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Bienvenue sur wicked little town, forum city simple et sans prétentions qui se déroule dans la petite mais mouvementée ville de Klamath Falls (Oregon, USA). Lieu de détente où vous verrez s'affronter les différentes classes sociales, venez interpréter des personnages issus de tous horizons. Pour citer une célèbre marque : venez comme vous êtes ! Mais attention, Scandale n’est jamais bien loin pour dévoiler les secrets que vous cachez.
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 under the stars

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(#) Lun 22 Nov - 1:56


w/@Aizhan Niyakova



TW : Alcool - Tabac - Sensualité
Lieu : Changement de la villa de Foothills Village pour Eberlain Avenue (chez Cian)


Aizhan est une belle jeune femme, il n'y a aucun doute là-dessus. Elle a des courbes qui lui sont avantageuses, mais ce n'est guère ce qui t'intéresse en premier. Si la soirée était tout d'abord calme et ennuyeuse, elle s'était vite transformée en quelque chose d'autre. Un truc puissant. Le désir. Un coup de frustration, aussi, puisque la jeune femme faisait monter atrocement la température dans ton corps. Elle réveillait un côté plus enfoui chez toi, mais tu prends ton temps pour lui faire découvrir les sensations de son corps. Tes mains se baladent gentiment sur son corps, plus précisément dans son dos pour la couvrir de douces caresses, alors que vos lèvres sont toujours en contact les unes contre les autres. Et ça t'fait envie, mais tu profites du moment qu'elle t'offre. Si la belle désire te quitter suite à cette escapade, tu lui en voudras pas. Tu rentreras chez toi et tu feras ce que tu as à faire seul. C'est tout. T'es pas un connard qui pense qu'à ça. Tu ne l'insultera pas si elle ne veut pas plus, c'est tout. Tu sens son corps qui vibre très fort contre le tien. Ce sont des réactions normales qui t'font dire que le plaisir chez la jeune femme monte. Tu l'sais, quand quelqu'un n'est pas attiré, que le désir n'est pas présent et ce que tu ressens chez Niya... C'est tout sauf ça. Elle pourrait presque briller d'une lumière de désir sous tes yeux, tellement elle vibre. T'es sensible aux réactions d'autrui, donc ça te saute aux yeux. Tes lèvres taquinent sa peau, son oreille, martyrisent gentiment le lobe. T'entends de petits bruits du fond d'sa gorge, sans que ce soit clairement des gémissements, mais tu les entend. Ça t'fait doucement sourire, vu que l'effet recherché est atteint. Lorsque tu penses qu'elle en a assez eu, surtout en collant ton bassin contre le sien pour qu'elle ressente ce qu'elle cause en toi, tu t'assieds en tailleurs sur l'herbe, non sans un dernier baiser au-dessus de sa poitrine.

T'observes la jolie demoiselle qui se redresse pour te faire face. Sa main cueille la tienne et elle la pose vers le bas de son ventre, juste en-dessous de son nombril. Tes doigts s'y serrent légèrement, par réflexe, mais c'est un geste doux. Elle t'explique avoir chaud. Très chaud, même. Et toi, tu lui envoie un sourire réconfortant. "- C'est ce qu'on appel le désir, Niya. Ton corps réagi au contact.. Et si ton esprit est lui aussi ouvert, alors..." Tu fais un léger signe de la main, de haut en bas pour la distinguer. "- C'est ce qui se produit. Ton corps réclame quelque chose de plus.. Mais je ne serais pas celui qui s'impose.." En gros, le consentement, il doit venir d'elle. Elle doit être claire sur ce qu'elle veut. Donner sa virginité n'est guère quelque chose à prendre à la légère et Aizhan doit être en paix avec sa décision. Puis, elle se rapproche. Vu ta position, la belle doit légèrement se soulever pour venir coller son bassin au tien et tu redresses les yeux pour observer son visage. Sa main sur ton torse est presque brûlante. Ça t'fait frissonner. Y'a encore cette bosse dans ton pantalon qui témoigne de l'envie qu'elle provoque en toi. Du désir qui consumme tes veines. Puis, tu baisses les yeux pour la regarder déboutonner ta chemise. Lentement. Et tu peux pas t'en empêcher, cette fois, vu l'angle de ton regard, de plonger un peu dans l'angle de sa poitrine, mais ça ne dure pas longtemps. Tu lèves vite les yeux pour rencontrer les siens. Si beaux. Si verts. Si pâles...

"- C'est de jolis mots que tu dis..." Que tu murmures, alors que les doigts d'la belle s'enfoncent un peu dans ta chemise pour parcourir ta peau. Ça t'fait plisser les yeux, un léger grognement qui traverse tes lèvres. Aizhan va loin. Beaucoup loin, même. L'embrasser ? Le supplice ou l'ordre dans sa voix t'fait fondre et ça casse tes dernières barrières. Ses lèvres dans ton cou te fait renverser la tête et tu fermes les paupières, laissant un soupire t'échapper, alors que ta prise contre elle se fait plus ferme. Aux dernières paroles de la brune, tu saisis que tu as son consentement pour aller un peu plus loin. Ainsi, tes mains, sur ses hanches, dévient pour se retrouver dans le creux de son dos, puis lentement, elles descendent pour venir épouser les formes de son fessier. Gentiment, tu y presses les doigts, mais tu n'y reste pas. Elles continuent de descendre pour venir caresser ses cuisses. Lentement. Puis, elles remontent jusqu'à son visage pour l'envelopper et tu viens l'embrasser à pleine bouche. Un baiser plus torride que les précédents, où tes doigts s'enfoncent dans sa longue chevelure foncée. Tu presses son corps contre le tien. Tu la sens de plus en plus ouverte, mais... Tu t'rends aussi compte de l'endroit où vous êtes. Tu arrêtes le baiser à bout de souffle. "- Tu accepterais de m'accompagner chez moi...? Ce sera mieux qu'ici et... Il n'y a aucune pression. Si tu ne veux que rien ne se passe, il ne se passera rien. Mais je refuse que s'il doit arriver un truc... Ce soit dans un espace public." Pas pour sa première fois, si elle décidait de t'accorder cette confiance ultime. Lorsque Niya accepte de te suivre, tu souris et tu te redresse, l'aidant en lui tendant la main. Tu ne te gêne pas pour envelopper sa hanche de ton bras, alors que vous traversez la villa. Du coin d'l'oeil tu avises bien ton amie qui semble encore pleinement en possession de ses moyens. Elle n'aura qu'à te téléphoner s'il y a quoi que ce soit.

Tu sors de la villa en compagnie de la jeune femme et tu l'accompagne jusqu'à ta voiture où tu lui ouvre la portière pour la refermer derrière elle avant d'aller t'installer derrière le volant. Vous boulez vos ceintures et tu démarres. Ce n'est pas une voiture de luxe, mais elle est assez récente. Tu allumes les lumières et tu commences à conduire. Il faut près d'une vingtaine de minutes pour arriver à votre destination. C'est une maison plutôt banale, sans artifices. Tu sors d'la voiture et gentleman que tu es jusqu'à la fin, tu viens lui ouvrir la portière de nouveau pour la laisser descendre. Tu l'accompagne jusqu'à l'entrée avant d'ouvrir la porte avec la clé. Tu la laisse passer en premier et tu verrouilles derrière. Simple précaution. Elle est facilement déverrouillable. Tu retires tes chaussures et tu t'avance dans la maison. Elle est de grandeur moyenne. Grande, si on y vit seul comme toi, même si le sous-sol est dédié à ta mère qui n'y est pas pour cause de maladie. Elle est aux soins pour une pneumonie. C'est la saison, après tout... Tu souris doucement "- Tu veux quelque chose à boire ? J'ai de la bière et même de la vodka.. Ou si tu veux rien.." Tu t'approches de la demoiselle pour la faire gentiment reculer jusqu'au mur. Tu poses l'index sous son menton pour le redresser et tu frôles tes lèvres des siennes. "- J'aimerais, moi aussi, te toucher encore... T'embrasser encore..." Et pour le dernier point, tu t'exécute en venant capturer ses lèvres dans un langoureux baiser. Doucement, tu attrapes ses poignets pour qu'elle les mette autour de ton cou. Ensuite, tu glisses tes bras sous ses cuisses en t'accroupissant légèrement pour la soulever du sol. Tu sais parfaitement les choses dans ta maison. Tu pourrais t'y déplacer les yeux fermés. Tu grimpes les marches jusqu'à ta chambre et lorsque tu arrives au pied du lit, tu te penche pour gentiment la faire tomber dessus. Tu y grimpe à genoux, légèrement les mains de chaque côté de ses hanches, semi penché. "- Tu peux arrêter à tout moment. Tu peux partir à tout moment. Je ne t'en voudrais pas. Tu saisis...?" Si Aizhan désirait arrêter le tout, c'est dans son droit le plus sacré. La jeune femme est maîtresse de ses choix.

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(#) Lun 22 Nov - 10:43

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@Ciarán Wright



Cela peut faire peur, de ne pas comprendre ce qu’il se passe en nous. De ressentir des choses, des sensations pour la première fois. D’être incapable de poser des mots dessus. Aizhan, elle tente une description sans doute maladroite, mais c’est ce qu’elle a trouvé de mieux. Des papillons, des centaines de petits papillons qui gargouillent dans son bas-ventre. Et qui donnent de petites décharges électriques au reste de son corps. Ce n’est pas déplaisant, juste étrange. L’homme lui donne la clé de ce mystère ; le désir. Elle, pour la première fois de sa vie, à l’aube de ses vingt-ans ans, ressent du désir. Alors c’est donc ça, qui lui a toujours manqué. Ce sentiment de fièvre qui vous anime. Jusqu’alors, il n’y avait que l’excitation qu’elle percevait. Le soir tard dans sa chambre, seule avec ses jouets. Son corps, elle l’a déjà un peu expérimenté. Avec ses doigts, et ces objets destinés à lui faire du bien. Mais ça n’a rien à voir avec l’instant présent. Elle se sent comme animée, Aizhan. D’une entité qui se veut sensuelle, un brin provocante. Sans lui demander son avis, elle ouvre quelques boutons de la chemise de Ciarán, pour laisser de la place à ses mains de venir d’y glisser. Lui aussi à chaud. Sa peau est comme la sienne, brûlante. Elle attarde ses lèvres dans le cou du brun, qui lui s’attarde un court sur ses fesses, non sans lui décrocher un faible gémissement. Les grandes mains de l’homme, elles prennent finalement possession du visage de la nymphe, pour un énième baiser enivré. Instant coupé pour que la réalité les reprenne. Aizhan l’écoute, tout en essayant de contrôler sa respiration devenue rapide. Aller chez lui ? A vrai dire, elle n’a pas besoin de peser le pour et le contre. Avec une tout autre personne, elle aurait refusé. Pour se protéger. Mais Ciarán, elle se sait hors de danger avec lui. Il n’est pas comme les autres. Alors elle hoche la tête, presque timidement. Corps qui se séparent, la belle retrouvent sa sacoche et ses talons, qui ne tardent pas à claquer sur le sol de la villa qu’ils quittent. Et elle entre dans cette voiture, signe qu’aucune marche arrière ne sera possible. Elle s’installe correctement, bouclant sa ceinture. Les voitures, franchement, elle n’y connait rien. Elle n’a même pas le permis. Ainsi elle n’est pas regardante, n’émet aucun jugement sur la possession de son aîné. De toute façon, Aizhan est bien occupée à envoyer des SMS à ses colocataires. Pour les prévenir que tout va bien, et qu’elle ne rentrera pas ce soir.


– Eberlain avenue –


Le quartier, elle le reconnait sans mal. Elle aussi, habite par-là. Comme quoi. Serait-ce un signe du destin ? Ils s’arrêtent devant une maison qu’elle trouve plutôt jolie. Toujours avec la même docilité, elle suit Ciarán après qu’il lui a ouvert la porte. Confiance aveugle en ce quasi inconnu. Une fois dans l’entrée, la russe l’imite, et quitte ses talons. De nouveau, leur taille coïncident. Elle pose sa sacoche sur un meuble se trouvant là, ses yeux se baladant sur la pièce avant de se reposer sur le maître des lieux. Si elle désire boire ? Aizhan n’a pas besoin de parler, cela se lit aisément sur son visage que non. Elle n’est pas là pour ça. Bien vite, elle se retrouve plaquée à un mur, et sa respiration de coupe de nouveau. Ses joues s’enflamment. Le silence, ce n’est pas quelque chose qui lui ressemble. Mais comment faire autrement, surtout quand l’infirmier revient capturer ses lèvres ? Elle prolonge, bien évidemment. Avec passion, leurs langues se retrouvant. Obéissante, elle passe ses bras autour du cou de Ciarán, qui d’une facilité déconcertante, vient la faire quitter le sol. Jambes qui s’enroulent autour de sa taille, elle s’accroche à lui, se laissant volontiers amener à l’étage. Son dos finit par rejoindre un matelas, et la belle est émerveillée de cet aspect soudainement plus dominateur de son aîné. Il parle, pour la rassurer à nouveau. Aizhan sait, qu’il est sincère. Alors elle hoche la tête, et lui rend son sourire. « C’est promis. » qu’elle souffle. Ses bras, elle les tend pour atteindre cette chemise et finir de la déboutonner. Elle la lui retire, et la dépose délicatement au sol. Ouais. Il est beau. Vraiment, vraiment beau. Le bout de ses doigts remonte lentement sur ce torse aux muscles finement dessinés, avant d’arriver à ses épaules et d’y faire pression, pour forcer Ciarán à s’asseoir à ses côtés. Ainsi, elle se redresse, se mets à genoux, et replace ses cheveux ébènes dans son dos. Sous le regard certainement perplexe de l’homme, la nymphe retire sa ceinture et ouvre son pantalon. Elle ne le retire pas, elle y glisse simplement sa main pour dégrafer son body. Qu’elle ôte, d’une lenteur presque insolente, tandis qu’elle se mouve avec sensualité. Car il ne faut pas l’oublier : Aizhan est une danseuse, de pole dance qui plus est. Alors, se montrer aguichante, elle sait très bien le faire. Tissu en dentelle qui rejoint la chemise, elle rougit, de se retrouver ainsi seins libres sous ses yeux. Elle se mordille la langue, avant de revenir le chevaucher. Face-à-face, elle ne perd pas son sourire, et vient se saisir des mains de Ciarán. Elle les embrasse ; sur le dos, dans la paume. Avant de finalement les poser sur sa poitrine généreuse. Ses yeux verts, ils captent ceux bien bleus du plus âgé. Elle sourit, encore. Et vient sceller leurs bouches, fermant les yeux. Ses doigts quittent les mains du brun, faute d’être désormais occupées, pour revenir se perdre, encore et toujours, dans sa chevelure. Aizhan s’y accroche. Son bassin, il bouge, un peu. Juste assez pour chercher le contact avec celui de l’écossais. Premier couinement, étouffé entres leurs lèvres.





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(#) Lun 22 Nov - 21:55


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Tu peux te montrer très doux, docile, mais il peut t'arriver d'être plus affirmatif, plus brusque et dominateur, si l'endroit, la personne et la situation s'y présente. Il suffit de voir comment tu as plaqué la demoiselle au mur, mais tout en gentillesse, afin de ne pas lui faire mal ou l'effrayer. Tes impulsions se montrent, mais elles sont encore refoulées pour la plupart. Tu veux qu'elle ressente tout ce qu'elle peut au travers de son corps. Que si elle t'accorde sa première fois, que celle-ci lui soit mémorable, qu'elle ne soit pas traumatisée par l'expérience. Qu'elle sache ce que c'est, lorsqu'un homme respecte son corps et qui elle est. Qu'elle n'est pas un objet. Ainsi, tu la soulève du sol, tes lèvres quittant rarement ceux de la belle, jusqu'à ce que tu la laisse doucement tombée sur le matelas. La demoiselle se redresse pour porter les mains sur toi et tu la laisse faire. Promesse soufflée entre ses dents, tu la prends aux mots. Elle sait se respecter, elle saura donc arrêter si les choses ne lui plaisent pas ou si elle n'est pas certaine.

Un bouton saute... Puis l'autre... Tu baisses les yeux pour la regarder faire, jusqu'à ce que le dernier soit défait et qu'elle fait glisser le fin tissu pâle sur tes épaules. T'es pas le plus musclé, mais t'es assez en forme. À son regard, t'en déduis que ce qu'elle voit lui plaît. Toutefois, la luminosité de la pièce est faible, ce qui t'permet qu'elle ne remarque pas trop les ecchymoses qui sont en train de guérir sur ta peau. Les plus pâles sont presque invisibles, si elles ne sont pas éclairées. Tu sens les frissons dans ton corps en entier lorsqu'elle remonte ses doigts sur sa peau jusqu'à tes épaules et tu t'exécute à t'asseoir à ses côtés lorsqu'elle y presse une certaine force. Il n'y a pas souvent besoin de mots pour faire comprendre à quelqu'un ce que l'on veut. Puis, tu l'observes se mettre à genoux et... Défaire sa ceinture ? Tu penches un peu la tête sur le côté, l'observant avec une certaine interrogation, la main qui s'plonge d'elle-même dans son pantalon pour défaire le haut. Ah... Là tu comprends ! Et là, ça te captive entièrement. Tes yeux céruléens l'observe bouger des hanches avec sensualité, comme un serpent qui sort de son panier de paille. T'es hypnotisé par ses gestes, sa lenteur qui devrait te faire languir, mais cela fait plutôt un effet hypnotique, qui te plonge dans le moment présent au maximum. Jusqu'à ce que sa poitrine se découvre sans le tissu et que, cette fois, tes yeux ne peuvent guère s'empêcher de s'y poser.



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(#) Lun 22 Nov - 23:22

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(#) Mar 23 Nov - 1:09


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(#) Mar 23 Nov - 13:51

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(#) Mer 24 Nov - 23:00


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"- Ça te fait très bien, tu sais...?" Ta main se creuse dans son dos et tu viens gentiment déposer un baiser dans le creux de son cou avant de venir attraper une paire de sous-vêtement à son tour que t'enfiles en laissant la serviette tomber sur le sol. Puis, sans prévenir, tu glisses un bras sous les genoux de la brunette pour la soulever du sol, riant doucement et tu t'approches du lit pour y poser un genou et tu l'y dépose avec délicatesse. "- Je ne sais pas quel est ton plan, Aizhan... Mais sache que tu peux rester avec moi cette nuit. Il est tard.. Et je m'en voudrais qu'il t'arrive quelque chose sur le chemin du retour." Tu l'sais pas, qu'elle habite proche, mais si elle voulait rester, elle a complètement le feu vert. Toi, tu ouvres les couvertures sur le côté. "- Si tu restes, je te ferais un bon déjeuner écossais demain matin." Sourire doux aux lèvres et pourtant tu dis la vérité.


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(#) Jeu 25 Nov - 2:02

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(#) Jeu 25 Nov - 8:14


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Tu récupère les pantalons de la veille pour sortir ton portable et tu te retourne vers elle "- Et si on allait faire le petit déjeuner, hmmm? Ou plutôt, je.." Tu la laisse se redresser, l'accompagnant au travers de la maison jusqu'à la cuisine. T'ouvres le frigo où tu sors plusieurs ingrédients. "- J'espère que t'as faim ! Tu veux peut-être du jus, pour patienter..?" Puis, tu commences à faire cuir les choses. Pendant que la viande cuit, tes yeux surveillent l'écran lumineux pour voir si tu avais des messages, mais sans trop peu de nouvelles, tu le dépose sur le comptoir et tu continues, jetant des coups d'oeil de temps à autres à la demoiselle. Tu lui fais un grand déjeuner typiquement écossais. Bacon, beans, oeufs, tartines, champignons, une moitié de tomate recouverte de fromage, Une galette typique est faite à partir d'un mélange de purée de pomme de terre (pomme de terre cuite écrasée à la fourchette avec du beurre et du sel sans ajout de lait) et de la farine que tu gardais toujours dans ton frigo et dès que t'en avais plus, t'en faisais une autre grande portion. La saucisse de Lorne aussi en faisait partie. Il faut un petit moment pour que le p'tit déjeuner soit prêt, mais une fois que ce l'est, tu mets le tout dans deux assiettes et tu les dépose sur la table, revenant pour prendre les couverts. T'attrapes un verre, puisque t'en a pas et tu y fait couler du jus d'orange, l'un de tes préférés de si bon matin. T'attends de savoir comment elle le trouve..


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(#) Jeu 25 Nov - 14:57

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« … Ca va, très, très bien. » qu’elle lui répond, simplement, le suivant du regard tout en reprenant lentement le contrôle d’elle-même. Soupire d’aise, Aizhan retrouve le pauvre boxer délaissé pour l’enfiler, et suivre l’homme à la cuisine suite à l’approbation concernant le petit-déjeuner. N’allons pas mentir, son estomac commence à lui réclamer d’être nourrit. Quand ils arrivent dans la pièce, le premier réflexe de la jeune femme est d’aller se rincer la bouche. Pour chasser le goût du liquide opaque, et ainsi profiter des saveurs du repas à venir. « Je veux bien oui ! Ah ! Mon téléphone ! » qu’elle sursaute. Elle a promis à ses colocs de les tenir au courant ! Baiser déposé sur la joue de Ciarán, et elle se rend à l’entrée de la maison heureusement non loin, où trône sa sacoche sur l’un des meubles. Hop, petit sms envoyé et elle retourne auprès du brun. Elle le regarde faire, et garde pour elle le fait qu’elle ne pourra pas tout manger. Elle ne veut pas le frustrer, ou paraître pénible. Elle lui en parlera au moment venu. Ne souhaitant pas rester dans ses pattes et le déranger, Aizhan marche, dans cette cuisine. Ses yeux allant et venant, analysant l’endroit et tentant de comprendre le quotidien de l’écossais. Il vit ici, tous les jours. Prend du temps dans cette pièce. Alors elle tente de s’imprégner, pour mieux le connaître. Et quand elle se retourne, la table est prête. L’odeur délicieuse vient chatouiller ses narines. « Wow, tout ça juste pour nous deux ? C’est fou, merci beaucoup ! ». Ô qu’il est grand, et solaire, le sourire qui vient illuminer le visage de la belle. Elle trottine jusqu’à Ciarán, lui prend délicatement le visage entre ses mains et vient l’embrasser. Avec une grande tendresse. « Merci. Encore une fois. ». Verre de jus à la main, elle pose son fessier à une chaise et prend une première gorgée tout en analysant l’assiette. Le plus âgé prend également place à table, et Aizhan se mordille les lèvres. Comment lui dire ? « Je… Je suis vraiment touchée, que tu aies cuisiné pour moi. Vraiment vraiment ! Mais… Je ne voulais pas te le dire pendant que tu étais en pleine préparation, pour ne pas paraitre chiante ou ingrate. Je… Je suis végétarienne, Cian. Alors, le bacon et cette saucisse, je ne peux pas. Mais tout le reste est ok hein ! Je ne suis pas vegan, donc, les œufs et le fromage, je mange ! ». Elle lui adresse des petits yeux adorables de Chat Potté, réellement peinée de se montrer aussi tatillonne alors qu’il prend du temps pour elle. Pour se rattraper, et aussi parce qu’elle a maintenant sérieusement faim, elle se saisit des couverts et commence à manger ce qui lui est permis. Avec appétit, et délice, car… wow, il est doué même en cuisine le bougre ! Fronçant quelque peu les sourcils, la nymphe pointe sa fourchette vers Ciarán, faussant de se montrer sérieuse et menaçante. « Bon, avoues tout maintenant. T’as été relâché de la zone 51, c’est ça ? Je te promets de garder le secret. Mais essaie d’être moins parfait, ça va griller ta couverture ! ».





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(#) Mar 28 Déc - 2:23


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Lieu :  Eberlain Avenue (chez Cian)




Soirée mouvementée, mais douce nuit qui t'a apportée un réconfort notable. Tu n'avais pas aussi bien dormi depuis très longtemps, sans l'aide de l'alcool ou de la médication. Et quel réveil ! Il faut dire que c'est le genre de réveil qu'on ne peut pas oublier de sitot. Et tu lui a rendu la même chose. Lorsque vous avez été satisfaits tous les deux et bienheureux de ce rapprochement, vous vous êtes habillés et tu l'as fait te suivre dans la cuisine où tu as commencé à préparer le petit déjeuner. T'es un habitué de la nourriture, d'être derrière les fourneaux, même si tu as perdu de cette habitude au fil du temps, parce que tu n'as plus beaucoup de temps ou ton esprit est trop préoccupé pour vraiment t'en soucier. Tu prends des repas déjà fait ou tu commandes, on vient te livrer chez toi. Il te suffit de payer le livreur, sans contact et ensuite, tu peux déguster un repas déjà tout fait. L'exclamation d'Aizhan te ramène à la réalité et tu clignes des paupières lorsqu'elle dépose un baiser sur ta joue et tu affiches un petit sourire en la regardant faire. Tu ne juge pas. Tu dois toi-même regarder ton portable pour t'assurer qu'on ne t'ai pas appelé pour une urgence quelconque. Tu prépares les deux assiettes, ayant oublié maladroitement de demander à la jeune femme si elle était allergique à quelque chose, ou si elle détestait un aliment.. Alors que tu avais déposé les assiettes sur la table, tu l'entends s'exclamer avant de recevoir un baiser, mains enveloppées autour de ton visage et tu affiches un charmant sourire à sa rencontre. "- C'est un déjeuner écossais traditionnel. Il y en a toujours trop." Ceci avait été prononcé avec une certaine dose d'humour. Tu t'asseois à ta place et alors que tu prends les couverts dans tes mains, tu l'entends te parler de la nourriture. Tu hausses les sourcils, puis tu redéposes la fourchette et le couteau en affichant une petite moue contrie. "- C'est plutôt de ma faute. J'ai oublié de te demander si tu étais allergique à quoi que ce soit, ou si tu ne pouvais pas manger quelque chose en particulier. Je suis désolé. Attend." Avant que la jeune femme ne commence à manger, tu tends la main pour prendre son assiette et avec ta fourchette, tu piques les saucisses, le bacon et le lard afin de lui en débarrasser et tu redéposes l'assiette devant elle pour la laisser commencer à manger.

Alors que tu manges, tu as un léger mouvement de recul lorsque la demoiselle pointe sa fourchette vers toi et tu finis par hausser un sourcil, un sourire amusé s'étirant sur tes lèvres. "- Je peux être moins parfait, si tu le souhaite. Il suffit de creuser un peu." Petit clin d'oeil, même si c'est la vérité. Tu caches beaucoup de secrets et des lourds. Tu as toujours préféré être doux et gentil avec les autres, mais jamais cela ne t'a empêché de garder l'amerture au fond de ton coeur. Lorsque tu es seul ou en présence d'une personne qui ne connaît pas ton passé ou une partie de ta vie, il y a un mécanisme de défense qui s'active et qui fait en sorte que tu t'enferme dans ton propre esprit, te "dissociant" un peu de Cian, l'homme angoissé et prisonnier de son père en un homme gentil et romantique, ou juste en l'infirmier qui aide les autres. Tu gères tes facettes, dépendant avec qui tu te trouve, même si tu n'es pas infaillible et que des points de rupture peuvent apparaître. Quand tu pleures, c'est surtout en privé, mais tu as déjà été surpris par une collègue et tu lui avais menti en lui disant que tu avais eu une rupture amoureuse récente, alors que c'était faux. Tu ne voulais pas lui dire la vérité ou qu'elle s'attarde trop sur toi. Ton appétit ce matin est très grand et tu manges presque la totalité de ton assiette. Il n'en reste que très peu lorsque tu termines en buvant le reste de ton café. Tu te redresse et tu prends l'assiette de Niya afin de la débarasser. Tu mets le tout dans le lavabo, versant un peu d'eau chaude pour rincer. Tu t'y mettra un peu plus tard, mais pas maintenant. Puis, tu te retourne et te pose le haut des fesses contre le comptoir. "- Qu'est-ce que tu préfères faire, maintenant ?" Petit question qui semble si anodine, mais qui est importante. "- Je te donne tout de même le choix de rester encore un peu ou si tu préfères partir je ne te retiendrais pas. C'est ton choix. Et ne pense pas deux secondes que tu me dérange, ce n'est nullement le cas. J'ai encore tout mon avant-midi de disponible. Le temps ne semble pas mauvais, dehors. Si tu veux rester, on peut autant aller se promener un peu, ou rester à l'intérieur. La télé, le câble..." Ou rien du tout si elle décide de partir. C'est son choix.



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(#) Jeu 6 Jan - 17:51

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@Ciarán Wright


Elle a le corps un peu endolori, mais rien de bien grave. Elle a connu tellement pire lors de ses premiers mois de pole dance, qu’il lui faut plus que des coups de bassin et des diverses positions pour la faire crier de douleur. Mais soyons honnête, Aizhan préfère que cela soit ainsi. Car elle en a eu, des copines, qui ont vécu de bien mauvaises premières fois, ou même pour qui le sexe au quotidien les fait souffrir. Le corps est un mécanisme bien étrange, qui varie d’un extrême à l’autre selon les personnes. Et là, pour le moment, ce que le sien lui réclame, c’est de la nourriture. En même temps, la belle n’a rien mangé depuis son dîner de la veille. Ce qui commence à dater tout de même ! C’est donc d’un pas joyeux qu’elle suit Ciarán jusqu’à la cuisine. Un petit déjeuner traditionnel d’Ecosse, comment pourrait-elle dire non ? Elle ne connaît rien de ce pays. Alors sa curiosité et sa soif de connaissance sont comblées. Laissant le plus âgé s’activer derrière les fourneaux, elle s’en va retrouver son portable pour signaler à ses colocataires que tout va bien. Elle est en vie, et son hôte n’est nullement un pervers tortionnaire. Une fois le tout préparé, Aizhan s’installe sagement à table et s’émerveille devant les assiettes généreusement remplies. Si son estomac lui hurle de se presser d’entamer ce repas presque gargantuesque, elle se doit tout de même de signaler à Ciarán son régime alimentaire particulier. Il s’en trouve nullement blessé ou agacé, lui prenant sans mal la viande de son assiette. Il est attentionné, et ça lui plait à la russe. C’est bien agréable, d’être ainsi chouchoutée. Les voilà qui commencent à manger, et la demoiselle vient de nouveau te taquiner, clamant qu’il est une espèce d’alien tout droit échappé de la célèbre zone 51. Ciarán lui assure pouvoir être moins parfait, ce dont elle croit. Puisque personne sur cette Terre ne l’est. Ce n’est que de la taquinerie. « Non non, ça me va très bien ainsi ! Sois juste toi-même, c’est ça, qui m’a charmé. ». Tendre sourire qui étire ses lèvres et ils continuent en silence la fin du petit-déjeuner, Aizhan se régalant. Plats terminés, l’homme s’en saisit pour les mettre au lavabo. Elle se serait bien proposée pour la lessive, n’étant pas vraiment dérangée par ce genre d’activité, mais son aîné presque la questionner sur la suite de la matinée. « Mh, je t’avouerai que je n’ai pas vraiment réfléchi à que faire après. Mais, si tu me proposes de rester, alors je ne dis pas non. Surtout si tu m’assures que cela ne te gêne pas ! ». Elle est contente, la russe, de pouvoir rester encore ici. Elle se sent bien chez lui, Ciarán dégage une aura particulièrement bonne. « Pour ce qu’on peut faire… Tout dépend réellement du temps qu’il te reste ? Un film pourrait être sympa, ou un jeu de société si tu as. Ou simplement on se pose dans le canapé pour discuter. C’est toi qui choisis, moi je suis ok pour tout ! ». Visage joyeux, Aizhan s’étire de nouveau avant d’enfin quitter la chaise. « Il faudra aussi que je pense à reprendre une douche et m’habiller avant de partir ! Non pas que je sois une clean freak, mais bon, je ne peux ni sortir comme ça, ni te voler tes vêtements ! ». Encore un rire qui s’élève alors qu’elle s’approche de Ciarán. Elle ne s’arrête qu’à quelques pas, et de ses yeux de jade, elle prend le temps d’enfin détailler plus sérieusement les traits de l’homme qui se tient face à elle.




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(#) Mar 25 Jan - 6:52


w/@Aizhan Niyakova



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Lieu :  Eberlain Avenue (chez Cian)


Les courbatures de la demoiselle sont normales et elles partiront rapidement. Il suffit de laisser une ou deux journées et ça devrait aller. La première fois peut être un peu stressante et elle a utilisée des muscles dont elle n'a pas l'habitude d'utiliser. L'assiette traditionnelle posée devant elle, tu remarques son trouble, jusqu'à savoir qu'elle est végétarienne. Gentiment, tu prends son assiette en souriant, lui disant que ce n'était rien. Tu attrapes les morceaux de viande pour les mettre dans la tienne et tu lui redonne la sienne. Toi-même... Ce mot fait écho dans ta tête, mais rien ne transparaît sur ton visage. Si seulement elle savait... Tu es de nature doux et bienveillant, mais un côté sombre se cache comme un monstre accroché à tes épaules. Ce monstre, il vient, parfois. Tu préfères ne rien dire, te contentant du petit sourire aux tes lèvres, alors que tu termines de manger le petit déjeuner et dès que vous avez terminés, tu débarrasses la table pour poser les assiettes de le lavabo, comptant t'en occuper un autre moment. Ce n'est pas un soucis. Demandant à Aizhan ce qu'elle souhaitait faire pour le restant de la journée, tes yeux bleus l'observe doucement. Elle a une énergie à la foie frivole et bienveillante. Tu n'es donc nullement opportuné qu'elle reste plus longtemps. Cela ne semble pas lui déranger, de rester. Donc elle restera. "- Hum.. Je ne travaille que ce soir, donc j'ai toute la journée, si tu le souhaite ? Je dois commencer mon quart de travaille vers 19h. Ça te convient ?" Répondis-tu à sa question. Vingt-quatre heures debout ne te gêne absolument pas, t'as déjà fait pire que ça au sein des urgences et dans des situations qui nécessite une constante vigileance. Tu ris doucement à son commentaire. "- Attend-moi ici, je vais aller mettre tes vêtements de la veille dans la laveuse, comme ça tu pourras avoir quelque chose à toi à te remettre sur le dos lorsque tu partiras. Ça ne sera pas long." Elle peut s'installer sur le canapé en attendant, si elle en avait envie. Tu montes rapidement jusqu'à la chambre et tu attrapes les vêtements sales. Sortant, tu entres dans une autre pièce et tu mets le tout dans la laveuse. Le moins possible de savon, pour éviter les irritants et tu termines avec un peu d'assouplisseur. Tu mets à l'eau froide et tu démarres. Tu reviens rapidement au rez-de-chaussée et tu t'approches de la jolie demoiselle. "- Et si on se met un film, qu'on reste l'un contre l'autre et qu'on discute ? Un trois en un, ça semble être un bon plan ?" Que tu énonces en souriant, alors que tu t'approches d'elle, te penchant pour déposer un baiser papillon sur ses lèvres, simple et douce attention, avant de venir t'accroupir pour essayer d'choisir un film. "- Une comédie, c'est bien ?" Oui, c'est bien. Alors tu choisis un truc que normalement tout le monde aime bien et tu prends le disque pour le mettre dans le compartiment. T'es pas trop jeux vidéos et tout ça, donc t'as pas de PS4 ou de Xbox pour mettre des trucs comme netflix. Tu ouvres la télé avec la télécommande, avant de prendre celle du DVD. Tu viens te laisser choir sur le canapé, ouvrant un bras afin que la belle te rejoigne. C'est un petit moment calme, dans une bulle. Une bulle qui allait se percer dès le moment où elle va quitter. Lorsqu'elle s'installe contre toi, tu commences le film. Ton bras entoure ses épaules et ton autres mains vient doucement caresser ses cheveux sombres avant que tes doigts se déposent contre sa joue pour attirer son attention et tu en viens à capturer ses lèvres pour un doux et tendre baiser. Tes lèvres se mouvoient aux siennes, dans un petit ballet délicat, sans forcer les choses. Tu veux seulement lui donner de l'affection, de l'attention, tout comme ton coeur le désire.


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(#) Mar 1 Fév - 14:24

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@Ciarán Wright


Elle n’a pas envie de se prendre la tête, Aizhan. Sans nul doute qu’une immense majorité de demoiselles, à sa place, auraient posé milles et unes questions à l’homme. Ce qu’il s’est passé entre eux, sur ce qu’ils pourraient être maintenant. Après tout, offrir sa virginité à un presque inconnu, manger à sa table comme si de rien n’était, cela n’a rien d’anodin. Mais elle a toujours été spéciale, la russe. En marge de ce que la société nous demande, nous impose. Elle est un monde à part, perdue dans cet univers singulier qu’elle s’est créée. Deux comme elles, ça n’existe pas, c’est certain. Alors elle déguste ce petit-déjeuner typique que Ciarán lui a gentiment préparé. Sagement, sans un mot. Son appétit est comblé par ce repas gargantuesque, mais qu’elle termine entièrement. Sans nul toute car elle n’a rien avalé depuis tôt la veille. Elle n’est pas pénible Aizhan, elle se laisser aller, tel un pétale qui virevolte dans la brise. Alors quand l’hôte des lieux lui demande ce qu’elle compte faire à présent, elle n'a pas de réponse fixe. S’il souhaite qu’elle parte, elle partira. S’il souhaite qu’elle reste, elle restera. Mais puisqu’il lui assure que sa présence ne le dérange pas, alors la nymphe choisi la seconde option. Elle est bien ici, dans cette maison inconnue dont elle ne connait que trois pièces, en réalité. « C’est très bien, je serai partie avant, j’ai du travail à préparer pour mes petiots lundi ! ». Oh elle ne perd pas le nord, son métier toujours dans un coin de sa tête. Ciarán lui propose de s’installer le temps qu’il fasse une lessive rapide pour qu’elle reparte avec ses propres vêtements, propres. La cadette hoche la tête, et s’en va donc jusqu’au canapé en trottinant légèrement. Elle s’y installe docilement, ses yeux de jade parcourant un peu la pièce. Curiosité saine, pour tenter de capter des éléments qui lui feront mieux comprendre le plus âgé. Celui-ci ne tarde pas à la rejoindre d’ailleurs, lui faisant une proposition des plus alléchantes. « C’est parfait ! » qu’elle lui répond avec entrain. Aizhan le laisse s’occuper de tout, le suivant sagement du regard avant de venir se caler contre lui, au creux de ce bras qui lui est offert. Elle adore les câlins, l’institutrice. Et si elle en reçoit beaucoup de la part de ses élèves, son ours habituel est davantage Liwei, son meilleur ami. Un grand baraqué au cœur tendre. Cependant, changer lui convient aussi, et la tendresse de Ciarán est particulièrement chaleureuse. Elle accepte même son baiser, tant que le film n’est pas commencé. Lèvres qui se meuvent en harmonie avec leurs jumelles, avant qu’un sourire ne les étire. Puis sa tête retrouve l’épaule de l’infirmier et ses yeux l’écran face à eux. Les minutes défilent, mais à vrai dire, le film ne la capte pas plus que ça. Elle ne saurait dire pourquoi. Elle rit, par moment, mais décroche à d’autres. Alors elle prend le risque de parler et de couper cet instant si se devrait pourtant silencieux. « Tu ne t’ennuies pas trop, dans cette grande maison ? Tout seul ça doit être un peu triste, non ? ». Question lancée comme ça, car si elle n’a pas fait le tour des lieux, Aizhan perçoit bien que le lieu est bien grand pour un homme célibataire. Elle apprécie de vivre en colocation, logement toujours animé et vivant. Très clairement, son caractère solaire en prendrait un coup, à vivre seule dans un si grand espace. « Tu n’as jamais pensé à louer une chambre ? A un.e étudiant.e par exemple ? ». Au budget trop serré pour s’offrir un appartement universitaire ou simplement pour lui/elle seul.e/




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