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Bienvenue sur wicked little town, forum city simple et sans prétentions qui se déroule dans la petite mais mouvementée ville de Klamath Falls (Oregon, USA). Lieu de détente où vous verrez s'affronter les différentes classes sociales, venez interpréter des personnages issus de tous horizons. Pour citer une célèbre marque : venez comme vous êtes ! Mais attention, Scandale n’est jamais bien loin pour dévoiler les secrets que vous cachez.
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 in love with agony -- leo

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Mikey Chinenmembers  too many secrets
Mikey Chinen
messages : 3072
rps : 42
pseudo : decay
pronom irl : il/he/him
id card : nijiro murakami (ava : day.light ; signa : rogers + cyaspeedy)
multicomptes : alastair in weederland (t. chalamet) + pandora l'insupportable (m. alcock)
gif : in love with agony -- leo S4XDd3rt_o
âge : ça fait maintenant vingt-quatre ans que tu erres sur cette pauvre terre. le pas lourd et traînant, les soupirs bruyants et pleins d'ennui. vingt-quatre ans, pourtant t'as pas encore vu ce que ça voulait vraiment dire d'être adulte. le quart de siècle dans quelques semaines. tu cherches encore le sens de ta vie. penses le retrouver à chaque fois que tu revois le dealer.
statut civil : tu te considères jamais réellement en couple, pas pour ces relations si peu importantes qui durent quelques mois dans le meilleur des cas. céli-bâtard qui décide de noyer les sentiments dès qu'ils menacent de fleurir. qui ne fait rien d'autre que jouer avec ceux des autres. qui privilégie le charnel à l'émotionnel. même si y a celle que t'appelles la femme de ta vie, leo, même si c'est purement platonique et physique. et chimique, très chimique.
occupation : "vous v'nez voir quel film ?" t'es ce type qui voit tous les spectateurs passer avant de rejoindre les salles de projection. tu vends des tickets toute la journée, comme le bon putain de pnj chiant que tu sembles être devenu. quelques soirs, tu te mets dans le coin d'un bar pour jouer un morceau avec quelques potes, votre groupe que vous appelez ça. ça paie moins mais pourtant, tu préfères. même si tu te fais rarement du fric grâce à ça, tu prends à coeur ton job d'informateur. offrir les révélations contre des avantages. secrets observés, adresses, plans de soirée ou plus. ouais, tu vois un peu ça comme un taf.
nbre de mots : 400 minimum, plus si on m'en donne l'occasion
couleur rp : #ff9933 + gras
pronom ig : il/lui
cible de scandale ? : Oui
trigger warning : vulgarité, manipulation, drogues/addiction, "deal", alcool, sexe et hypersexualité, violence
( peut aussi apparaître mais moins joués : problèmes cardiaques, hôpital, grossesse adolescente, maltraitance infantile, harcèlement)

(#) Jeu 28 Sep - 17:57

◟in love with agony◝
(I guess it's my fate that I'm a catastrophe)


@Leo Brooks
outfit ✧

c'est si simple. tellement simple. un regard intéressé, que tu gardes tien, entretiens, jusqu'à ce que les corps se rapprochent. c'est une question de minutes avant que les corps se rapprochent. et maintenant t'es derrière cette fille, leo, un truc du genre, t'en sais trop rien. t'es derrière elle, occupé à mordre son cou, lécher les blessures que tu crées avec affection, trop d'affection, relever la tête pour l'embrasser à nouveau. ta perception du temps est niquée depuis tellement d'années, même sobre tu pourrais pas dire si c'est une question de quelques minutes ou déjà trop. tout s'est passé si vite, elle était si simple à persuader. quelques pas dans sa direction alors que les effets venaient d'apparaître. danser proche d'elle, mais pas trop. créer cette tension, cette envie, ce besoin de plus, toujours plus. tu sais pas si tu le faisais plus pour elle ou pour toi. tu t'amuses, c'est tout. tu joues avec cette petite souris et tu te retrouves avec ce stupide faux air timide sur la gueule pour l'embrasser doucement. monter en intensité, laissant à peine le temps de respirer, de reprendre son souffle. collé à elle, continuant de danser, bouches se découvrant, ça doit être ça, ce que les autres ressentent, quand ils sont heureux. t'en as aucune idée, toi. t'as besoin d'un peu de chimie, de l'argent et un dealer qui te prendra pas pour un con, pour ressentir ce genre de chose. t'as pas besoin de plus longtemps pour l'amener dehors. un jardin, une terrasse, un arbre dans un coin. tu la forceras pas à faire quoi que ce soit devant le reste des invités. tu sais pas si ça lui plairait. t'as pas envie d'avoir cette conversation. t'as envie d'autre chose, là.
tes dents lâchent finalement sa peau pour poser ton front sur son cou que t'as passé ton temps à bouffer comme un enfant affamé. souffle d'aise qui sort, comme retenu depuis des heures. et tu redescends petit à petit du nuage. enfin, à moitié. tu descends d'un nuage pour atterrir sur celui du dessous, flottant toujours un peu. au début, t'as juste plus de mal à reprendre ton souffle. tu te détaches de leo, passes une main dans tes cheveux alors que tes poumons semblent ne plus vouloir coopérer, soudainement. sérieusement ? la main à ton front se pose sur ton torse, là où ton coeur bat trop vite pour que ce soit normal.
ton premier réflexe est de rouler des yeux, alors que tu t'appuies contre l'arbre sur laquelle tu l'as poussée, leo. toujours ces halètements qui te gonflent, tu regardes ta montre, le coin qui te permet de vérifier que tout va bien. même si, honnêtement, tu vérifies jamais sans une raison. ça te choque même pas. nombre trop haut. commençant à devenir irrégulier. "merde." tu peux pas t'en empêcher, ça sort tout seul. tu te redresses, poses la tête contre l'écorce de l'arbre, observes les alentours. tu sais que t'as plus ta veste. ta tenue n'est constituée que d'un jean à demi baissé et de chaussures. le reste est jeté plus loin, trop loin. t'agrippes ton coeur à travers ta poitrine, comme si le tenir allait l'aidait à se calmer. "leo ?" t'essaies, t'es pas sûr de toi, t'es toujours hors de souffle, t'essaies de pas le montrer. t'espères surtout que c'est le bon nom. sinon t'es quasiment sûr que tu vas crever, là, ce soir, juste parce que ta mémoire t'aura fait défaut. "tu peux prendre un truc dans ma veste ? y a une... des bouteilles dans la poche. me les faut." les mots sortent difficilement. t'as pas envie de paniquer. tu sais que ça empirera seulement la situation. au départ, tu prévoyais de lui demander de prendre seulement ton traitement mais. réflexion faite. tu saurais même pas lui donner le nom. et tu sais même ce qu'est l'autre bouteille, sûrement du tylenol ou un truc du style. t'aurais juste pu lui dire de lire l'étiquette. sauf que. sur l'une, ton nom est écrit. et tu crèveras avant de laisser une simple meuf de soirée que t'as prise derrière un arbre savoir ce genre de chose. t'as mis des années à le dire à ton meilleur pote. c'est le genre d'info qu'il faut faire sortir de ta bouche grâce à de la torture. puis bon, après l'effort, le réconfort, non ? et tu sais pas vraiment si tu te sentirais plus réconforté par le fait de ne pas mourir ou celui d'être un peu plus défoncé qu'avant.
colibry ♡ bandit rouge


« j'regrette mes vieux démons, roi dans l'mensonge,
esclave dans l'vrai monde, vigilent à chaque seconde,
si j'le laisse seul, mon esprit s'égare dans la pénombre.
j'pensais m'lever un matin, être un homme,
sûr que la vie qu'j'ai choisie est la bonne.
fiable, avoir construit quelque chose de stable.
j'suis qu'un sale gosse sur un château d'sable. »



Mikey, définition par Le Petit Halstead:


Dernière édition par Mikey Chinen le Mar 24 Oct - 17:38, édité 1 fois
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Leo Brooksmembers  too many secrets
Leo Brooks
messages : 1757
rps : 18
pseudo : elio
pronom irl : il.
id card : marissa long + pvtti smith (ava) + daylight (signa)
multicomptes : hera, marcus, nyx.
gif : in love with agony -- leo F0a768bd5cbcb300942ce2c10bda8cad
âge : 01.11. compte à rebours lancé pour connaître l'ivresse des vingt-cinq ans. encore une fête où elle perdra la tête.
statut civil : c'est chaotique, bordélique. célibataire mais avec des émotions fortes. mikey collé sa peau. c'est confus mais c'est là, c'est secret, mais ça s'voit. accumule les conquêtes, pour avoir des histoires à refaire et à raconter. plaisir de liberté.
occupation : réputée, la gameuse du jeu league of legends, parce qu'elle en a fait sa vie y'a des années de ça. streameuse sur twitch, rediffusion sur youtube, sa chaîne s'appelle ahri.tv. à côté, elle est réceptionniste au motel du coin, et de l'autre côté, encore un secret, elle a ouvert un compte onlyfans y'a quelques mois de ça.
habitation : ça tombait sous le sens, de créer une colocation avec mikey. vous pouvez les entendre au n°..., à appel gate avenue. oubliez pas zoro, il est toujours là.
nbre de mots : entre 200 et 700 mots.
couleur rp : #339999
disponibilités : indisponible :

mikey
mikey n°2
wendy & nova
esther
pronom ig : elle.
cible de scandale ? : Oui
trigger warning : leo : vulgarités, consommation de drogues et d'alcool, sexe (non explicite), pression parentale, religion, relation toxique/manipulation/violence psychologique, agression, violence physique, dépression.
moi : à discuter en amont.

(#) Jeu 5 Oct - 14:58

◟in love with agony
(I guess it's my fate I'm a catastrophe)◝


@Mikey Chinen
outfit ✧

décoller la rétine des formes à m'en bousiller le blanc des yeux, pour accrocher aux courbes qui se déhanchent sur de la musique qui pète dans mes tympans. pas quitter le mauvais pour trouver le bon, pourtant ça sonne presque divin. à plus bien me souvenir de la personne qui m'a invité ici, parce que j'ai le sourire suspendu aux lèvres, et le corps qui s'arrête plus. et puis au pire, c'est pas si grave. parce que y'a ce garçon, mikey, si j'ai bien entendu dans cet enfer bruyant. retenir son prénom, comme tous les autres, parce qu'il va créer un souvenir parmi tant d'autres, impossible à oublier, comme la panoplie qui se réveille dès minuit. s'amuser, parce que y'a que ça de bon pour faire vibrer mes veines, oublier, comment la réalité tourne dehors. trampoline émotionnel, suspendue à ses lèvres, les corps qui se surplombent sans jamais se cogner - on danse pourtant proches, collés presque, à virevolter dans la promesse d'une euphorie certaine. tension effraie pas, elle est vicieuse et bouffe ma peau, y'a tout qui devient intense. un souvenir, un nouveau. un goût, à retenir sans même avoir la volonté de l'effacer, ou de le reprendre encore une fois. trop naïve, trop gentille, si simple, d'être envoûtée. parce que je pourrais jurer être sienne, rien que pour ce soir, juste un instant, dans un public quasi voyeur. on a étouffé nos bouches, à faire crever nos souffles, puis c'est pas grave non plus, parce que y'a qu'à se sentir vivants quand on se dévore. à lâcher les souffles, du nez, des lèvres, je sais plus vraiment quand j'apprécie les dents affamées qui se plantent dans mes chairs. marquée, ça restera demain, et après demain sûrement encore. y'a juste cette aise qui se lâche, les sons audibles qui persistent, belle chanson que je lâche sans réelle retenue. il est sur mon corps, sur ma peau il s'est imprégné, a causé le chaos dans son alchimie la plus pure. il est bon, vicieux, ange, démon, j'oublie que la réalité existe. jusqu'à l'étreinte qui casse, le regard qui s'éveille, le cirque d'un homme dans son mal. à pas réellement comprendre, jeter les regards inquiets, observer chaque minuscule petit mouvement. pas comprendre, peut-être en être la cause - mais c'est bizarre, comme l'inquiétude peut vite ronger. à baisser la jupe relevée, grimacer à la vulgarité, pas connaître plus qu'une chaleur de lui, et pourtant. oui...? que je murmure, en réponse à mon nom. pas peu fière qu'il se souvienne de ces trois lettres, mais surtout prête à dégainer l'aide toujours apportée à autrui. il mourra pas ce soir. hocher la tête, sans rien dire de plus, capter où est la veste - juste pas trop loin, derrière un autre arbre, ça a été trop rapide. y'a deux bouteilles, choix presque impossible, presque à genoux, pour chercher comme une enfant voleuse. mais tant pis, je ramène les deux boîtes, ça fera sûrement l'affaire. il y en a deux... alors... je sais pas vraiment laquelle il te faut. parce qu'on connaît rien l'un de l'autre, sûrement juste la saveur, la sensation des griffes dans sa peau, sa nuque sûrement trop joliment marqué quand mon coup est son oeuvre. aucune pitié, juste un regard inquiet, juste une attention balancée. est-ce que tu as besoin que je te ramène de l'eau ? sans que tu meurs ici, enfin je veux dire, évite de mourir quand je suis pas là... pas que je veux que tu meurs, mais... oh merde, tu veux pas juste de l'eau ? grimacer, me bouffer la lèvre inférieure. maladresse de la langue, ou des pensées qui passent trop vite dans mon petit crâne. poser le bras, sur l'arbre, sur le tronc sur lequel il s'est appuyé. faut croire que je le protège du public voyeur, qui a pu admiré nos ébats pourtant.
colibry ♡ bandit rouge



tomboy yeah, i'm off my face. your love is my addiction and i like the taste. yeah, i just can't resist it. you are the thing that Iicrave when it's hard to sleep at night. i'll do anything for you, so just tell me what you like.

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statut civil : tu te considères jamais réellement en couple, pas pour ces relations si peu importantes qui durent quelques mois dans le meilleur des cas. céli-bâtard qui décide de noyer les sentiments dès qu'ils menacent de fleurir. qui ne fait rien d'autre que jouer avec ceux des autres. qui privilégie le charnel à l'émotionnel. même si y a celle que t'appelles la femme de ta vie, leo, même si c'est purement platonique et physique. et chimique, très chimique.
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(#) Jeu 14 Déc - 15:58

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@Leo Brooks
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la fin de l'extase, le début de la douleur. c'est perturbant, tu mets trop de temps à comprendre ce qu'il se passe réellement dans ton propre corps. trop de temps à capter que ton coeur a décidé de se rebeller une nouvelle fois. faire savoir qu'il était pas content, se sentait ignoré. le traitement que t'évites de prendre, comme s'il s'agissait de la peste la plus virulente et dégueulasse. l'injure sous la compréhension de ton état. les doigts qui rentreraient dans ta poitrine pour serrer l'organe principal jusqu'à ce qu'il se calme, arrête ses battements trop intenses. mais tu te heurtes à la peau de ton torse. c'est frustrant, le contrôle qui te coule dans les mains et s'écrase au sol, à tes pieds. tu peux juste le regarder t'échapper sans rien faire. parce que ta veste est trop loin. les pilules coincées confortablement dans la poche. t'aimes pas demander de l'aide, t'aimes pas avoir besoin de quelqu'un. mais tu fais cet effort, avec les vertiges et le souffle court. les yeux fermés et le corps tendu. ordre tourné plus joliment pour avoir ce que tu veux. elle s'exécute, leo. obéit si gentiment, et t'ouvres un oeil pour l'observer. espérer qu'elle aura pas la curiosité de lire les étiquettes. à genoux sur l'herbe, à chercher dans les poches du tissus épais. la délivrance quand elle revient, tu hoches la tête. c'est bon. m'fallait les deux, de toute façon. parce que t'es intelligent mais incroyablement con, quand il s'agit de ta santé. rien à foutre, jamais eu envie de t'en inquiéter. la vie est déjà bien trop courte, pourquoi pas la réduire un peu ? tu prends pas les flacons dans ses mains, les laisses là, plisses les yeux pour les différencier et prendre celui qu'il te faut en priorité. le couvercle blanc tourne, dégage, pilule tombe dans le creux de ta paume. elle a l'air de s'inquiéter, la blonde. tu comprends pas vraiment pourquoi, l'intérêt derrière tout ça. tu la connais pas, elle te connait pas, pourquoi elle en aurait quelque chose à battre, au juste ? comme seule réponse à sa proposition, une expression peu convaincue et la main qui vole vers ta bouche, laisse le traitement entrer, être avalé rapidement. il glisse dans ta gorge avec la salive que t'as tenté d'accumuler en prévision. souffle pathétique qui s'échappe, tu refermes le flacon lentement, les mains qui trébuchent un peu et ratent leur tâche trop simple une ou deux fois avant de réussir. tu le remets dans la sienne, avant de prendre l'autre. moins vite, plus d'envie. tu la regardes pas, analyses juste la bouteille, tentes de voir dans quelle merde t'as pu foutre tes cachetons, cette fois. j'vais pas crever ce soir, m'enterres pas de suite, tu s'ras sympa. le ton qui se veut drôle, peut-être un peu moqueur. toujours trop, selon les autres. tu laisses l'index vagabonder entre les dessins et les couleurs, les examiner avant d'en prendre un qui te plaît bien. c'est rien, ça va passer. t'embêtes pas. dans une heure, ce s'ra oublié, t'en fais pas. parce que c'est pas ce genre de mésaventure qui va t'arrêter. qui va t'empêcher de vivre la vie que tu t'amuses à rendre plus courte à chaque pilule dans l'oesophage, à chaque buvard sur le bout de la langue. juste un jeu pitoyable que personne peut gagner. mais t'as déjà décidé. ta victoire se trouve dans la défonce. comment peux-tu perdre, quand t'en as fait ton mode de vie de prédilection depuis le lycée ?
colibry ♡ bandit rouge


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fiable, avoir construit quelque chose de stable.
j'suis qu'un sale gosse sur un château d'sable. »



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(#) Lun 4 Mar - 1:08

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@Mikey Chinen
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rongeuse inquiétude, agonie d'un regard qui détaille, des genoux qui se salissent sur l'herbe, fine, haute, pourrait certainement s'imprimer sur ma peau, comme un dessin souvenir de cette soirée. d'un charnel, elle se glisse sur une note de tragédie, d'une poitrine pressée comme si rien n'était plus insoutenable qu'un cœur en pleine folie. à mes mains tremblantes, mon cerveau ordonne, par pitié, le calme, le regard qui tourne, se focalise sur la fouille, à trouver les deux boîtes, mais ne jamais oser regarder le nom de cette prescription. rien, pas une curiosité, juste un corps qui se redresse, trop rapidement, mes pieds qui titubent, dansent légèrement avant de ravoir un équilibre correct. obéir aux ordres, d'un lui qui se tord sous sa douleur, de mon cerveau qui ordonne de tenir le chemin droit, sans encombre. oublier ma maladresse, être présente, lui refaire face, les iris trop profondes, l'air inquiet, peu importe la manière dont nous semblons nous être oubliés depuis tout ce temps. à ne pas savoir, comme ce visage pourrait m'être si familier, si seulement l'euphorie ne s'était pas métamorphosée en peur. mimétisme de son hochement de tête, comprendre. ce n'est grave, d'avoir ramené ces deux bouteilles. d'accord, tant mieux... de n'avoir commis aucune erreur, d'avoir pu être là au bon moment quand j'ose croire, peut-être, avoir épuisé son corps, fait dérailler sa poitrine. juste un peu, sous les soupirs, les gémissements forts, la brutalité d'un bassin. aux adieux de la tendresse qui n'a jamais été moins désirée que ces dernières minutes avec lui. effacer les images d'un nous trop beau, pour me focaliser sur ce garçon qui joue du couvercle, pilule posée sur la langue, avalée en rien de temps, un coup de regard, plus rien, disparue, pour apaiser les tensions de sa poitrine. mon regard est tombé, sur la courbe de sa gorge, sur ses gestes désordonnés, sur le couvercle qui fait des siennes, une fois, deux fois, avant de bien se visser. et elle me revient, la première bouteille. à l'entourer de mes doigts, la serrer. imaginer peut-être, devoir refaire le même manège, si nous ne restons pas qu'une histoire d'un soir. pas désirer les belles romances, mais sa compagnie est loin du désagréable. le regard qui se relève, rapidement, alors que je secoue vivement la tête. non, non, non... je voulais pas dire que je voulais tu meures, c'est... c'est pas... jurer contre moi-même, maladresse des paroles qui reprend son petit jeu sympathique, alors que je pince des lèvres, lève les yeux vers le ciel, pour tenter de réfléchir, de remettre les phrases dans le bon sens. ce serait bête de mourir ce soir... je ne sais pas cacher un corps... essayer peut-être, d'avoir le même ton humoristique, la même manière de vouloir détendre l'atmosphère. puis il y a l'autre pilule. la jolie, regardée, admirée. beauté d'un dessin, de la manière dont elle se glisse sur sa langue. disparue, avalée comme la précédente. je te crois... que tout finira par passer, s'en aller comme une simple mésaventure dont on entendra plus parler le lendemain. juste un cauchemar, d'à peine quelques secondes, n'aura jamais la prétention de pouvoir se faire une place dans la mémoire. mais dans la mienne... pencher légèrement la tête, sur le côté, pure interrogation du regard, quand elles sont si belles, les pilules qui attirent le fantasque de mon esprit. elles sont belles, elles... les désigner comme si, devant mes yeux, prenaient forme le plus beau trésor. le sourire aux lèvres, douceur de mes lèvres, l'air ailleurs. oh, je les imagine, colorées, au goût que ça peut étendre au fond de la gorge. besoin ignoble de connaître tous leurs secrets sans en perdre une seule sensation.
colibry ♡ bandit rouge



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