I'm just a man with a wild imagination ... way too much w/ Charlie #3

C'est une soirée film qu'à décidé d'organiser celui qui est dorénavant mon petit ami, Tobias. Une soirée qui à pour but de me changer les idées, de me faire glisser dans les frontière de l'humour de par cette comédie et je dois bien avouer que cela fonction plutôt bien, malgré le fait que l'ambiance générale soit soudainement en train de changer. D'un simple baiser chaste, mon corps entier s'est mis à vibrer, à bouillonner alors que mon esprit semble vouloir tout oublier dans les bras du beau brun. Je m'étais portant promise de lui laisser du temps, de le laisser revenir vers moi lorsqu'il se sentirais suffisamment en confiance pour passer à l'étape supérieure, mais mon esprit défaille et nos lèvres sont dorénavant sceller dans un baiser rempli d'envie et d'une tension qui nous innonde tout les deux. La danse de nos ma gués ne laisse aucun doute sur nos envies respectives sur ce désir de ne faire qu'un et de se laisser aller à une luxure évidente et ce n'est pas cette chaleur que je ressens au fond de moi qui prouvera le contraire. Porté par le moment, je passe une jambe par dessus son corps, me retrouvant à califourchon sur lui, main derrière sa nuque appuyant ce baiser déjà fougueux. Je sens ses doigts glisser le long de mon dos avant de relever légèrement ce haut que je porte et de venir au contact de ma peau. Un contact qui me fait frissonner, provoquant un soupir un peu plus fort, plus envieux, pour des frissons qui envahissent l'entièreté de mon être. Mon bassin ondule de plaisir bien malgré moi, trahison de ce que je ressens, de ses sens en alerte alors que chacune de mes réactions semble décuplée devant ce désir que je ressent, devant ce besoin d'être avec lui, de ne faire qu'un avec cet homme dont je suis tombé amoureuse au fil des semaines.   Non … Attends … » Un son que j'entends, mais que je me refuse de comprendre alors que ses doigts quitte ma peau en direction de mes cuisses cherchant à bloquer le mouvement de ces dernières. Une pointe qu coeur qui se manifeste dans ma poitrine, comme une énième impression de déjà vu que je ne prends pas en compte cette fois-ci, continuant d'embrasser sa joie, sa mâchoire jusqu'à descendre dans son cou. « C’est pas … » Mes lèvres continue de s'activer dans l'espoir de reprendre nos baiser fougueux qui m'embrase avec facilité alors que mes dents joue de sa peau avant de finalement prendre la parole en un souffle léger. “Vous réfléchissez beaucoup trop monsieur Matthews … Laisse toi aller.” Un souffle rauque qui s'écrase contre sa peau, alors que je reprends ce doux supplice, mais que sa voix s'élève à nouveau et me refroidit tel une douche glacée. « Pas maintenant, j’ai … » Je ne peux camoufler ce soupir qui émane de moi alors que je me redresse pour lui faire face, plongeant mon regard dans ses iris qui me font bien trop d'effet. “Tu as … ?” Une question à demi cynique, alors que j'observe le désarroi apparaître sur le visage de Tobias tandis qu'il vient poser sa tête contre le dossier du canapé signant une fois de plus l'arrêt de tout ce qui pourrait ressembler à de l'amour charnel. « … » Je me mord l'intérieur de la joue, non pas par envies, mais pour contrôler cette frustration qui me gagne alors que je ferme les yeux une seconde, prenant une profonde inspiration pour masquer ce que je ressens réellement et me parer d'un sourire quelque peu pincé. “Très bien … Je comprends…”

Je sens un mauvais mélange d'émotions surgir dans ma poitrine. Un mélange de colère, de frustration et d'une tristesse intense. Autant d'émotions que j'enterre depuis plusieurs jours et que je décide d'enterrer encore cette fois-ci alors que je m'écarte du brun, retrouvant le contact du canapé sous mes fesses. Je me plonge faussement dans ce film, me persuadant que ce n'est rien, que je me dois de lui laisser ce temps dont il a besoin, que je l'aime et que pour rien au monde je ne désire le brusquer. Hélas, mon corps en décidé autrement comme en témoigne cette main qui vient saisir la télécommande pour l'image sur pause, attirant ainsi l'attention de Tobias vers moi tandis que je me retourne dans sa direction, le regard bien plus dur que je ne le voudrais. “En fait non, je ne comprends pas … “ Voix ferme, un soupir tremblant s'échappe de mes lèvres trahissant ce bouillonnement interne que je subit. “Je me suis promise de te laisser tout le temps dont tu as besoin pour ça et je te jure que j’ai essayé, mais je n’arrive pas à comprendre ce que j’ai pu faire de mal pour que tu me repousse ainsi … Je n'arrive pas à comprendre pourquoi ce sujet est devenu tabou entre nous et pourquoi tu ne me dis pas ce qui ne va pas … J'ai besoin de savoir Tobias." J'ai conscience de sembler dur, mais ce silence me tue. Faire comme si tout allait bien alors qu'un blocage est clairement là m'insupporte et qu'il le veuille ou non, j'ai besoin de réponse, surtout en ce moment où je suis perpétuellement à fleur de peau à cause de tout ce qui nous tombe dessus. "Tu sais … Si tu ne veux pas de moi, si je ne te plait pas autant que tu l'aurais pensé ou je ne sais quoi …  Autant me le dire tout de suite … ça nous économisera du temps à tous les deux …“ Au bord des larmes, je regrette instantanément les mots que je viens de prononcer. Des mots durs, avec une voix bien trop froide et pleine d'incompréhensions alors qu'une autre partie de moi veux juste savoir ce qu'il y a sincèrement dans sa tête. Veux savoir pourquoi il me repousse sans cesse, même s'il existe une possibilité non négligeables que cette réponse me fasse souffrir, mais au point où j'en suis, je ne suis plus à un coup de poignard près.

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Une relation différente de tout ce que j'ai pu connaître. Une histoire qui implique mon coeur, des sentiments et que je croyais vraiment bien partie. C'était sans compter sur ses refus perpétuels d'aller plus loin au point de me faire douter. Douter de nous, mais surtout douter de moi et de son attirance. J'ai essayé de me montrer patiente attendant même plusieurs semaines, chose qui ne me ressemble pas. Mais ce soir j'ai échoué. Un autre refus, un de trop qui me blesse et à fait exploser mon incompréhension au point de le lui dire. De lui demander de me dire les choses clairement, même si ça doit signer la fin de notre histoire. « Quoi ? Non … » Une réponse qui me déboussole encore plus, ne comprends rien à cette histoire alors que je sens mon palpitant s'accélérer et ma patience diminuer grandement. « T’as strictement rien fait, c’est moi, c’est juste … Moi. » Vraiment ? Il est vraiment en train de me sortir ce refrain ? Un profond soupir s'échappe de mes lèvres tandis que ma tête se tourne, quittant son visage et que ma mâchoire se sert pour cacher une blessure qui s'ouvre. Ma vue se brouille de larmes que je masque, n'en revenant toujours pas du refrain qu'il est en train de me dire. Une phrase banale que tout le monde sort en excuse, mais qui n'est jamais sincère. « Et il n’y a pas d’histoire où je ne veux pas de toi, ni même que tu ne me plais pas, bien au contraire. » "Alors c'est quoi ? Explique moi, parce que je ne comprends pas …" Mon agacement est palpable tout comme la brisure dans ma voix. Je n'aime pas ne pas comprendre, mais je déteste encore plus que l'on se joue de moi surtout lorsque ça vient d'un homme qui à appris je ne sais comment à faire réagir mon cœur. « Je suis terrifié par … Ca. C’est pas le bon mot, mais il n’y a rien que je peux faire pour être à ta hauteur et … Et je sais très bien que … Qu’une fois qu’on sera allé plus loin tous les deux, tu vas t’en rendre compte … » J'ai l'impression que l'on vient soudainement de me mettre en pause. Plus une pensée, plus un geste, juste une volonté de comprendre alors que l'hypothèse du brun se moquant de moi s'estompe peu à peu dans mon esprit. Je fini par froncer les sourcils, iris revenant sur son visage alors que ma voix à légèrement gagné en calme. "Être à ma hauteur ? Mais de quoi tu parles Tobias ?"  J'ai beau réfléchir de toutes mes forces, je ne vois pas à quoi il peut faire allusion. Mes yeux s'ecarquillent soudainement, des bribes de conversation qui me reviennent en mémoire à l'époque où nous parlions de Deagan, de sa meilleure amie, mais surtout des performances du pilote au lit. qu'elle idiote ! Une conversation anodine à l'époque, des compliments que j'ai fait sans réfléchir, à une époque où je n'éprouvais qu'une forte tendresse pour ce geek, mais encore rien d'amoureux. "Tu as peur que je ne veuille plus de toi une fois qu'on aura passé ce cap ?"  Une question étrange, que je ne comprends pas et qui me fait quelque peu mal. Le fait qu'il puisse penser un instant que je ne le réduise qu'à ça, que je réduise notre relation à un moyen de coucherie me blesse, alors que pourtant le message de base n'est pas celui-là, mais je peine à le percevoir. "Il n'y à pas d'histoire d'être à la hauteur ou non … Ce n'est pas un test Tobias. Ce n'est pas une épreuve que tu es supposé affronter avec moi pour récompense … Ce n'est pas un examen pour savoir si oui ou non on restera ensemble… Je… Je pensais que tu me connaissais mieux que ça…" Une dernière phrase qui se glisse dans un murmure alors que ma voix se veut un peu trop sèche, trop froide, mais que mes yeux ne cils pas et reste figés sur ce visage qui ne peut empêcher mon cœur de battre."Tu n'as aucune raison de te comparer aux autres Tobias ... Notre relation n'a rien à voir avec ce que j'ai déjà pu vivre par le passé …" Un aveu à demi-mot, une différence que je n'ai pas suffisamment marqué pour une voix qui se veut plus douce, pour des yeux qui se baissent, mais surtout pour un cœur qui tambourine anormalement contre mon torse, voulant lui révéler ce qu'il représente réellement pour moi.

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« Hein ? Non. C’est pas ça. » Encore des excuses qui m'agacent alors que je n'arrive pas à apaiser ce poids présent dans ma poitrine. Un poids qui n'a pourtant pas lieu d'être, mais qui me pousse à fuir tout contact visuel avec celui qui hante mes pensées. Un contact que je retrouve lorsque j'entends cette injure sortir de sa bouche. Un mot qui me choque venant de lui et qui attire mon attention, sourcil froncé par un mélange d'émotion que j'ai bien du mal à discerner. « C’est juste que … On sait tous les deux que c’est quelque chose d’important dans un couple et que tout ce que je dois savoir faire c’est un pauvre missionnaire, puis j’peux même pas te dire si j’ai déjà réussi à donner du plaisir à qui que ce soit … » Ma tête esquisse un mouvement de droite à gauche, alors que mes iris se posent sur mes mains, trouvant du réconfort en regardant ma peau, essayant d'arrêter de s'humidifier, tandis que je me force à garder la bouche fermée pour ne pas dire quelque chose que je pourrais regretter. Je le sens bouger, voyant ses genoux se tourner vers moi, je prends une dernière fois le courage de regarder son si doux visage. « J’veux dire, je tiens beaucoup à toi, du genre vraiment beaucoup à toi et j’ai juste peur que tu puisses un jour comprendre que je ne sais absolument pas m’occuper de toi, comme un homme devrait le faire. » Ses mots ne manquent pas d'accélérer mon rythme cardiaque, des mots qui me rassurent autant qu'ils augmentent ce poids dans mon coeur, car je n'arrive pas à comprendre pleinement ce qui se trame dans sa tête tout comme il ne semble pas comprendre ce qu'il y à dans la mienne. Un soupir s'extirpe de mes lèvres, alors que ma voix se fait entendre, une voix faible tel un murmure qui pourrait sous-entendre que j'ai baissé les bras. “ Je crois que tu ne comprends pas Tobias …” Je me redresse à mon tour, le regard vif, reprenant soudainement de l'aplomb. “Je m’en fiche pas mal des positions que tu dis savoir faire ou non … Je m’en fiche du plaisir que tu as pu donner aux autres filles et je m’en fiche encore plus de ces mecs avec qui j’ai pu coucher par le passé et qui sont supposé être de "vrais hommes" selon toi …” Ma voix est ferme, alors qu'un cynisme flagrant se fait entendre lorsque j'emploie ce terme de véritable homme. Un terme bien masculin, soufflé par un ego souvent bien mal placé alors que pour une fois, pour la première fois dans ma vie, ce que je vois est bien au-dessus de tout ça. “Rien de tout ça m’importe car, quand je suis avec toi rien d’autre ne compte, personne d'autre ne compte … Je n’ai pas envie de coucher avec toi Tobias, j’ai envie de faire l’amour avec toi. J'ai envie de nous lier, j'ai envie qu’on ne fasse qu’un durant ce laps de temps. J’ai envie que chaque centimètre de mon être puisse te prouver ce que je ressens, qu'il puisse te prouver à quel point je...” Ma voix se veut de plus en plus douce, alors que je marque une courte pause, hésitante, avant de finalement prendre sa main dans la mienne et de planter mon regard dans le sien, léger sourire aux coins des lèvres. “A quel point je t’aime en fait … Car oui je suis amoureuse de toi et … si tu veux la vérité, c’est la première fois que je ressens ça pour quelqu’un et c'est bien plus fort et plus important que tout le reste … Alors laisse moi te dire que le sexe je m’en fou, ce que je veux c’est toi et seulement toi … tout entier.“ Une mise à nu qui n'était pas prévue alors que mon regard scintille toujours, mais cette fois-ci ce sont des émotions nouvelles qui le font scintiller. " Et puis s'il n'y à que ça qui te fait peur… je pense pouvoir être un bon professeur …" Des émotions mélangées à cette peur du rejet alors que pour dédramatiser la chose, je décide de sourire et de bêtement partir sur un registre plus léger, laissant un rire s'échapper de moi. Un moyen de me protéger en quelque sorte, de détourner l'attention n'ayant pas l'habitude de parler autant à cœur ouvert, mais surtout n'ayant pas l'habitude d'aimer quelqu'un comme je l'aime.

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Intimidée par une conversation à cœur ouvert que je n’avais pas prévu, mais qui était plus que nécessaire, je suis là sur ce canapé le regard figé dans le sien et le cœur qui bat à tout rompre. Un besoin de réponse, mais surtout de mettre les choses à plat, ne voulant pas qu'il pense que je ne veux qu’une simple soirée au lit avec lui, même si lui … Je ne suis pas bien sûre de ce qu’il veut à vrai dire. « Si tu me veux tout entier, il va bien falloir passer par le sexe. » Une attention qui retourne sur son visage, alors que mon froncement de sourcil doit lui donner un indice sur l’incompréhension qui me gagne. « Pardon … C’était pas drôle … C’est juste que j’arrive pas à réaliser que tout ce que tu viens de me dire est vrai, je suis plutôt du genre à connaître les choses à sens unique et le sens unique c’est moi, alors que tu puisses m’aimer en retour, c’est assez surréaliste et je sais pas ce que je suis en train de te dire. » Mon visage s’apaise et ma main vient se poser sur la sienne. "Et pourtant c'est le cas il n'y a pas de sens unique cette fois, enfin … Pas de mon côté en tout cas." Un sourire timide qui passe sur mes lèvres devant l’imprévu de mes propos, devant son monologue, mais aussi devant ces quelques mots qui n’ont pas franchi la barrière de ses lèvres. Des mots qui ont été tout de même remplacés par une demi confession de réciprocité qui à suffit pour emballer mon cœur dans l’instant.   Attends, je reprends. » Sourcil qui se fronce durant une fraction de seconde. “Tu … quoi ?” Je n’ai pas le temps de faire une phrase complète que sa main glisse sur ma joue droite avec une infinie douceur, suivie de près par ses lèvres se posant sur les miennes. Une sensation similaire, mais pourtant si différente de tout à l’heure. Un baiser plus fougueux, laissant un brasier se créer dans mon bas ventre alors que nos langues se rejoignent, le tout sur l’initiative d’un Tobias qui semblerait presque libérer. Ma main finit par se diriger dans son cou, appuyant notre étreinte naissante tout en laissant un soupir s’échapper de mes lèvres en quête d'oxygène. Sans y réfléchir, je reprends ma posture initiale, passant une jambe autour de son corps comme si rien ne s'était produit, comme si la conversation n’avait pas eu lieu, sauf que ce n’est pas le cas. Un doute ressurgit dans ma mémoire et contre toute attente, c’est moi qui met fin à notre baiser, plongeant mon regard dans le sien. “Attends … Est-ce que tu es sûr ?” Ma langue passe sur mes lèvres soudainement sèches. "Je ne veux pas que tu te force pour moi Tobias …" Un murmure que je lance à bout de souffle alors que je nous mets des bâtons dans les roues sur le tournant de cette soirée. " Je peux attendre tu sais ? Surtout en sachant tout ça, je peux t'attendre je te le promets … Je ne veux pas que tu … " Cette fois je n’arrive pas à finir ma phrase, quittant son regard un instant, la peur au ventre. La peur de faire une fois de plus du Charlie en essayant de forcer les choses, mais surtout de le forcer lui, surtout après toutes ses paroles échangées.
Laueee

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Un baiser de nouveau interrompu, mais par mes soins cette fois tandis que je reste à califourchon sur lui. Une peur de mal faire, de le forcer à aller trop loin, alors que tout ce que je veux c’est partager un instant d’union. De mettre en action des sentiments bien trop fort que je n’ai jamais ressenti pour un homme. « Stop Charlie, ne dit plus rien. » Une surprise qui se pose sur mon visage, lui qui était pourtant si inquiet, si peu sûr de lui il y à quelques minutes, le voilà faisant preuve d’une détermination nouvelle. Une volonté de me faire taire et de se laisser porter par un désir qu’on arrive plus à retenir.  « Bébé Groot est réveillé, alors s’il te plaît, n’arrête pas, c’est pas le moment de lui faire peur. » Un sourire qui s'élargit, l'amusement teintant mon regard alors que mes deux mains se posent sur sa nuque. “Bébé Groot ?” Un surnom qui lui ressemble bien, qui m'amuse et m'attendrit. Je lui picore un baiser, mes mains passant dans ses cheveux alors que je retrouve instantanément ses yeux. « J’ai plus envie d’attendre. » Je n’ai pas le temps d’en rajouter davantage que ses lèvres viennent prendre les miennes en otage dans un baiser fougueux que je lui rends, me faisant oublier toute appréhension. Ses doigts se crispent sur mes cuisses, remontant peu à peu pour réduire cette distance entre nous.

Laueee