Un mensonge en entraîne un autre

Emil Beckerfeat Jesse Lee Soffer

âge, lieu de naissance Je suis né il y a 33 ans en arrière, dans la ville de Klamath Fall dans l’Orégon. J’ai vu le jour le 26 janvier 1988, en plein durant l’hiver où les skieurs sont les plus ravis par une telle saison.

genre Masculin

origines, nationalité Résident des Etats-Unis, je ne porte qu’une seule et unique nationalité : américaine. Concernant mes origines, je n’ai pas seulement du sang américain qui coule dans mes veines, mes origines viennent de plusieurs pays différents : L’allemagne, Anglais, Irlandais et français. Fidèle américain, mais véritable européen dans mes origines.

occupation $$$$$$, je ne suis pas intéressé par l’argent, ayant bien du mal à entrer dans les codes de l’argent familial. C’est pour cette raison que je me suis toujours refusé à une place dans l’entreprise familiale, pour réaliser à la place mes rêves et devenir lieutenant de police dans l’unité des renseignements.

statut civil Il y a quelques années, j’ai été un homme fiancé et fou amoureux, une période qui me semble être une toute autre époque aujourd’hui et pourtant, encore bien marquée dans mon cœur. Véritable instable en amour aujourd’hui, je suis célibataire, abusant de ma belle gueule et de mon corps que j’entretiens.

orientation sexuelle Je ne vivre que face aux courbes féminines ! Hétérosexuel, je suis comme chaque homme dans ma situation, incapable de lutter face à mes yeux qui se posent sur une belle paire de boobs ou sur le cul d’une charmante femme.

situation familiale Tu ne connais pas encore la famille Becker ? … Grand bien t’en fasse ! Je viens d’une famille aux multiples facettes où les choses ne se disent pas, où le secret est une affaire de famille. Fils de Jeffrey et de Melissa, je ne suis en rien le fils aîné d’une cette famille, avant moi est né ma grande sœur, après moi suivent les deux cadets de la famille. Dans cette grande et belle famille, on peut compter également Daniel, mon oncle qui est pour moi le modèle masculin que j’ai toujours rêvé d’avoir.

à klamath falls depuis Je suis à Klamath Falls depuis ma naissance, j’ai toujours vécu dans cette ville, quand bien même l’envie de partir bien loin d’ici durant mon adolescence était présent au fond de moi … J’ai trente-trois ans aujourd’hui et je suis toujours habitant de cette ville que je suis incapable de quitter tellement je l’aime.

traits de caractère Je ne vais pas faire un long chapitre sur mon caractère, mais plutôt vous mettre en avant mes principales qualités et bien sûr, mes défauts, puisque comme vous, j'en ai. Dans le cadre de mon travail, des années d'entraînements et aujourd'hui de pratique, j'ai appris à devenir quelqu'un de courageux, tout comme je suis devenu avec le temps une personne responsable, ce qui est devenu bien utile pour moi après avoir pris la décision de devenir lieutenant dans la police, c’est quelque chose d’important sur le terrain. Avec les membres de ma famille, tout comme mes amis ou encore les personnes avec qui je travaille je suis quelqu'un de protecteur, je ne pourrais pas dire pourquoi, ni même comment, mais il est hors de question que l'on touche aux gens que j'aime, inutile de venir vous préciser qu’avec mon père, je ne suis pas capable de l’être. Beaucoup peuvent dire que je suis quelqu'un de direct, je dis simplement ce que je pense, sans langue de bois et sans détour pour en arriver au fond de ma pensée, il n'y a rien de mieux que la franchise et j'attends en retour la même chose de mon entourage. Mon principal défaut, c'est sans le moindre doute mon côté impulsif, je suis capable de prendre les décisions les plus réfléchis au monde, mais en une fraction de seconde je peux partir à la poursuite d’un criminel armée jusqu’au dent, tout comme je suis capable d'en venir aux mains pour défendre mon entourage. Lorsque j'ai une idée en tête, je ne l'ai pas ailleurs, j'assume totalement cette partie obstiné, ce n'est pas toujours pour les meilleures choses, mais parfois je sais en tirer le positif, sans cela je ne serais jamais devenu policier. Puis enfin, pour terminer, je vais parler de mon moi sarcastique, il est très rare que je montre ce côté-là, en revanche quand il ressort c'est, soit parce que je suis mal à l'aise, soit parce que je suis véritablement en colère et croyez-moi, que si c'est à cause de la seconde option, mon impulsivité reprend le dessus.

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mojito

every day is a fresh startLorsque je suis mal à l'aise ou encore en colère, j'ai tendance à me rabattre sur mon côté sarcastique, c'est un automatisme ≡ Lorsque je ne vais pas bien, j’ai cette magnifique tendance à me mettre à l’écart, à vivre ma souffrance dans mon coin et de n’en parler à personne, je suis fort pour donner des conseils que je ne suis pas capable de suivre, puisque lorsque ma famille ou l’un des policier ne va pas bien, je n’hésite pas à leurs dire de venir me voir pour en parler. ≡ J’ai été fiancé un peu plus de deux ans, j’ai faillis après cinq ans d’amour entre nous, porter cette alliance qui aurait fait de moi un homme marié, pourtant la vie en a voulu autrement. ≡ Je ne peux pas dire que je suis un homme infidèle, juste que j’ai pris cette décision de vivre un jour après l’autre et de voir où cela allait me porter. ≡ Même si je crois encore en cette possibilité que l’amour m’attend probablement quelque part, je ne suis pas ce genre de personne très expressive qui montre ses sentiments ou qui les avoue avec tellement de facilité, j’aurais plus tendance à le faire comprendre dans un regard. ≡ Par peur, je suis capable de faire n’importe quoi, tout comme par colère, je suis capable du pire, je suis contre les crimes ou autres affaires illégales, mais si un jour on touche à ma famille ou encore mes amis, je serais capable de régler le problème de moi-même. ≡ Je n’ai aucune preuve, mais j’ai la certitude que depuis plusieurs années mon père prend ma mère pour une conne. Ce n’est pas faute de lui dire, d’essayer de lui faire comprendre, mais pour le moment mes paroles sont vaines. ≡ J’adore le chocolat, depuis que je suis tout petit, quand j’étais enfant, si je ne voulais pas manger, il suffisait de mettre du chocolat sous les yeux et je changeais immédiatement d’avis, avec les années, cela n’a pas changé. ≡ Je n’ai jamais été capable de m’entendre avec mon père, depuis plusieurs années je lui reproche ses mensonges, ceux qu’il garde envers ma mère, sa femme, à qui il cache une double vie. Cette vie qu’il mène me répugne et me donne l’envie de vomir, mais je ne peux m’empêcher de suivre ses traces, le mensonge dans le fond, ça me connait. ≡ Je ne suis que mensonge, mais je l’ignore encore totalement, c’est une vérité qui a besoin d’éclater, mais qui va causer beaucoup de dégât autour et dans ma vie. Qui risque de créer bien des fissures au sein de la famille Becker. ≡ Je souffre de coulrophobie, le nom est classe, mais avec beaucoup d’interrogation, pour faire bien plus simple, j'ai peur des clowns. Autant vous dire que je n’assume pas cette peur.

« Non, je suis venu seul… » C’est la réponse que je me retrouve à donner à ma mère, alors que je viens la prendre dans mes bras, que je viens déposer un baiser sur sa joue. Pour aucune occasion, on a décidé aujourd’hui de se retrouver en famille, de profiter de ce dimanche midi, pour être tous ensemble. A la base, je ne devrais pas arriver ici tout seul, je devrais être accompagné, comme je le fais à chaque fois. Plusieurs années que je suis en couple, un peu plus de deux ans que je suis fiancé à Camila, d’ici quelques mois doit avoir lieu notre mariage. « Papa n’est pas là ? » Ce n’est pas une grande surprise. Mon regard, je peux le poser sur mes frères et sœurs et bien évidemment sur ma mère, je peux aussi le déposer sur mon oncle. Mais aucune trace de mon père, quelle surprise, un déplacement très probablement, encore, avec lui c’est devenu une habitude. « Génial… » Cette phrase, c’est le fond de ma pensée, je viens de le prononcer dans un murmure, personne n’est censé l’entendre. Je pense que personne ne l’entend. Ma main est relevée, mes doigts entrent en contact avec mon front, me laissant dans un moment peu agréable, c’est une réunion de famille, pourtant je ne viens pas avec de bonne nouvelle. Je sais que je dois attendre, je ne dois pas annoncer aussi vite une nouvelle bien sombre, mais je ne peux pas m’en empêcher. Cette nouvelle, je dois la donner à ma famille, laissant le démon l’emporter sur l’ange et la voix de la raison. « On peut aller s’asseoir ? … J’ai quelque chose à vous dire… » Je ne suis pas fier, en même temps que mon cœur est en train de battre contre mon torse. Je ne suis pas sûr de moi, en même temps que je sais que je dois en passer par là. Je n’ai pas d’autre choix, ça j’en ai bien conscience et autant agir maintenant. Comme lorsque l’on est enfant. Il vaut mieux retirer le pansement d’un coup sec, plutôt que petit à petit, ça fait beaucoup moins mal… Je crois. « Tu fais peur Emil. Ça va ? » C’est ma demande, mais je suis le dernier à me diriger vers le canapé, en même temps que je n’apporte aucune réponse à ma sœur aînée. Un simple hochement de tête. Il est menteur; je le sais, mais pas ma grande sœur et avec ce hochement de tête, je lui affirme que je vais bien, la vérité est bien différente. Ma main, elle n’est plus sur mon front, elle est sur ma joue, je peux sentir cette barbe naissante sous mes doigts, en même temps que je viens m’asseoir sur l’un des fauteuils, mon regard dans un premier temps sur le sol, comme un moment de réflexion, de me permettre de savoir par où commencer. « Je… J'ai beaucoup discuté avec Camila ces derniers jours, ça n'a pas été facile pour tous les deux, mais il n'y avait qu'une option qui s'offrait à nous… Je sais que vous étiez tous emballés par l'arrivée du mariage, sauf… Qu'il n'y aura pas de mariage. » Je ne peux pas faire plus direct. Je ne peux pas faire mieux comme explication, alors que je relève mon regard. Je peux le passer de personne en personne, je peux voir la surprise qui s’affiche sur le visage de ma mère, de mon oncle, de mes frères et de mes soeurs, seul absence à cette annonce, celle de mon père et dans le fond, j’en viens à me dire que c’est beaucoup mieux ainsi. « Quoi ? … Mais pourquoi Emil ? » C’est cette question que je n’ai pas envie d’entendre. C’est cette question qu’un membre de ma fratrie vient me poser. Il me faut quelques secondes. Me laissant le temps de réfléchir, en même temps que je laissais ce surplus d’air que j’ai dans mes poumons, sortir en soufflant légèrement. Un peu de courage, ça ne va pas me tuer. Après tout, c’est ma famille que j’ai devant moi, ceux que j’aime le plus au monde. « Je suis le seul responsable de cet échec, je suis allé … Je suis allé à une soirée quand Camila était en déplacement et j’ai… J’ai passé la soirée à flirter avec une fille… En réalité… Je n’ai pas fait que flirter avec elle. » Je n’aime pas le mensonge. Mais celui-ci est le mien. Je viens de garder pour moi une vérité dans cette histoire, je sais que ce n’est pas bien, j’en ai horreur. Pourtant c’est ce que j’ai de mieux à faire. « T’as couché avec une pute ? Sérieusement t'es vraiment con Emil ! Tu avais tout pour être heureux, qu'est-ce qui t'a pris de tout foutre en l'air ? » Je ne peux en vouloir à mes frères et soeurs de leurs réactions, après tout Camila a trouvé sa place au sein des Becker, elle a su être apprécié de tous et elle était déjà un membre à part entière avant même d’être ma femme. « Doucement ! On se calme ! … » C’est ma mère qui vient de parler. C’est sur elle que je pose mon regard, préférant ne pas faire attention aux propos qu’on a pu me sortir, c’est bien mieux ainsi. « Ce qui compte le plus c’est toi, c’est vrai que j’aimais beaucoup Camila et que j’étais heureuse de l’avoir comme belle-fille, mais si vous en êtes arrivé là aujourd’hui, c’est que vous n’étiez pas fait pour terminer ensemble. » En un sens, les mots de ma mère, ils me faisaient du bien, ma seule réponse est un hochement de tête, presque discret, en même temps que je viens déplacer mon regard. En premier lieu sur le sol, puis à nouveau sur ma famille, c’est un nouveau départ qui s’offre à moi, une nouvelle vie, avec aucune envie de gâcher chacun des moments que je peux vivre. A commencer par profiter de ceux que j’aime le plus, de ceux qui sont avec moi en ce moment, qui viennent de m’écouter.

Bientôt un an que cette rupture a eu lieu et je ne tiens plus. Ce mensonge est en train de me ronger de plus en plus. Je n’ai pas envie de modifier la donne. J’assume la version que je suis venu donner. J’assume mes choix et mes paroles, sans le moindre doute. Pourtant ce soir, j’ai besoin de me confier à quelqu’un. J’ai ce besoin que quelqu’un soit au courant de la vérité, j’ai besoin de savoir que si ça ne va pas, je peux en parler. Mon premier choix et d’ailleurs mon seul choix, est de venir voir ma grande sœur. Quelques années que l’on ne vit plus sous le même toit, pourtant je ne perds pas ce lien qui nous unis. Elle a une grande place dans ma vie, elle a son importance, des propos que je ne peux avoir envers mon père. Absent la plupart du temps, j’ai appris à vivre sans lui. Avec mon oncle, avec mes frères, mes sœurs. J’en viens même à me demander, à croire que mon père mène une double vie, en soit, il fait sa vie, je m’en moque. La seule chose que je ne veux pas, c’est qu’il fasse souffrir ma mère, après toutes ses années, elle mérite d’être heureuse, elle qui a passé bien plus de temps à s’occuper de sa famille que d’elle-même. Ce soir, ce n’est pas pour cette histoire que je suis ici, mais bien pour moi égoïstement. Je n’en peux plus et les larmes qui sont en train de brouiller mon regard ou encore de rouler sur mes joues, sont des signes que je ne peux plus tenir. « Emil, qu’est-ce qu’il y a ? » Je peux sentir par sa voix qu’elle n’est pas bien. L’un des membres de sa famille souffre, il souffre aussi. C’est ici le lien magique d’une sœur avec son frère. « Je vous ai menti… Au sujet de Camila… » C’est le moment des confessions. C’est le moment d’avouer ma peine, celle qui est en train de me traverser. Mon cœur est en train de se serrer. J’ai voulu jouer le dur, j’en souffre, trop gentil avec cette fille, j’ai appris à bien moins montrer mes sentiments. Plus d’attache, simplement du plaisir, j’ai trop souffert en amour, je ne cherche que du sexe, rien de plus et c’est bien mieux ainsi, la vie de couple, ce n’est pas fait pour moi. « Comment ça ? … Sur quoi tu nous a mentis ? » Je ne veux pas revenir en arrière. Je veux en parler à ma sœur et c’est bien ce que je vais faire. Je me permets juste de prendre une inspiration. Celle qui est là normalement pour calmer ses larmes. Pour me permettre de pouvoir parler, sans être coupé par un souffle manquant, ou encore ces larmes bien trop présentes. « Je n’ai rien fait… C’est elle qui est allée voir ailleurs… » La souffrance est bien plus grande que la fierté à ce moment, mais je ne peux pas le cacher, mon égo est en train d’en prendre un coup. Admettre que je n’ai pas été le fautif dans cette relation, mais que j’ai eu la place de l’homme trompé, est difficile, ça me serre le cœur. Mon regard se baisse sur mes mains, posées sur la table, qui sont en train de jouer entre elles, de mes doigts avec un poil de nervosité. « Si je vous ai mentis… C’est parce qu’au moment où je l’ai découvert et que j’ai confronté Camila… Sa mère l’a appelé, pour lui annoncer que son père est condamné… En phase terminale d’un cancer… » Cet homme que j’ai vu à plusieurs reprises, que j’ai souvent vu comme un beau-père, que j’ai parfois même vu, comme étant plus un père, que mon propre père. « Je n’ai pas voulu l’accabler encore plus… » C’est une vérité. Mais elle n’est pas la seule, il y a une autre raison à ce mensonge. « Et aussi, parce que ça m’arrange bien, que tout le monde me prenne pour le connard de service, plutôt que l’homme cocu… » Je ne veux pas de pitié. Je veux juste pouvoir me remettre de cette histoire, dont j’ai du mal à passer au-dessus. Un an pour avouer ce mensonge à ma sœur et celui-ci sera bien gardé. Il va rester entre elle et moi. Personne ne va le savoir, je viens de le dire, je préfère que l’on me voie comme un enfoiré, comme une ordure avec les femmes. Plutôt que dans cette ville de Klamath Falls, on puisse apprendre que j’ai été un homme trompé. Que j’ai failli épouser une fille qui est allée voir ailleurs, dans mon dos, que comme beaucoup de personne, je l’ai appris par le plus grand des hasards.

« Vous venez ! On va passer à table ! » Je n’en reviens toujours pas d’avoir fini par accepter ce repas de famille en plein week-end. Ces dernières années, j’ai toujours réussi à trouver une excuse, à ne pas me retrouver présent dans la même pièce que mon père. « J’arrive. J’ai un appel à passer et j’vous rejoins. » Ma main sur l’épaule de ma grande soeur, je m’accorde le droit de lui faire un clin d’oeil, pour la rassurer, lui assurer qu’il n’y a rien de grave, avant de croiser le regard de mon oncle, des personnes quittant les lieux pour rejoindre la table. C’est après une dernière vérification, m’assurant que la porte est bien fermée, que je m’approche du téléphone que mon père a oublié avec lui. Rien que ces dernières minutes, il a reçu pas moins de six messages, qu’il a à peine prit le temps de lire, sans même y répondre, mon instinct de policier y voit quelque chose de louche, celui de fils, à la rancœur tenace envers lui, y voit enfin une preuve de découvrir l’ordure qu’il est. Portable entre mes mains, je me laisse aller à un regard, à nouveau en direction de la porte, avant de reposer mes yeux sur l’écran, de lire les messages s’affichant. « Quel connard ! » Je n’ai aucune idée de qui est la femme auteure de ces messages, mais il n’y a pas l’ombre d’un doute. J’ai toujours pensé que mon père était un homme aux affaires sombres, ce genre de mec que j’ai tendance à arrêter, mais il arrive encore à me surprendre. C’est une maîtresse qui lui écrit, une parce que je ne sais pas si d’autres existent dans sa vie. J’en viens à douter que cette femme est conscience de l’existence de la famille Becker, que l’homme qu’elle semble attendre avec la plus grande envie, est un homme marié et père de famille.

pseudo, prénom Je suis toujours elodie portant le pseudo de squad, je n’ai pas changé depuis J.R. âge, pays Je suis encore dans la trentaine … En même temps je viens tout juste d’y entrer, j’ai encore quelques années devant moi pour penser à un tout nouveau cap. personnage Inventé, mais je l’espère va vous faire rêver disponibilités Autant qu’il m’est possible de l’être crédits avatar : shilon / gif : butterfly autres Vous êtes tous des amours !

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Ce FC

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Rebienvenue

Re-bienvenue par iciii !

Re bienvenue sur le forum :koukou:

Rebienvenue parmi nous !! Un mensonge en entraîne un autre 3951023124

A little bit tired of sinking / And I just wanna see if you feel the same as me
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Re-bienvenue Jr. Un mensonge en entraîne un autre 3597687243

Re-bienvenue! J'ai hâte de découvrir cette nouvelle bouille!

Rebienvenue, je sais que tu vas faire des folies avec ce personnage :lovely:
Bon courage pour cette nouvelle fiche :heearty:

Et réserve-moi un lien, avec l'un de mes perso !

Re-bienvenue par ici :hystero:

Le beau Jesse, j'vois que t'aimes prendre des têtes qu'on voit trop peu :bril: :stache: et t'as bien raison. :drunk:
(re) bienvenue :girafe:

J'ai vécu une émotion. :bril: Une forte émotion.

Because, you know. Un mensonge en entraîne un autre 3597687243

Un mensonge en entraîne un autre 1338034135

Spoiler:

REMEMBER THIS FEELING

I said, "remember this feeling". I pass the pictures around, of all the years that we stood there on the sidelines wishing for right now. Long live. | ©️ FRIMELDA

Un mensonge en entraîne un autre 2416808273

NOAH VIENS VOIR CA !! @Noah Erikson

J'viendrais pas chez toi ce soir ! Un mensonge en entraîne un autre 98630176

On se moque de ce qu'ils pensent. On les provoque, pour eux, c'est perdu d'avance. Ha quelle époque. Célébrons nos différences.

Misha. nom masculin.
1. Définition d'un trouble de la sociabilisation notable.
2. Polygamie refoulée, souvent notifiée sous le terme de Harem.
3. TW facile d'utilisation.
4. Attraction touristique la plus visitée de Klamath Falls.
5. Futur nom de chlamydias.
Synonymes : Casanova, Mâle alpha, El Mishou, Mattel (Créateur de Barbie depuis 2021), Sal*pard (Terme très répandu), l'infidèle.

mood :

Awards 2024 :

@Misha Kane Un mensonge en entraîne un autre 2416808273

@Emil Becker Rebienvenue.
Mon inner Noah ne t'aime pas du tout (parce que je sens que Drew va venir te draguer) Un mensonge en entraîne un autre 1942081835

Un mensonge en entraîne un autre 1942081835

Mais mon inner moi même t'aime beaucoup (parce que Jesse est un dieu quand même) Un mensonge en entraîne un autre 1945578570

Un mensonge en entraîne un autre 439353760

han mais ce mec là
(re)bienvenue chez toi chaton