de son café pour se redresser aussitôt.
_ “ J’vais filer, c’était un plaisir de te rencontrer Ally. Et... Je manquerais pas pour le boulot. “
Un signe de tête pour la remercier, un sourire de plus, et il s’échappe du coin pour voguer à la suite de son programme de la journée : trouver des cadeaux de Noël parce qu’il commence à prendre du retard.
_________ - Blake sort du TC, désolé trop de réponses rapides partout sur mes autres sujets j’vais faire un burn out -
À peine mon gobelet de chocolat posé sur la table que je m’en saisis à la volée, pris d’une panique tandis que @Riley Davis me fait mention de son père dans les parages. J’ignore si la probabilité de croiser l’un de ses parents était grande ou pas mais ce qui est certain c’est que j’aurais aimé l’éviter. Enfin, peut-être que je psychote un peu trop puisque nous ne sommes que des amis avec Riley pour le moment mais il est indéniable qu’elle me plait. Planqués derrière un groupe de personnes, j’essaye un peu de repérer son père tout en restant discret avant que la jeune femme n’attrape son téléphone pour lire un message à voix haute, message qui m’arrâche un petit rire pincé. “Très bonne idée, il risque de beaucoup apprécier les 5 ans de taule, c’est certain.”, il est clair que je ne pars pas avec de bon bagages que ce soit pour trouver un travail qui me plairait ou même pour être présenté à de potentiels parents. “On peut all…”, je n’ai pas l’occasion de terminer ma phrase qu’une femme (@Jude Davis) vient accompagnée d’un enfant vient saluer la rousse. Je les détaille tous les deux pendant quelques secondes avant d’adresser un sourire jovial à cette femme plus âgée. “Bonjour.”, elle finit par s’éloigner et Riley m’explique qui elle est pour elle et je ne peux pas m’empêcher de me dire qu’on est vraiment maudits pour aujourd’hui. “Cool cool cool cool… cette sortie n’est absolument pas bizarre.”, je lâche un rire amusé pour tenter de détendre l’atmosphère avant d’attraper doucement la main de Riley. “Tu sais quoi ? Je connais un coin tranquille près de la sortie du marché, on a qu’à aller là-bas.”, tout en gardant sa main dans la mienne, je l’entraine vers la sortie des festivités, essayant de reprendre un peu de contenance bien que ça ne soit pas très aisé alors que sa douce main se trouve dans la mienne, me provoquant une sensation que je n’ai pas connu depuis bien longtemps.
Oublier Jessica. Oublier Winnefride. Deux choses au top de sa liste. Comment faire ? Comment enlever ces douleurs tenaces et cette impression que sa vie privée ne sera jamais au beau fixe ? Poppy ne savait plus quoi faire, ni quoi dire pour expliquer son mal-être : encore moins pour attirer les faveurs de son côté. Elle devait attendre. Patiemment ? C’était une autre histoire. Elle continuait de se battre pour au moins un de ces chagrins, l’autre étant une cause perdue. Parfois, les deux se mélangeaient. Enfin, c’était avant qu’elle ne se fasse à l’idée que Jessica et elle ne seraient réellement plus que des amies. Ce qui était pour le mieux. Il ne lui restait plus que sa vie pour redorer sa vie.
Heureusement, il y avait des personnes comme Billy et puis Tobias dans sa vie pour lui remonter le moral. Ses collègues n’étaient pas mal dans leur genre également et lui donnait de bonnes raisons de passer la porte du commissariat tous les jours. Ça et son sens aigu de vouloir résoudre des puzzles. Elle avait donné rendez-vous à son frère au Marché de Noël. Accoudée au stand de cidre chaud, elle s’était emmitouflée dans son manteau orange citrouille et attendait sagement son frère. Tobias avait dit qu’il prendrait un chocolat chaud, mais elle n’avait pas osé le commander d’avance : elle l’avait seulement payé en même temps que sa boisson.
Credit gif : //
Le train de tes injures roule sur le rail de mon indifférence.
âge : C'est encore dans une profonde jeunesse que je me trouve, du haut de mes vingt-neuf ans, gardant cette douce âme d'enfant, de par ma maladresse, de part cet amour inconditionnel que j'ai pour les comics, pour l'univers des super-héros
statut civil : Une histoire qui est vécu dans le plus grand des secrets, malgré que ce ne soit pas ma plus grande qualité, Charlie est entrée dans ma vie, une actrice que je suis depuis plusieurs années, qui a réussi à atteindre mon cœur, un couple qui vient tout juste de naitre
occupation : L'informatique est mon point fort, rien ne peut me résister dès l'instant où je me trouve derrière un écran, un clavier entre les mains. J'évolue en tant que game designer chez ByNerdz4Nerdz, une entreprise de développement et d'édition de jeu vidéo, le rêve !
habitation : Plusieurs années que je vis dans un petit appartement, un petit cocon qui est rempli de la passion de toute une vie, beaucoup de figurines de comics et des références culturelles du monde nerd, mais également un costume de Flash se trouve au 126 apple gate avenue que Deborah est venue compléter depuis peu, pour une colocation qui va donner un peu de vie humaine
nbre de mots : je suis capable de faire des rps court, mais je suis aussi capable de me laisser emporter par l'inspiration et écrire un véritable roman
marché de Noël w/ topic commun and Tobias Matthews
marché de noël - 01 décembre 2023 - soir
tw : aucun
« J’suis là … Poppy … » Ce sont très exactement les mots qui sont en train de sortir avec une grande difficulté, alors que cela fait un peu plus de cinq minutes que je suis en train de courir dans les rues de Klamath Falls, en retard, comme toujours. De très longues secondes déjà où j’ai bien du mal à reprendre un souffle que je ne maîtrise pas, m’approchant de @Poppy Crane, cette sœur que j’ai retrouvé, celle qui m’attend depuis beaucoup trop longtemps. « Pardon … » Un mot qui ne peut être suivi d’un second, alors que mon corps est à l’arrêt complet de tout effort sportif, enfin, me penchant en avant, mes mains posés sur mes genoux en quête d’une bien meilleure respiration. « Pardon … » Mélangeons la maladresse, à l’homme le moins sportif de cette planète et le résultat donne très exactement : Tobias Matthews, moi quoi. Je m’en veux, la ponctualité ce n’est pas mon fort, ce n’est pas ma spécialité, mais ce soir plus que jamais, Poppy a besoin de moi, de ma présence et je ne sais pas répondre pleinement présent. Tout n’est pas simple pour elle à l’approche des fêtes de fin d’année, sa séparation soudaine avec Jessica lui fait mal, j’en ai conscience et si elle a un coeur aussi fragile et fleur bleu que le mien, j’ai une idée très précise de l’état dans lequel elle se trouve réellement. « J’étais … En retard, comme d’hab’ … Pardon. » Une nouvelle excuse, suivie d’une forte expiration, qui me fait le plus grand bien. « Mais j’suis là. » Pas complètement à l’heure que nous avions convenu, mais au moins je suis présent, je me suis montré et le cidre chaud qui se trouve entre ses mains me laisse à penser que ça fait un petit moment déjà qu’elle est dans l’attente de son petit frère.
☽☽ Un : les démonstrations se plantent toujours. Et deux : La probabilité qu’elles se plantent augmente de façon exponentielle avec le nombre de personnes qui les regardent
TW: aucunBien malgré elle un sourire se dessina sur ses lèvres alors qu’elle voyait Tobias slalomer entre les passants. “Ce n’est rien ne t’en fais pas.” Elle montra son verre : “J’étais en bonne compagnie.” Elle le termina d’une traite son gobelet et le posa sur le comptoir. Elle ébouriffa les cheveux de son petit frère. “Reprends ta respiration va !” Elle commanda un autre verre de cidre et le chocolat chaud escompté. “Merci d’être venu rapidement…” Poppy hésita, mais elle le prit dans ses bras et ferma ses yeux. “C’est le plus important, que tu sois venu. En retard, ou pas ça ne compte pas.” Elle avala sa salive. “Ça fait vraiment du bien de te voir.” Sa seule famille. Ils ne partageaient qu’une partie du même ADN, mais cela était suffisant.
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Le train de tes injures roule sur le rail de mon indifférence.
âge : C'est encore dans une profonde jeunesse que je me trouve, du haut de mes vingt-neuf ans, gardant cette douce âme d'enfant, de par ma maladresse, de part cet amour inconditionnel que j'ai pour les comics, pour l'univers des super-héros
statut civil : Une histoire qui est vécu dans le plus grand des secrets, malgré que ce ne soit pas ma plus grande qualité, Charlie est entrée dans ma vie, une actrice que je suis depuis plusieurs années, qui a réussi à atteindre mon cœur, un couple qui vient tout juste de naitre
occupation : L'informatique est mon point fort, rien ne peut me résister dès l'instant où je me trouve derrière un écran, un clavier entre les mains. J'évolue en tant que game designer chez ByNerdz4Nerdz, une entreprise de développement et d'édition de jeu vidéo, le rêve !
habitation : Plusieurs années que je vis dans un petit appartement, un petit cocon qui est rempli de la passion de toute une vie, beaucoup de figurines de comics et des références culturelles du monde nerd, mais également un costume de Flash se trouve au 126 apple gate avenue que Deborah est venue compléter depuis peu, pour une colocation qui va donner un peu de vie humaine
nbre de mots : je suis capable de faire des rps court, mais je suis aussi capable de me laisser emporter par l'inspiration et écrire un véritable roman
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marché de noël - 01 décembre 2023 - soir
tw : aucun
« Ce n’est rien ne t’en fais pas. J’étais en bonne compagnie. » Je ne sais pas si je dois être rassuré, de savoir que Poppy n’a pas trouvé le temps long en attendant mon arrivée ou si je dois être triste, de la voir consoler cette attente, mais aussi sa peine dans ce cidre qui remplissait son verre il y a encore peu. « Reprends ta respiration va ! » Je peux sentir cette pointe d’amusement dans le timbre de sa voix, mais surtout dans sa main qui est en train de passer dans mes cheveux, alors que mon coeur, tout comme mes poumons sont encore en train de se remettre de cette course, me faisant clairement comprendre que je devrais un jour me mettre au sport, surtout avec la trentaine approchant. « Ca va … » Tout du moins, mieux qu’à mon arrivée, pour preuve, je n’ai plus ce besoin de poser mes mains sur mes genoux, je peux me redresser, ouvrir pleinement mes poumons pour des inspirations qui me font le plus grand bien. « Merci d’être venu rapidement… » « J’aurais pas dit … Rapidement. » Même si à ma décharge, j’ai fait l’effort dans mon retard de me lancer dans une course à pied que mon corps regrette, mais que mon cerveau approuve. « C’est le plus important, que tu sois venu. En retard, ou pas ça ne compte pas. Ça fait vraiment du bien de te voir. » Un peu à l’image d’un instant de surprise, je peux sentir les bras de Poppy prendre place autour de moi, la sentir toute proche, pour une étreinte que je n’ai pas vu venir au préalable. Un cran de retard, sinon cela ne serait pas du Tobias Matthews, avant que je ne vienne la prendre dans mes bras, elle qui souffre d’un chagrin amoureux, cette peine que je ne souhaite à personne. « Ca fait du bien aussi. Puis, on s’est dit qu’on pourrait toujours compter l’un sur l’autre. Alors c’est vrai, normalement ce sont les promesses qu’on prononcent quand on est gamin, mais à dix ans, vingt ou trente, c’est exactement la même chose. » J’ai l’envie d’être présent pour ma grande sœur, celle que j’ai trouvé sur le tard, mais je ne sais pas si je suis la meilleure personne à l’instant présent pour pouvoir lui remonter le moral. « Comment tu te sens ? Tu sais, j’suis pas un expert, mais moi et mon cœur de chamallow on a pas toujours été ménager, alors. Je sais ce que tu traverses. » J’ai cette chance aujourd’hui, celle d’avoir Charlie dans ma vie, de pouvoir vivre un amour qui navigue dans les deux sens, une histoire où je suis régulièrement maladroit, mais qui est sincère, ce qui n’a pas toujours été le cas.
☽☽ Un : les démonstrations se plantent toujours. Et deux : La probabilité qu’elles se plantent augmente de façon exponentielle avec le nombre de personnes qui les regardent
– Senan n’avait pas vraiment suivi toute la conversation qui n’avait cessé de s’alimenter sur le groupe de la famille. Il avait survolé, mais les bip incessants l’avait poussé à mettre la conversation en mute pour éviter d’être dérangé plus encore. Il ne pouvait cependant pas reprocher à sa famille d’échanger, de discuter. C’était même plutôt agréable à voir une cohésion comme celle-là, qu’importe si sa concentration se trouve ébranlée. Au final, lorsqu’il est retourné beaucoup plus tard y jeter un œil sur la conclusion finale de la discussion, il en avait compris qu’il devait se rendre au marché de Noël. C’était d’ailleurs ce que Zaria lui avait proposé, sans doute même à la suite de cette conversation. Senan s’était ensuite organisé pour caser tout dans la même journée : travail comme divertissement. Une sortie en famille ne lui ferait pas de mal, et dire non à sa petite fille est très probablement une chose dont il est bien incapable de faire.
Au marché de Noël, il avance d’un pas assuré comme à son habitude, accompagné de sa fiancée. Zaria était dans sa vie depuis maintenant deux ans, elle avait réussi à s’intégrer au sein de sa famille, même si certains d’entre eux ne semblaient pas l’accepter comme elle était. Ils avaient même plutôt tendance à voir en elle une croqueuse de diamants bien plus qu’une future épouse modèle et honnête. Senan n’étant pas du genre à s’arrêter aux on-dit, n’avait cessé de lui assurer qu’ils finiront par s’y faire, avec le temps. Du temps, voila ce qu’il leur fallait, à elle, à lui, à eux. Le regard qui balaie les visages présents au marché de Noël, Senan tente de reconnaitre un visage familier. Il serre des mains, il adresse des sourires à d’autres visages connus, mais n’a pas encore réussi à poser ses yeux sur un visage de sa propre famille. Quelques pas plus loin, il reconnait enfin les bouilles de sa fille (@Carey Kingsnorth ), de sa nièce (@Emma Kingsnorth ) mais également de sa belle-fille (@Jude Davis) accompagnées d'un jeune homme qu'il ne semble pas connaître (@Ronnie Tremblay) .
- Les filles sont là. Tu veux une boisson chaude avant de les rejoindre ?
Demande-t-il à Zaria. Enfin, ils finissent par rejoindre une – petite – partie de la famille, loin d’être au grand complet. Senan s’approche de Carey pour lui faire la bise.
- Salut ma puce lance-t-il à cette dernière, malgré leur relation parfois un peu compliquée, elle reste sa fille au même titre que les autres, sans aucune différence pour Senan. Il se tourne ensuite vers l'ami de sa fille à qui il tend une main franche :
- Bonjour, Je suis Senan Kingsnorth, le père de Carey.
Il en fait de même pour Emma et Jude auprès de qui il s’approche également pour les saluer, sans oublier les enfants de Jude et reprendre :
- Vous êtes toutes seules ? Pas de Teddy ? Pas de Rose ? Pas de Moïra ? Pas de Stevie ?
Peut-être avaient-ils quand même prévu de venir ?
Senan arrive au marché de Noël avec Zaria et lui propose une boisson chaude, puis ils rejoignent Jude, Emma et Carey et Ronnie.
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– Senan n’avait pas vraiment suivi toute la conversation qui n’avait cessé de s’alimenter sur le groupe de la famille. Il avait survolé, mais les bip incessants l’avait poussé à mettre la conversation en mute pour éviter d’être dérangé plus encore. Il ne pouvait cependant pas reprocher à sa famille d’échanger, de discuter. C’était même plutôt agréable à voir une cohésion comme celle-là, qu’importe si sa concentration se trouve ébranlée. Au final, lorsqu’il est retourné beaucoup plus tard y jeter un œil sur la conclusion finale de la discussion, il en avait compris qu’il devait se rendre au marché de Noël. C’était d’ailleurs ce que Zaria lui avait proposé, sans doute même à la suite de cette conversation. Senan s’était ensuite organisé pour caser tout dans la même journée : travail comme divertissement. Une sortie en famille ne lui ferait pas de mal, et dire non à sa petite fille est très probablement une chose dont il est bien incapable de faire.