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Bienvenue sur wicked little town, forum city simple et sans prétentions qui se déroule dans la petite mais mouvementée ville de Klamath Falls (Oregon, USA). Lieu de détente où vous verrez s'affronter les différentes classes sociales, venez interpréter des personnages issus de tous horizons. Pour citer une célèbre marque : venez comme vous êtes ! Mais attention, Scandale n’est jamais bien loin pour dévoiler les secrets que vous cachez.
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 Caleçon et Savon

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(#) Jeu 10 Nov - 6:11


Caleçon et Savon


TW: Langage vulgaire.

Il y a des journées plus moche que d’autres.
On ne peut pas toujours faire ce qu’on veut. La vie d’adulte nous ramène tout le temps sur terre. Des trucs à faire emmerdant comme payer des factures, le ménage, les ordures; bref rien qui fait sourire.

Maiiiiis, j’essaie quand même de mettre du rythme dans tout cela. Rendre l’emmerdement amusant.

Pas très compliqué en fait. Un peu de musique, une tête de clown, quelque pas de danse et on est ailleurs.
C’est le moyen pour que ta journée ne soit pas totalement gâché.

Ce n’est pas donné à tout le monde de sortir du sentier de temps en temps. De montrer un peu sa folie devant public. La peur du ridicule est un des gros problème des gens, je crois. Le paraître est trop important pour laisser une fente de connerie s’échapper.

Qu’est-ce que les gens diront de moi ?
On s’en fou ! Tu ne les connais pas !

Toi, tu t’amuses ! Tu passes le temps de la manière que tu veux et tu as le sourire. Laisse-les autres avoir le cul coincé par les principes. Ce sont eux qui perdent au change. Passer sa vie à faire plaisir aux autres rend ta propre existence misérable.

J’avais vite compris cela et depuis je n’arrête pas de me laisser guider par ce que j’ai envie de faire. C’est certain que des gens me voient comme un espèce de clown bas de gamme qui n’a pas toute sa tête. Et bien, ces gens-là, je les emmerde !

Ils ne savent pas qui je suis en réalité, car ils ne voient que la façade. Ils s’arrêtent au premier plan; celui des gros verres fumées et du mowak mal coiffé. On dit: Juger que par la reliure. C’est exactement ce qu’ils font.

Donc, ils ne valent pas la peine de s’y attarder et gâcher mon plaisir et ma belle journée.

Oui, une belle journée en train de foutre mes vieux vêtements dans une machine à laver. C’est la journée buanderie. Le jour où je porte les derniers morceaux encore propre sans pour autant être écorché par les années. Je n’ai pas les moyens de m’acheter du neuf.

Encore propre, c'est relatif. J'avais transpiré en me confrontant avec un des gars au gym. Un grand cerne et quelques taches de sang. Rien de très alarmant, mais pas très gentleman. Surtout que j'avais a peine nettoyé mon visage. Il m'avait atteint à la mâchoire et sa bague m'a fait une belle écorchure. De toute beauté

C’est avec mon ensemble camisole blanche tachée, jogging gris et gros verres fumées que je suis entrée dans cette charmante buanderie.

Quelque salutations des visages familiers. Des sourires, heureux de me voir sachant que ma présence rendra la période de lavage fort amusante.

Une mélodie dans mes écouteurs, je dansais sans gêne dans l’allée en cherchant la machine chanceuse qui lavera mes caleçons.

Dans un mouvement de danse, j’ouvrais la machine et déposa mon gros sac de vêtement sur le comptoir, tout près. Je sifflais tout en balançant mes morceaux un après l’autre dans la cuve.


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(#) Jeu 10 Nov - 22:39

Caleçon et savonw/ @Wyatt Gunn
Caleçon et Savon 8335c53d8d56a395b8893460acc17fce6be02830Aujourd’hui c’était journée laverie. Eh oui, je ne faisais pas partir des gens les plus fortunés de la ville qui avait la chance d’avoir une machine à laver chez eux. Non je faisais partit des gens pauvres, qui doivent se rendre à la laverie pour faire ses machines. En vérité, cela ne me dérangeait pas plus que ça, j’avais fait pas mal de rencontres sympathiques et puis quand vous avez toujours fait ça et que vous n’avez pas le choix, ça ne vous gène pas, soyons honnête.  Je venais d’arriver sur place, j’avais repéré une machine de libre. Je me suis tout de suite dirigée vers elle et j’ai mis mon linge à tourner. Afin de patienter, je me suis installé sur un des sièges prévus à cet effet. Je commençai à regarder mon téléphone, j’allais passer un coup de téléphone à ma meilleure amie Callie, quand je crus voir passer une personne qui ne m’était pas inconnue. Je range mon téléphone dans la poche de ma veste afin de mieux observer la personne.
Après une petite analyse, je le reconnus il s’agissait de Wyatt. Ah ce bon vieux Wyatt, ça y est j’avais trouvé mon occupation. Je l’ai connu par l’intermédiaire de Naya, il y a de nombreuses années, ensuite l’homme est venu travailler avec nous au cabaret. Je ne peux pas dire que c’est un ami ni un ennemi. C’est un collègue de boulot, on adore se taquiner, se lancer des blagues. Il n’y a rien de méchant là dedans c’est notre fonctionnement, cela s’est imposé à nous. Il faut dire qu’avec nos deux caractères, on ne que se doutait que ça aller finir comme cela. Je regardai donc l’homme se dandiner dans les allées de la laverie. Je ne pus m’empêcher de rire en le voyant faire. Je me levai et alla à sa rencontre. « Je ne savais pas que tu avais un si beau déhanché, des tas de filles doivent être jalouse de toi ! » Fis-je tout en lâchant un petit rire.
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(#) Ven 11 Nov - 4:48


Caleçon et Savon


TW: Langage vulgaire.

Ce n’est tellement pas glorieux de classer ces vêtements sales par couleur.

Même si on fait la performance de l’année, le lendemain, tu te dois, quand même, trier tes caleçons blancs avec ceux de couleurs. Non, je ne porte pas de léopard ou de cuir sous le pantalon. Ce serait, par contre, très drôle.

Je me demande ce que font les travailleurs-travailleuses du sexe quand ils vont faire leur laverie. La réaction que les gens autour doivent avoir quand ils déposent leur lingerie les plus extravagants les uns des autres. Enfin, c’est un métier comme un autre. C’est juste plus intéressant à regarder qu’un comptable qui place sa huitième paire de bas brunes. Je suis dans le préjugé envers les comptables, c’est vrai. Cela dit, plusieurs le sont aussi envers les travailleurs/travailleuses du sexe. Toutefois, personne dénigrent un comptable sur les réseaux sociaux.

Je ne suis pas là pour faire un éditorial sur la légalisation du travail du sexe, mais plutôt à mettre du savon dans la machine à laver. Je n’ai jamais été bon avec les quantités. Heureusement, la distributrice de savon donne la quantité suffisante à coup de un dollars. Ça rassure autant moi que mes vêtements sales.

Je continuais mes prouesses sans me rendre compte que j’avais une fan. Je me doutais bien qu’il y avait des gens qui me fixaient, mais d’oser me le dire en face, c’était rare.

Je me retournais la tête en sentant une présence. Le son de mes écouteurs étaient assez pas pour entendre sa jolie petite voix. La voix de la chère Louisa.

Louisa.Louisa.Louisaaaaaa !

Miss Taquinerie par excellence. Toujours le mot pour venir me piquer doucement, en toute légalité.

Cette fois-ci, j’entendais des compliments. Oui, c’était comme cela que je le percevais.
Il faut dire que son rire est très encourageant. C’est magnifique une femme qui rit, non ?

Je baissais mes verres sur le rebord de mon nez et plaçait ma bouche en bec de canard; comme ces demoiselles en manque d’attention prenant un selfie.

«  Awww, mais ma chère, tout est dans les hanches et les fesses. Si je m’entraîne, c’est aussi pour cela. Qui sait, je vais peut-être te remplacer un de ces soirs ?» disais-je en rajoutant un déhanchement supplémentaire. Il faut bien montrer mes qualités.

«  Cela dit, je n’ai pas ton talent pour rendre les hommes gaga. Quoi que…si je me rase. J’ai des cuisses d’enfer !»

Il faut bien s’amuser et rien de mieux que l’autodérision.


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(#) Ven 11 Nov - 22:03

Caleçon et savonw/ @Wyatt Gunn
Caleçon et Savon 8335c53d8d56a395b8893460acc17fce6be02830Je n’avais pas de problème à afficher mes vêtements et lingerie à la vue de tous le monde. Il faut dire que je porte une grande importante à ce que je porte. Ce n’est pas être superficielle, c’est juste que j’aime me sentir femme, me sentir belle quand je sors de chez moi. J’aime plaire et séduire c’est ma nature première, je n’y peux rien. Tous les jours est un défi de faire chavirer le regard des hommes mais aussi des femmes, il en faut pour tous le monde bien sûr. Je ne souhaite pas être une fille vulgaire et provoquante, non juste sexy, le bon mélange de tout, ni trop ni pas assez. Et une bonne tenue passe aussi par des sous vêtements sexy et raffiné. Les sous-vêtements c’est ce que je préfère, c’est mystérieux, personne ne sait ce que vous portez à part vous. Bon bien sûr quand vous faites des jeux dans la chambre, votre partenaire les voient mais sinon dans la vie quotidienne, personne n’a accès à cela. Je trouve ça très excitant. Et puis la lingerie c’est tellement beau, je trouve que c’est la chose qui met n’importe quelle femme en valeur. C’est raffiné, sexy, provoquant en fonction des modèles. Vous l’aurez compris j’adore ça ! De plus, en étant danseuse au cabaret, il n’est pas rare de me voir monter sur scène avec des tenues sexy.

Pour être honnête je ne fis pas attention au linge et caleçon de Wyatt, je trouve cela plutôt intime d’aller regarder le linge des gens. Moi ça ne me dérange pas mais peut être que les gens si. Wyatt est un rigolo, j’adore passer du temps avec lui. Je ne pu m’empêcher de lâche un nouveau rire en le voyant se déhancher. Cet homme est tellement drôle, je ne m’ennuie jamais en sa compagnie. « Peut être que oui, je pourrais te laisser l’honneur de monter sur scène à ma place. On pourrait même faire un duo si la star qui est en toi accepte de partager la scène. » Lui dis-je avec un large sourire.

« Je suis sûre qu’avec quelques conseils tu les ferrais tous craquer ! Tu es assurément très bien foutu sans rire ! » Wyatt était tout de même un bel homme, il avait un corps bien proportionné. Je suis sûre qu’il ferait fureur auprès de nos clients s’il se laissait approchait par eux.

« Je vais te donner quelques astuces mon petit. » Pour séduire un homme c’est simple, tous passent par le regard et la conviction que tu le trouve séduisant. » Je le regardai dans les yeux et lui sortit mon plus beau regard séducteur. « En revanche les femmes c’est plus compliqué, il faut être subtiles, les mettre en confiance. » fis-je avec un doigt levé pour souligner ma phrase.
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(#) Mer 23 Nov - 4:02


Caleçon et Savon


TW: Langage vulgaire.

L’inconvénient dans une buanderie; c’est qu’il est préférable de rester près de ta machine. Enfin, tu peux toujours quitter, si tu veux. Personne ne t’empêche, mais il est possible que tes vêtements se retrouvent par terre, encore plus sale qui ne l’étaient ou simplement disparue. Tu as assez de goût vestimentaire que quelqu’un a voulu ajouter tes fringues à son garde-robe. Surtout dans ce quartier.

On ne va pas mentir; tout le monde en arrache, mais ici, les gens n’ont pas peur de voler pour survivre. Alors, il vaut mieux que tu apportes de quoi t’occuper le temps que tes caleçons font trempette en compagnie de tes belles camisoles. Voilà pourquoi j’avais mes écouteurs; pour m’isoler du quotidien des autres. Mon portable, lui, m’aidera en fouillant ce qu’on peut trouver d’amusant sur le web.

Il arrive, par contre, que ce n’est pas nécessaire. Qu’une présence agréable fait en sorte que je laisse mes écouteurs tomber contre mes épaules et je range mon portable dans ma poche. Discuter, échanger ; parler à un être humain est tellement plus intéressant que devenir zombie devant un écran, non ? Pour moi, oui. Surtout après 3 ans enfermé dans une cage.

Et Louisa; on se connait assez pour que je me permet d’être aussi à l’aise. Bon, je le suis déjà à la base, mais je le suis encore plus avec des visages familiers. Un visage qui rit à la moindre de mes conneries; ça fait toujours plaisir. Je n’arrêterais donc pas.

Je faisais semblant de ramener des longs cheveux par derrière; geste cliché de bien des femmes qui tentent de se montrer au-dessus de tout. Ma main sur ma hanche l’autre qui s’appuie sur la laveuse, je jouais en imitant l’attitude d’une diva. Mes verres fumées toujours sur le bout de mon nez, je m’amusais à la regarder de haut.

« Partager…Je ne connais pas ce mot-là, ma chérie. Je prends tout habituellement. Mais…je peux faire une exception avec toi, Misssss. » disais-je avec une voix plus féminine.

Je terminais ce petite numéro en saupoudrant le savon sur contenue de ma machine à laver comme un serveur distingué qui rajoute du parmesan sur une belle salade. Un coup gracieux sur la porte et elle se fermait. J’appuyais du bout des doigts les boutons nécessaire pour activer le tout. Voilà !

Le numéro terminé, je faisais un demi-tour sur moi-même retirant mes verres montrant que ce personnage venait de disparaître. J’insérais une des branches à l’intérieur du collet de ma camisole afin qu’elle tienne convenablement.

Je me faisais surprendre par la demoiselle qui s’était approché de moi en me complimentant sans subtilité. J’en fronçais même les sourcils. Voulait-elle être mon agente pour que je deviens danseur de cabaret ou était-elle en train de me draguer ?

Il faut dire que je suis nul dans ce genre de doute. J’aurais peut-être pas dû faire partir ce personnage finalement. Toutefois, j’ai toujours mon humour à porté de main quand je deviens…plus nerveux.

«  Ah…tu crois ça…? » disais-je en m’accotant les hanches sur ma machine en marche. « Parce que les moustachus ne sont pas très à la mode, en ce moment. C’est vrai; tu ne vois que des mecs pas poil dans les magazines, non ? Des gamins remodelés par photoshop.»

Je me suis croisé les bras. Je ne sais pas pourquoi.

Les psychologues diront que c’est parce que je me ferme subtilement. Que je me retrouve dans une zone d’inconfort. Parler de moi n’est pas un sujet intéressant à mes yeux, surtout quand on me complimente.

Heureusement que Louisa était aussi amusante que moi. On rigolait, certes, mais…je ne sais pas, mais tout cela; ces trucs de séduction sur moi; voulait-elle me dire quelque chose ? Bon Dieu que je n’y connais rien. Est-ce qu’il fallait que je réponde à ça ?

Avec l’humour ou du sérieux ?

« Ohhhh je vois cela, ma chère…Et est-ce que c’est le cas pour moi ? » disais-je avec un petit sourire.

Je l’ai dit ! J’ai osé posé une question piège. Ouhhh, je sens le malaise arriver d’ici…

Elle change de sujet…Non, c’était juste un exemple qu’elle faisait. J’ai gaffé. Totalement mon genre…

Mais, j’avais encore une chance de me reprendre. De rester dans la bonne liste. Je redevenais sérieux, quelques instants.

« Tout à fait normal…Sentir le respect et la sécurité qu’on lui porte. Aussi important que de la faire rire…Mais, après ça se complique… » disais-je rapidement en me retournant pour récupérer mon sac de linge vide.

L’image de Gemma me frappait en plein visage. Oui, j’aurais dû garder mes écouteurs, finalement.



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(#) Mar 29 Nov - 16:59

Caleçon et savonw/ @Wyatt Gunn
Caleçon et Savon 8335c53d8d56a395b8893460acc17fce6be02830« Partager…Je ne connais pas ce mot-là, ma chérie. Je prends tout habituellement. Mais…je peux faire une exception avec toi, Misssss. » L’autodérision, c’est ce que j’adore chez Wyatt, il ne se prend jamais la tête et avec lui je suis sûre de toujours m’amuser. C’est un point que nous avons en commun tous les deux. Nous n’aimons pas nous prendre la tête, la vie est assez compliquée comme cela pour s’en rajouter au quotidien. Je le regardais faire sa machine tout en élégance digne d’une grande diva. Sans rire, il pourrait totalement faire un numéro au cabaret je suis sûre qu’il serait acclamé à la fin de son numéro et puis ça serait tellement drôle.

« Justement les moustachus manque et au Mademoiselle Diva tu aurais toute ta place. On en a marre des préjugés, on veut du réel ! » Il est vrai que la société nous reflète une image de la femme ou de l’homme parfait, je ne suis pas fan de ses schémas de beauté. J’aime puisé dans la personnalité des gens, l’humour est une chose qui peut me faire complètement craquer. Honnêtement je vais être plus attiré par une personne qui a du charme ou un charisme de fou avec une manière de s’exprimer parfaite plutôt qu’un canon de beauté. Si j devais me mettre en couple, chose qui n’arrivera certainement jamais en étant honnête, je préfèrerais une personne avec de la conversation, de l’humour plutôt qu’un canon sans cervelle. Enfin cela n’engage que moi bien sûr.

Je suis une séductrice, j’aime plaire et charmer les gens, je suis du genre à profiter de la vie sans me soucier du lendemain mais j’ai quand des critères de choix dans mes conquêtes. Je ne suis pas parfaite, il m’arrive de coucher avec le premier ou la première venu€, les soirs où j’ai envie de compagnie mais cela ne restera pas dormir loin de là, une fois le service rendu c’est merci, aurevoir. Oui je suis directe, je n’ai pas de temps à perdre.

« Pourquoi cela se compliquerai ? » Je sentais une perte de confiance dans l’expression de Wyatt. Lui qui me semblait si sur de lui je suis étonné de cette réponse. « Si tu es sûr de toi et que tu montres que tu sais ce que tu veux, je ne vois pas pourquoi ça se compliquerai ? » L’assurance, c’est une des clés en séduction après comme partout parfois ça marche et parfois non mais il faut tenter, on n’a rien a perdre après tout. « Beau gosse comme tu es, tu as du faire craquer plein de filles j’en suis sûre et puis au mademoiselle diva, tu as de quo ite faire plaisir vu les beautés qui viennent s’y divertir. » Le cabaret avec un succès fou en ville et il est vrai que de nombreuse personnes faisait un détour par ce lieu magique, l’endroit rêver pour faire des rencontres. Là bas personne ne se juge, tous le monde vient comme il est, c’est la règle numéro une !

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(#) Dim 4 Déc - 7:09


Caleçon et Savon


TW: Langage vulgaire.

«  Ahhh, mais pour être réel, je le suis. 100% naturel, sans stéroïde… » disais-je sur le champs en me frappant le torse de mes deux poings fermés.

Si j’avais de quoi être fier, c’était de ma condition physique. Un corps conditionné à mon sport et sans artifice. Pas une once de cochonnerie chimique coule dans mes veines. Aucun stimulant qui te cuit les neurones. Non, j’ai la vieille mentalité. Celle qui faut simplement se botter les fesses pour arriver à notre but. Rester concentré et déterminé à s’y rendre. Bien manger et sans exagération.

D’accord quelques shakes protéines, mais rien qui se qualifie d’illégale. Si je veux retourner au sommet, reprendre ce que j’ai perdu, pas question que je me gave de ces trucs qui peuvent me tuer sur place.

Mais pourquoi je lui disais cela ? C’est vrai. Je n’avais aucunement eu l’idée de devenir artiste de Cabaret. Moi ? Danseur dans un Cabaret ? Bouger mon postérieur pour des applaudissements ? Cette beauté rêvait en couleur. Je n’avais aucunement prévu de faire un numéro de Chippendales dans mon agenda prochainement.

Néanmoins, une question embrouillait un peu le tout. Cette question…

Il fallait que je jongle avec cela. Je n’avais pas envie d’entrer dans les détails. Parler de ma relation avec Gemma et toute les emmerdes qui en sont suivis….qui continuent de me ravager le coeur.

Je baissais la tête, un moment cherchant les bons termes qui pouvaient expliquer sans être trop précis.

« Encore faut-il qu’ELLE sache réellement ce qu’elle veut…et pas me jouer dans le dos. »

Je n’aimais pas où cette conversation se dirigeais, mais je ne m’attendais pas à ce que cela aille par-là…

Elle insistait encore sur le Mademoiselle Diva avec des mots…plutôt des compliments sur moi. Je n’ai jamais vraiment été très à l’aise avec cela. J’en jouais avec mon sac entre les mains. L’idée de retourner dans l’humour pour calmer le jeu était le moyen facile, mais…

Je ne pouvais pas m’empêcher de sourire, voir rire un peu alors qu’elle me croyait comme étant un tombeur. C’est quand même agréable de se faire dire cela par une aussi…jolie demoiselle.

« Tu penses vraiment cela de moi ?…Wow…et bien, désolé, mais je suis loin d’être un Don Juan…C’est tout le contraire, en fait…» disais-je en murmurant mes derniers mots, presque honteux de cette vérité. Je croisais mes bras sur mon torse.

«  Et puis, j’ai pas besoin d’en avoir autant autour de moi pour avoir du plaisir. Juste en connaître une…Une honnête et sincère envers moi. C’est tout. »

Je plissais le front et je me permettais de la regarder avec un gros point d’interrogation dans le visage. Je ne sais pas, l’envie de savoir pourquoi elle s’obstinait autant sur le sujet me démangeait la gueule….

Ma belle gueule si j’en croyais ce que j’entendais.

« Mais pourquoi tu essaies de me vendre le Diva comme cela en me complimentant autant ? Tu ne me trouves pas vraiment beau gosse, en fait, hein ? Qu’est-ce que…qu’est-ce que tu veux de moi au juste, Miss ? » disais-je avec un léger sourire un coin comme si je l'avais démasqué.

Et oui, triste à dire, mais avec les mauvaises expériences que j'avais eu, je ne pouvais pas m'empêcher de douter de cette étrange attitude chez elle, en ce moment. Jamais elle avait été aussi...séduisante. Et puis, me draguer dans une buanderie...Allons...

Elle mijotait quelque chose, non ?

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(#) Dim 4 Déc - 15:53

Caleçon et savonw/ @Wyatt Gunn
Caleçon et Savon 8335c53d8d56a395b8893460acc17fce6be02830
« Ahhh, mais pour être réel, je le suis. 100% naturel, sans stéroïde… » L’homme se frappa le torse tel un gorille qui veut prouver que c’est lui le plus fort. Je ne pus m’empêcher de rire à cela. Cette réaction était un peu kitch mais j’adore ça. J’adore l’humour de Wyatt pour être honnête, on sait toujours quoi dire pour se faire rire. On a une connexion tous les deux, si on n’aimait pas autant se lancer des piques, on pourrait dire que nous étions des amis. Mais ça aucun de nous deux ne se l’avouerai, ouh non jamais de la vie, j’avouerai que je le trouve sympathique dans le fond j’ai trop de fierté pour ça. « Oui toi être homme fort, toi être homme costaud. » Fis-je en prenant une voix comme tarzan quand il essaye de parler à Jane. Oui c’est un humour de merde je sais, d’ailleurs je me remis à rire une fois ma phrase terminée.

Tout d’un coup, le jeune homme redevint vraiment sérieux quand je lui parlais de séduction. Personnellement j’étais dans l’humour mais j’avais l’impression que lui était très sérieux. La conversation prenait une tournure différente et je n’aurais jamais penser abordé un sujet sérieux avec lui. « Oulà mais qu’est ce qui se passe ? On s’est foutu de toi ? Tu ne m’as pas habitué à ça darling. » J’était perturbée, j’avais l’habitude de rire et de me moquer de Wyatt mais pas d’avoir des discussions sérieuse. « Si tu veux en parler, je t’écoute. Je sais que ce n’est pas comme ça entre nous d’habitude mais tu n’as pas l’air très bien. » J’était mal à l’aise mais lui d’autant plus que moi. Je voulais lui montrait qu’il pouvait avoir confiance en moi. Je ne suis pas une garce bien au contraire. Je suis fidèle en amitié et je fais tous pour que mes amis soient heureux.

Wyatt semblait intimidée que je le trouve beau mec. Je ne le voyais pas aussi timide, je pensais que l’homme enchaînait les conquêtes comme beaucoup d’homme dans cette ville. « Mais non ne t’excuse pas voyons, c’est moi qui dois m’excuser. J’ai fait des conclusions que je ne devais pas. » J’étais encore plus gênée, finalement je ne connaissais rien de lui de m’en rendais compte. Je m’étais fabriquée une image de cette homme totalement contraire à la réalité. Il me semblait plus être un cœur brisé qu’un véritable Don Juan. « D’accord, tu es un homme bien Wyatt, c’est rare de nos jours. » C’est vrai que tous les hommes que je croisais cherchait à enchainer les conquêtes. Je suis également dans ce cas donc je ne juge pas ce comportement mais beaucoup de mes amies râlent de ne pas tomber sur des hommes doux et sincère. Je m’en rendais compte que j’en avais un juste devant moi.

Mon complice semblait s’interrogeait sur mes propos, depuis tout à l’heure je faisais de l’humour mais j’ai l’impression qu’il n’avait pas forcément comprit la nuance. Je n’attendais rien de personne à part passez un bon moment. Je n’y avais pas forcément pensé jusque là mais si l’homme propose, on peut en discuter. « Oh non c’est juste que si tu cherches l’amour c’est un lieu sympathique pour faire des rencontres voilà tout. » J’entrais sur un chemin glissant. « Si je te trouve séduisant Wyatt, tu es viril c’est assez attirant en vérité. » Je me mordis la lèvre inférieure. « Je n’attends rien de toi ni de personne à vrai dire, après si tu veux passer un bon moment, je suis plutôt pour. » Mode séduction activé, Wyatt ne m’avais jamais vu dans ce comportement là. Il allait être tout paniqué le pauvre, j’adore ça. J’allais le chasser comme un chat chasse sa souris.

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(#) Mar 13 Déc - 4:59


Caleçon et Savon


TW: Langage vulgaire.

Moi qui était fier de tout ce que j’avais accompli pour m’être mouler de cette façon; elle en quelques secondes, elle venait de me péter ma bulle. Utiliser ce cliché, cette manière de me catégoriser comme un gaillard sans cervelle. Je gardais ce sourire coquin sur mon visage, mais au fond de moi, je n’appréciais pas.

Cela ne veut pas dire que je m’entraîne les bras, que c’est vide dans le crâne. Je ne suis pas le meilleur modèle au niveau scolaire, mais je connais bien de mes gars au gym et dans la MMA qui ont une bonne éducation. Bref, cette façon pensée était encore là, dans la tête de bien des gens et ça m’enrageait.

Je pourrais tout aussi bien l’insulter en la traitant de nunuche aux seins refaits ou une avaleuse professionnelle, mais ce serait lui mentir. Elle est tout le contraire. J’entrerais dans son jeu et encore plus bas. Je n’ai pas envie d’être dégradant avec elle. Je ne suis pas comme cela…même si ces propos me font chier.

Je faisais semblant de rire, mais un rire qui voulait dire tout le contraire.

«  Charmante…mais continue comme ça et Tarzan capable prendre Jane sur épaule et mettre elle à « Spin » dans machine… » osais-je la prévenir en agitant mes sourcils. J’en étais capable. Mini jupe ou pas; je n’avais aucun mal à la soulever pour la déposer dans une laveuse.

Je me contentais de m’avancer près d’elle, sans être menaçant.

« Pourtant, Jane très contente quand Tarzan sauvé ces fesses plusieurs fois. » en continuant de jouer même jeu qu’elle.

Je suis peut-être Tarzan…, mais je ne suis pas un crotté. Le genre de mec qui se permet tout en croyant que le Cabaret est un buffet à volonté. Que d’avoir payé son entré leur donne le droit de toucher sans consentement. Des gars d’une catégorie dont je n’ai aucun respect et que je me fait plaisir de corriger quand Louisa a eu des ennuis.

Donc, je préfère être Tarzan à ces yeux.

Tout cela m’amenait à devenir plus froid et sérieux. Le sujet devenait dur et amer. Je n’avais aucunement le goût de même le frôler. Tout ce qui concerne mes relations amoureuse; vaut mieux mettre cela à la poubelle. Cela n’en vaut même pas la peine de s’y attarder.

« Justement, tu n’es pas habituée, darling, parce que j’en parle jamais. Ça sert à rien d’en parler puisque c’est du passé. Je me concentre sur le présent et je que je dois faire. C’est tout. »

C’était très mignon de la voir patiner. Tenter de se racheter avec les yeux doux et des excuses roses, mais pourquoi je lui en voudrais. Elle en savait rien. Ce n’est pas un sujet dont je me livre comme d’autres font. Plusieurs ont cette aisance, mais pas moi.

C’est le genre de situation où je sors mon nez de clown ou je fais tout pour donner l’attention à quelqu’un d’autre.

« (Rire) Si tu pouvais dire cela à mon agent de probation… » soufflais-je en me retournant pour ouvrir la porte de ma laveuse et vérifier que tout allait bien. Idiot comme geste, mais je n’étais aucunement à l’aise avec tout cela.

Elle persistait refusant de lâcher le morceau parlant encore et encore d’amour…

« Je ne cherche pas. » disais-je sèchement en me retournant vers elle espérant que cela allait mettre fin à ces interrogations. «  J’ai…j’ai tellement d’autres priorités en ce moment; ma petite coccinelle avant tout. Et puis…je viens de sortir de prison. On est loin du prince charmant… »

Même cela…, même mon attitude changeant ne l’arrêtait pas. Au contraire, elle devenait plus…moins subtile…

Je cherchais à comprendre. Était-ce vraiment Louisa devant moi ? Celle qui a la manie de m’énerver…

Maintenant, elle jouait la sulfureuse…avec moi ?!

Surpris, je m’accotais le bassin contre la machine, toujours les bras croisés, comme si cela allait me protéger de ce qu’elle dégageait.

«  Quoi…?! Es-tu…Es-tu vraiment en train de me draguer entre une brassée de blanc et de soutif là ? Il y a deux secondes à peine, tu me traitais d’homme des cavernes sans cervelle…»

Je riais presque comme si j'en croyais pas mes yeux...et mes oreilles.


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(#) Mar 20 Déc - 20:48

Caleçon et savonw/ @Wyatt Gunn
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Mon « imitation » était de l’humour rien que cela mais j’avais l’impression que Wyatt l’avais pris mal. Il connait notre jeu, il sait bien que je me moque de lui mais que je ne pense jamais ce que je dis, du moins je l’espère. On s’envoie tellement des pics à longueur de journée que je ne réfléchis même plus au conséquence de mes mots, je joue à celui qui finira par taquiné l’autre en dernier. Je sais pertinemment que Wyatt est un homme intelligent sinon je ne jouerai pas à ce jeux avec lui, au contraire je m’ennuierai avec un idiot. Non Wyatt a le sens de la répartit, il manie les mots et l’humour avec facilité c’est ce que j’apprécie grandement chez lui. Nos batailles verbales sont galvanisantes et souvent très drôles. Prenant le même ton que moi, l’homme commence à me menacer de me mettre dans une machine à laver. Non il n’allait tous de même pas oser ? Bon j’avoue que ça serait très drôle vu de l’extérieur, quoique même moi je serais capable d’en rire, je l’aurais bien cherché. D’ailleurs Wyatt se rapprocha de moi, je pensai que mon heure était venue mais non il se contenta d’ajouter que j’étais bien contente qu’il me sauve les fesses des mecs lourds au cabaret. Là, je m’avoue vaincue, je ne peux pas le contredire, il est souvent là pour moi et je lui en suis très reconnaissante. Il faut dire que j’ai le chic pour me mettre dans de salles histoire à chaque fois moi, mais ça fait partie du show et de mon personnage. Je levai les mains en l’air pour signifier que je m’avoue vaincue. « Oui Jane est très reconnaissante que Tarzan lui vienne en aide, ça je ne peux pas te contredire. Merci d’ailleurs de veiller sur moi. » Il fallait qu’il en profite, ce n’est pas tous les jours que j’avais un mots gentil en sa faveur. Aujourd’hui j’étais d’humeur compatissante avec Wyatt. On n’avait jamais eu de conversation profonde lui et moi. On se contente de s’envoyer des paroles en pleines face mais au fond, on ne se connait même pas. C’est plutôt dommage après tout. Je me remets beaucoup en question en ce moment et la Louisa attentionné fait son retour, est-ce un nouveau pas de guérison ? A suivre. Pour le moment Wyatt me parlait de sa vie sentimentale et le laissait entrevoir une faiblesse. Je me sentais mal d’avoir aborder le sujet, j’aime le taquiner mais pas le blesser. Là en l’occurrence on touchait un sujet sensible auquel il coupait court. « D’accord je comprends. » Il coupait court à la conversation même pour ce qui est de rencontrait quelqu’un, il me confia qu’il avait plus urgent à gérer que l’amour, comme sa voiture et le fait qu’il vienne de sortir de prison. « Oui je vois et bien tu as raison de penser à toi. Oh ne me parle pas du prince charmant c’est surfait comme image. » Ce rêve du bel âtre qui viendra lui rendre la vie parfaite, je n’y crois plus depuis longtemps. Je sais combien la vie peut être dure et ce n’est pas un homme qui va m’aider à me relever. Afin de pimenter un peu ce moment, je commençais à faire du charme à Wyatt. J’étais d’humeur joueuse et je vis l’homme se décomposer. Il n’était pas du tout prêt à vivre ça de ma part. Je n’ai jamais joué au jeu de séduction avec lui et c’était marrant de le voir perturbé. Je pris un air soulé et souffla légèrement. « Ca va détend toi, c’est pour s’amuser Wyatt. » Il prenait trop les choses sérieusement, oui je le drague, je m’amuse. Je ne pus m’empêcher de rire également. « Je te cherche tu ne vois pas que je te taquine comme d’habitude, c’était pour détendre l’atmosphère après cette conversation sérieuse. » On avait parfois du mal à se comprendre avec Wyatt, c’est d’ailleurs pour cela qu’on était chien et chat je pense.
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(#) Mar 27 Déc - 6:52


Caleçon et Savon


TW: Langage vulgaire.

L’autodérision ; une excellente arme.

Quand on est capable de rire de soi, peu de chose arrive à nous atteindre. On peut surprendre quelqu’un qui tente de nous attaquer avec des insultes ou des propos qui pourraient nous choquer. Qu’on acquiesce et qu’on en rajoute. Une réplique qui déstabilise et on peut finir un échange.

Mais il y a encore quelques sujets qui parviennent à nous rentrer dedans. Je ne sais pourquoi. Je me croyais aucunement susceptible, mais être comparé à un homme de la jungle. Sauvage, primate avec peu de vocabulaire; je me suis senti durement touché.

Je sais très bien que c’est un jeu. Que Louisa s’amuse avec moi. Je dis bien avec moi, car on sait tous les deux qu’il y a aucune véritable méchanceté. Que le plaisir est de trouver la prochaine réplique à se dire. Comme un challenge de phrase percutante.

Mais celle-là, au fond de moi, m’a ébranlé.

Me voit-elle vraiment comme cela ? Un gars avec une tête vide qui ne pense qu’à ses muscles ? C’est de loin celui dont je veux être comparé. J’ai peut-être eu peu d’éducation, mais je me crois mieux qu’une bête primitive ou ces gros bras dans les gyms qui s’embrassent les biceps. Je suis capable de faire un casse-tête, de gérer un budget et donner tout l’amour que je peux pour ceux que j’aime.

D’un autre côté, je ne devrais pas m’en préoccuper. Il faudrait que je me foute des opinions des autres; je fais ce que j’ai à faire et au diable le reste.

Je ne sais pas, mais que ça vienne de Louisa; une femme que je respecte, malgré tout; ça vient me chercher.

«  Tarzan ferait tout pour sauver Jane. » disais-je toujours avec le ton connu de cet homme de la jungle.

Comme un bon garçon, je camouflais ce mauvais feeling en utilisant justement cette comparaison à mon avantage. Tourner cela toujours avec mon célèbre humour qui en fait rire plus d’un. J’avais seulement ajouter un fait sur ma volonté de la protéger dans le cabaret. Même s’il y a des videurs, il arrive qu’ils sont sur un autre cas ou ils ne le voient tout simplement pas. Et puis, c’est totalement impulsif; je dois intervenir. Jamais je serais indifférent face à une agression envers une femme.

«  Je ne pense pas à moi, mais à Ruby.  Je veux tout faire pour l’avoir le plus tôt possible. J’ai autant besoin d’elle qu’elle a besoin de moi. »

Dans les femmes importantes dans ma vie, ma petite soeur est juché en haut. Celle pourquoi je suis encore debout en train de laver ma brassé de blanc. Je tente d’avoir une vie saine, avoir une routine qui peut faire de moi un homme responsable, adulte, digne de ravoir Ruby auprès de moi. Ce serait tellement facile de m’écraser et boire ma peine, mais je refuse de me laisser envahir par des mauvaises pensées quand il y a ma coccinelle qui est privé de sa liberté…par ma faute.

Heureusement que Louisa me sortait de mes sombres réflexions en me reprochant de parler de prince charmant…

J’arquais mon dos vers l’arrière afin d’exagérer mon rire ces mots;

«  (Rire) Ohhhh vraiment, ma chère ?! Pourtant, à vous entendre, c’est ce que plusieurs femmes veulent. Riche, fort, intelligent, mais pas trop. Musclé, mais pas trop. Gentil, mais quand même bad boy à ces heures. Cultivé, mais pas trop nerd…C’est pas un mec, c’est un Monsieur Patate qu’il vous faut, mesdemoiselles. »


Je parlais par expérience; par les échecs que j’ai eu avec les femmes. J’étais trop, pas assez. Manque de ou plus de…

Après les premières semaines; quand la passion s’estompent, c’est là qu’on voit la véritable personne. C’est là qu’on déçoit, qu’on est critiqué. Alors, l’homme idéal n’existe pas. Il faut apprendre à vivre avec les défauts de l’autre.

Mon assurance se dégradait au pas de la demoiselle vers moi. Je n’avais encore jamais vu ce genre de regard qu’elle posait sur moi. C’était loin de la Louisa mesquine, c’était devenue Louisa la séductrice…et j’avoue qu’elle dégageait quelque chose….qui me rendait timide. Qu’elle se dirige de cette façon, avec une intention dont je n’ai aucune aisance.

Prendre quelques secondes pour y penser dans ma tête.
C’est…c’est une femme très jolie, intelligente à souhait et fonceuse; une femme extraordinaire, en fait. Prenait-elle cette occasion pour me dire quelque chose ? Une attirance envers moi qu’elle ne s’avouait pas ? L’occasion ainsi présenté, elle a prit son courage et me lance une perche. Comment je dois réagir ? Parce que…je n’y ai pas songé à cette demoiselle. Mais, je la connais suffisamment pour pressentir de beaux moments avec elle. Dieu sait à quel point ça me ferait du bien…Avoir quelqu’un de bien auprès de moi.

Alors, elle apprécierait avoir Tarzan juste pour elle ? Ça me faisait chaud au coeur d’y croire.

Je me pressais les lèvres par nervosité, mais aussi par retenue de dire quelque chose de travers. Oser m’aventurer dans une zone inconnue et me perdre ou complètement m’enfoncer comme un débile. Alors, j’ai tenté de séparer du vrai au faux.

Je m’en doutais bien…
Louisa craquer pour moi; c’était débile d’y songer au fond, non ?

«  Oh, mais je…je le savais bien, Bella. Tu as bien fait de me sortir de là. C’est vrai…Et puis, au fond, tu as tellement d’admirateurs qui ont de la classe, Tarzan est loin derrière avec ces vieux joggings. »


On ne fait que cela depuis qu’on se connait, se jouer de l’autre. Je ne devrais pas me sentir humilié, ou déçu. Et puis que ferait une aussi flamboyante demoiselle avec un gros débile comme moi ? La dernière fois que j’ai eu la chance d’avoir une déesse à mes côtés, elle m’a planté un couteau dans le dos…Elle a trouvé un type plus fortuné que moi. C’est toujours comme cela.

Je voulais éviter tout malaise, alors je ne perdais pas de temps à reprendre mon côté clownesque; je me dandinais près d’elle comme un danseur de talent.

« Mais, Jane rates quelque chose…, car vieux joggings cachent deux gros cocos qui savent danser et faire fête. » disais-je en lui pointant mon postérieur.

Au diable le sérieux. Je dansais sans musique autour d’elle. J'osais même lui prendre la main afin de la faire tourner sur elle-même.

Voilà; je ne suis bon qu’à rester rigolo et faire rire...


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(#) Mar 27 Déc - 13:03

Caleçon et savonw/ @Wyatt Gunn
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« Tarzan ferais tout pour sauver Jane. » ces paroles ne purent m’empêcher de sourire, c’était vraiment un chic type. Je n’étais pas au courant que Wyatt sortait de prison, il faut dire qu’on ne s’est jamais intéressé au vie de l’autre. On est des connaissances rien de plus. Il me parlait de sa petite coccinelle, une certaine Ruby, je n’en avais jamais entendu parler mais vu comment il en parlait ça devait sûrement être un membre de sa famille, sa petite sœur peut être. Je me rendais compte que Wyatt n’avait pas eu une vie facile. La discussion était profonde, j’avais de la peine pour lui, il semblait réellement attaché à sa Ruby. Je posai une main sur son épaule.

« D’accord je vois Wyatt, je sais que ça n’a jamais été la grande amitié entre nous mais ça pourrait changer. Si tu as besoin je pourrais t’aider. »

Je lui fis un sourire pour appuyer mes paroles. Je ne suis pas un monstre, je n’aime pas savoir les gens dans la difficulté. Wyatt semblait vraiment touché donc si je pouvais l’aider ça serait avec plaisir. Qui sait nous pourrions devenir de vrais amis lui et moi ?

Je ris tellement fort aux paroles de Wyatt. Un monsieur patate, on ne me l’avait jamais faite celle là mais il n’avait pas tordu dans le fond, c’est exactement le genre de mec que les femmes voudraient de nos jours. Moi en revanche, cela ne m’intéresse pas, je ne suis pas faite pour la vie en couple. Moi je vis au jour le jour, le vogue vers où me mène le vent.

« Un monsieur patate, très bonne métaphore, c’est exactement ça tu as raison. Personnellement ce n’est pas mon cas. Je ne cherche pas l’amour, je ne veux pas m’engager. Je préfère me concentrait sur moi. »

Oui je n’étais pas du genre à rêver de la vie de famille, la belle maison et le chien. Non moi je veux m’amuser, profiter de la vie dans me soucier du lendemain. Je ne veux pas d’attaches, je ne suis pas prête à en assumer. Je serais bien une piètre mère, je ne veux pas infliger ça à un enfant innocent. Je préfère me contente de relations sans lendemain tout n’est que passion, plaisir et rire. Il n’y a pas de prise de tête, ce n’est que tu positif.

Je n’avais jamais pensé à Wyatt comme un amant potentiel, notre relation de chien et chat me plait tellement que si on couché ensemble les règles du jeu serait certainement plus les mêmes et ça serait dommage. Et puis c’est un ex de Gemma, je ne peux pas faire ça, ça serait quelques peu les problèmes. Je préfère éviter, j’en ai déjà assez en ce moment.

« Tu sais je me moque de tous ces mecs ou femmes qui me veulent dans leur lit. Je vis au jour le jour, j’ai juste quelques règles à ne pas franchir. »

Je n’allais pas évoquer Gemma, je sais que c’est très tendu entre eux, la belle brune m’en a un peu parler. Elle est tous de même rester très évasive et quand elle fait ça c’est que la personne compte beaucoup pour elle. Je vais donc éviter se terrain glissant.

« Je n’en doute pas, je suis sûre que j’aurais de quoi m’amuser. »

Je lâche un nouveau rire. C’était vraiment un pitre ce Wyatt.

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(#) Mar 27 Déc - 21:03


Caleçon et Savon


TW: Langage vulgaire.

L’autodérision ; une excellente arme.

Je le dis souvent; je parle peu de moi. La psy me disait qu’il fallait que je m’ouvre d’avantage afin de comprendre plusieurs choses chez moi. Que de parler de soi permet une ouverture de l’autre. C’est du donnant-donnant comme elle dit. Pas évident de le faire, honnêtement. J’aime bien l’image qu’on a de moi; le bonhomme bouffon, souriant et aidant les gens autour de lui. J’ai pas envie de raconter mon passé, mes ennuis, mes bobos. Me montrer vulnérable; voilà !

« Ne t’en fais pas pour moi. Je suis fais fort. Je me débrouille bien, mais je veux bien prendre une amitié au passage, si la demoiselle le veut bien. » disais-je en lui faisant un petit clin d’oeil.

C’est ça; j’ai pas envie de me montrer faible. Je ne suis pas Rambo, loin de là. Je ne vois juste pas le besoin de crier mes problèmes sur tous les toits. Il y en a, pour certains, qui profite de l’attention pour balancer toute leur vie en espérant se faire consoler, conseiller. Ce genre de comportement me pue au nez, sérieusement. On sent ce plaisir mesquin d’obtenir des compliments, des douceurs, bref le spotlight. Jouez du violon jusqu’à ce que quelqu’un écoute et compatis. Je ne comprends pas cette mentalité de jouer avec la gentillesse des gens. Et puis, cela se finit pas nous épuiser de toujours ramasser une personne vivant constamment dans le drame.

Tout comme une femme exigeante qui ne sait pas ce qu’elle veut. Toujours marcher sur des oeufs en espérant ,qu’aujourd’hui, elle est de bonne humeur. Je suis en train de faire une critique sur l’état d’une femme en général, mais je crois surtout que c’est un mouvement de société; la consommation rapide.

Dans un monde où la vie roule à vive allure, les gens ne veulent plus attendre. Ils sont prêt à prendre ce qui ont sous la main pour éviter de se casser la tête. Du moment que ça leur convient, que ça comble un besoin. Je parle autant de la bouffe que du sexe. C’est tristement vrai, j’ai l’impression. Vinnie m’a montré une de ces applications pour rencontrer quelqu’un et ce que je vois est dégueulasse.

À peine deux échanges et déjà ils se planifient une baise. Où la romance, la séduction, le plaisir de faire connaissance? Non, c’est pas important, maintenant. Ils ont un besoin sexuel à combler et ils font se soulager l’espace d’une nuit. Demain, on verra…C’est quoi ça ?!

« Ah non ! Toi aussi tu préfères la consommation rapide ? Bordel…Je ne suis pas du tout ce troupeau de chauds lapins, moi. C’est quoi le plaisir de juste baiser?…Ok, c’est bon sur le coup, mais tu dis quoi après ? Même pendant; l’échange de regard, le toucher, le goût…Tu ne sais même ce qui tu as dans la bouche ! Te concentrer sur toi, te respecter, ce serait de prendre le temps de savoir ce que tu veux au lieu de…bouffer sans connaître les ingrédients qui se trouvent. »

J'ai beaucoup de mal avec cette tendance, surtout que je sais que c'est le genre de pratique que Gemma semblait faire. C'est ce que j'avais entendu. Elle et son étalon italien à deux balles. Si elle va voguer ailleurs, c'est qu'elle n'est pas satisfaite, non ? Peut-être faudrait-il qu'ils se parlent pour savoir ce qu'ils souhaitent. Awww, puis merde...

J’étais soulagé d’entendre qu’elle s’était imposer des règles avec tous ces gens au Cabaret qui la désir. Qu’elle « filtre » ces rencontres d’une certaine mesure, mais j’avais beaucoup de mal avec cette façon de voir l’amour; car il n’y en a pas.

« Excuses-moi si je semble vieux jeu ou romantique rose bonbon, mais enfin, je…je souhaite juste que tu sois respecté et que tu te respectes dans tout ça. Les gens peuvent être des merdes; en couple ou pas. Même si tu veux éviter de souffrir étant en couple; tu peux aussi être blessé de cette façon, tu sais ? Tu es un être humain, ma chère…avec des sentiments. »

Je terminais ma petite danse ridicule en gardant sa main dans la mienne. Je me permettais de lui faire un baise main, comme un prince qui n’a jamais existé.

«  Je m’amuserais tout autant. » ajoutais-je avec un beau sourire et les sourcils redressés. On se taquine encore, hein ? Elle venait de rire. C’est pas sérieux ?


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(#) Mer 28 Déc - 20:54

Caleçon et savonw/ @Wyatt Gunn
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Je ne suis pas du genre à me confier aux gens, sur ce point je rejoins Wyatt. Seul mes plus proches amies sont au courant de mes blessures du passé et ces personnes se compte sur les doigts d’une main si je ne compte pas ma famille. Je ne montre pas mes blessures, j’arbore cette image de femme forte et sûre d’elle pour me protéger. Mais je sais aussi être une femme sensible et attentionnée avec mes proches, je n’ai pas un cœur de pierre comme beaucoup peuvent le penser au premier abord. Derrière cette carapace de femme sûre d’elle, se cache un vrai cœur tout mou.

« Je n’en doute pas que tu sois fort bien au contraire. J’en serais ravie si je peux t’aider c’est avec plaisir. Parfois une oreille extérieure ça fait du bien. »

Oui parfois il était plus simple de se confier à une personne avec qui on n’avait pas forcément d’accroche. Je pense que Wyatt a besoin de ça, une oreille qui ne sais rien de sa vie passé et qui écoute seulement sont ressentis sur le moment. Je sais faire ça, c’est un des principaux talents qu’on demande à une barmaid pour être honnête, on se fait souvent la psychologue des âmes vagabondes. J’aime beaucoup ce côté de mon métier, j’en apprends plus sur la vie et puis ça me permet de rencontrer des gens vraiment sympa.

Oui je n’ai rien de l’âme d’une romantique, mais j’ai des sex friends, nouveau concept qui ne plait pas à tous le monde mais qui moi me convient parfaitement. Je couche avec des personnes que j’estime beaucoup, on est amis et en bonus on couche ensemble. Avec ces personnes, c’est beaucoup plus que du sexe, avec elles, je m’autorise des gestes tendres et de la complicité, rien à voir avec mes coups d’un soir. Ce n’est peut être pas entendable pour tous le monde, je le conçois volontiers mais moi ça me va. Je n’arrive pas à ouvrir mon cœur, j’ai un blocage, j’ai donc trouvé le compromis parfait. Cela à l’air de déranger Wyatt vu ses paroles. Il a l’air choqué par mes propos. Je n’aime pas forcément le ton qu’il prend avec moi mais cela à l’air de lui tenir vraiment à cœur. Je pris une grande inspiration avant de répondre.

« Je ne vois pas ça comme de la consommation rapide, je vois ça comme une séduction permanente et puis je me fais plaisir sans attache voilà tous. Mais je sais ce que je veux Wyatt et en général je choisi mes partenaires, j’ai un minimum de feeling avec. Et puis c’est souvent moi qui mène la danse donc je suis rarement déçue ne t’inquiète pas pour ça. » Dis-je en terminant par un clin d’œil.

L’homme ne semblait toujours pas comprendre mon point de vue, lui rêve d’amour et de geste tendre moi pas. Je rejette tous ce qui s’apparente à un couple et même si Gemma m’a beaucoup aidé dans mon appropriation de mon corps et a essayé de me redonner foi en l’amour, je n’y arrive pas. Je rejette cette idée de couple, je ne peux pas faire confiance en quelqu’un, je veux être libre.

« Ne t’excuse pas, c’est juste que nous n’avons pas les mêmes attentes. Je ne désire pas être en couple, je veux ma liberté et toi tu veux aimer quelqu’un pour la vie. Oui je sais que je peux souffrir de n’importe qu’elle façon mais pour le moment je sais que je dirige aux maximum ce qui m’arrive donc j’ai moins de chance de souffrir. Et puis on ne peut pas me faire plus de mal qu’on m’en a déjà fait... »

Je lâchais une petite information sur ma vie, merde, c’était sortit tous seul. Wyatt me fit danser telle une princesse. C’est vraiment un cœur tendre celui là, il n’y a pas de doute. Il finit par me faire un baisemain, ce qui me fis rire. Je comprenais ce que Gemma avait trouvé en Wyatt, c’est un homme sur qui on peut compter, il sera toujours là pour vous.


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(#) Ven 30 Déc - 21:33


Caleçon et Savon


TW: Langage vulgaire.


« Depuis quand tu fais la douce avec moi, ma chère ? » disais-je tout bas en allant vers la laveuse qui venait de sonner. Ma brassée de couleur venait de se terminer. J’ouvrais doucement la porte en la regardant d’un doux sourire.

C’est vrai. Habituellement, on se pique cherchant la moindre occasion pour le faire. Étant dans un endroit neutre où nous avons rien qui pouvait interférer, elle changeait de comportement envers moi. Parce qu’il n’y a pas de témoin qui pourrait hurler que la grande Louisa est une bonne âme charitable.

Je commençais à sortir mes vêtements mouillés ne prenant plus attention sur la demoiselle.

« C’est gentil. Vraiment, Louisa. J’ai déjà une psy attitré pour mon suivie de dossier, mais j’avoue que je préférais nettement ton beau visage avec une bière que la face rabougrie de cette psychologue de la Cours. » disais-je ouvertement.

Ce qu’on ne ferait pas pour avoir un bon dossier. Devoir m’asseoir au deux semaines dans son bureau à raconter ma semaine ou pire, mon passé. Chercher le pourquoi du comment de mon attitude de merde. Je dois avouer que, par moment, j’arrive à voir le bon coté de cette échange. Je comprends certaines choses, ce qui me pousse à me fermer ou avoir qui mal avec l’amour.

Avoir des divergences d’opinions; c’est fort probable de nos jours, mais personne détient la bonne réponse. On peut voir la vie comme on l’entend; tant que cela ne fait pas de mal à qui que ce soit.

Qu’elle préfère ne pas s’attacher; cela la regarde, honnêtement. C’est simplement que j’ai du mal à me donner, me dénudé, m’ouvrir totalement pour une personne que je connais à peine quinze minutes.

«  Je me doute pas que tu mènes la barque, à te voir agir. » disais-je en me dressant les mains pour éviter de l’offusquer. Je tenais quand même un de mes t-shirts entre les doigts continuant de faire ma besogne d’homme célibataire. Ça me donnait une idée de l’utiliser comme un fouet afin d’ajouter une petite blague à la fin de ma phrase.

«  Je plains le mec qui tentera de prendre le contrôle sur toi. C’est juste qu’en agissant de la sorte, il n’y a pas de surprise ou d’échange. Après un moment, c’est redondant, non ?»

J’étais curieux. Je voulais comprendre les beaux cotés de cette façon de voir les choses. Du premier coup, je n’en voyais aucune, mais j’étais prêt à discuter sur le sujet, si elle le voulait bien.

Cependant, je m’entendais pas à ces mots. À ce que je venais d’entendre. Si elle espérait que ça passe inaperçu, elle n’a pas le bon gars devant elle.

J’arrêtais la danse aussitôt la regardant avec inquiétude. Un peu de colère aussi. La tendance pour moi de croire qu’il y a un connard qui s’en prend aux femmes que je rencontre, que je m’attache. Et triste à dire, mais notre belle Louisa appartient au monde où les hommes ne sont pas des lumières au niveau respect.

«  Et je peux savoir qui est le con qui ose te faire du mal ? »

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