avec toute la vie devant soi (alma)

avec toute la vie devant soi
avec @alma becker
tw : grossesse

Ozzy, il trépignait presque, assis sur sa chaise devant la table du café. Il dardait sur Alma le genre de regard qu'il avait pour elle, et ses ami.es en général. Le genre de regard à la fois doux et pétillant, comme si un clin d'œil pouvait lui suffire pour les protéger de tous les dangers - oui, même s'il était loin d'avoir la carrure de celui capable de se battre avec vigueur. Même sans grande force physique, c'était tout comme. Et Alma, elle avait ce quelque chose de différent qui faisait que Ozzy, ces derniers temps, il pouvait pas s'empêcher de vouloir être aux petits soins avec elle : elle avait ce petit être qui grandissait en elle.
Ozzy, il se souvenait encore de quand elle lui avait annoncé, un peu paniquée et il ne pouvait que la comprendre. Ce n'était pas rien, pour eux qui étaient encore si jeunes - Alma d'autant plus. Ozzy, il avait oscillé entre l'enchantement d'une telle perspective et l'inquiétude pour sa meilleure amie. Pendant un temps, il s'était contenté du soutien inconditionnel qu'il avait toujours été prêt à lui offrir. Il écoutait, il réconfortait, il conseillait comme il pouvait. Et puis, quand Alma lui avait avoué qu'elle avait pris la décision de le garder, Ozzy, il n'avait plus trop été capable de dissimuler son enthousiasme.
Alors, quand Alma l'avait appelé, embêtée de se retrouver seule pour la première échographie, Ozzy n'avait certainement pas hésité. Il l'avait accompagnée, un peu d'étoiles dans les yeux, parce que même s'il se doutait que les choses ne seraient jamais toujours simples pour Alma, cela restait une belle chose, que de devenir maman.
« Alors, maintenant qu'on est plus tranquilles ; qu'est-ce que ça t'as fait, de voir le bébé sur l'écran ? » demanda-t-il avec douceur alors qu'ils attendaient les boissons qu'ils avaient commandées. Ozzy, il aurait été capable de s'extasier longtemps sur cette brève expérience avec Alma ; mais ce n'était certainement pas à lui de commencer à en parler. Elle était la première intéressée et lui, il voulait avant tout l'aider à mettre au clair ce qu'elle avait dû ressentir.

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avec @ozzy bennett
tw : grossesse

tu ne voulais pas être toute seule. pas cette fois, pas pour quelque chose d'aussi important. la première échographie, c'est important, n'est-ce pas ? et maxine, elle n'a pas pu se libérer. tu ne lui en veux pas, parce que tu as mis un peu de temps à la prévenir. tu n'étais pas certaine, toujours pas certaine de tout ça. alors tu as appelé ozzy, meilleur ami duquel tu ne pourrais pas te séparer. qui d'autres que lui, pour t'accompagner, au final ? deux gamins dans les couloirs de l'hôpital, et tu t'en fiches bien de ce que les gens ont pu penser en vous voyant.
tu profites de cet instant en compagnie du brun, vous voilà installés au dutch bro coffee, pour profiter de la suite de l'après-midi l'un avec l'autre. tu souris un peu face au jeune homme, et tu portes ta tasse à tes lèvres. — alors, maintenant qu'on est plus tranquilles ; qu'est-ce que ça t'as fait, de voir le bébé sur l'écran ? tu soupires un peu d'aise, et tu souris un peu bêtement face à ozzy. — c'est ... étrange. tu ajoutes en souriant un peu. — mais aussi, concret. tu sais, c'est dur de s'en rendre compte avant ... tu laisses une petite moue se dessiner sur tes lèvres. tu ne te rendais pas réellement compte de tout ça, en réalité. mais maintenant que tu as vu ces premières images ... tu ne peux t'empêcher d'y penser, encore et encore. tu soupires un peu d'aise.

— merci d'être venu ... tu ajoutes avec un sourire tendre. tu viens serrer sa main dans la tienne un instant, avant de boire une nouvelle gorgée dans ton verre. tu t'enfonces un peu dans ton fauteuil, et tu te grattes la joue du bout des doigts. — j'ai hâte ... d'en voir plus. tu avoues après un instant. — je sais que j'suis trop jeune, pour tout ça. tu souffles avec une petite moue sur les lèvres. — mais ... c'est bizarre. j'ai l'impression que j'peux le faire, tu comprends ? tu hausses un peu les épaules, pensive. trop jeune, ça oui. pas assez responsable sans doute. tu glisses tes doigts dans tes cheveux et un soupir t'échappe. — et puis, au final. j'sais que je suis pas vraiment toute seule. tu souffles avec un sourire sur les lèvres. 

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avec @alma becker
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C'est vrai, ça faisait quelque chose, d'être là, à peine vingt ans et de discuter d'échographie, vie de famille et bébé à venir. Ozzy, ça lui faisait un peu bizarre, parfois, de se rappeler que sa meilleure amie, elle avait vraiment un petit être, un petit pois (comme elle aimait l'appeler) qui grossissait dans son ventre. Et comme elle le disait si bien, le voir à l'écran, c'était comme une petite piqûre de rappel, que la vie était réelle et que ce n'était pas juste l'histoire d'une imagination débordante. « Tu m'étonnes... Je sais que déjà moi, j'ai presque encore du mal à le croire et voir l'ultra-son... C'est quelque chose. Alors je n'imagine pas pour toi. » glissa-t-il avec un sourire. Ce moment avait de plaisant ce que leurs moments avaient toujours : une sincérité évidente, un échange simple et sans prise de tête. Parce qu'ils se connaissaient depuis assez de temps pour savoir que jamais rien ne serait jugé par l'autre. « C'est normal voyons. Tu sais que je suis content que tu m'aies appelé... Bon ok je suis pas très doué en matière de grossesse mais j'suis un bon soutien, promis. » Il reposa la tasse qu'il avait dans les mains pour énumérer sur ses doigts. « J'te ferai des courses, pour toi ou le bébé bien sûr. Et puis je pourrais t'aider à porter des trucs. Ou te faire des massages. Acheter des vêtements pour le bébé... des jouets... oh, et un doudou bien sûr ! » Laissant ses mains retomber devant lui, il leva les yeux au ciel dans un sourire léger. « Enfin, on a le temps bien sûr... »

Ozzy, il était rarement si énergique, si enjoué. Mais tout ce qui avait rapport à ses amis le mettait souvent dans un état bien différent de celui qu'on lui connaissait. Pourtant, il n'eut pas besoin de beaucoup de temps pour retrouver un regard plus calme et une oreille attentive quand Alma, lèvres un peu tordues par une moue, lui confiait ses sentiments. « Hey. Je sais que certains vont commencer à en parler. C'est sûr, on sait tous les deux que personne ne va retenir ses critiques et ses jugements... Et ils seront tous des idiots à faire ça. » Il posa doucement sa main sur celle de son amie, croisant le regard d'Alma. « Bien sûr que ce n'est pas commun, bien sûr que ce sera un peu difficile... Mais en aucun cas ça veut dire que tu n'y arrivera pas et encore moins que tu n'as pas le droit de faire ce choix. » Avec un sourire plus éclatant, il ajouta avec une petite pression de ses doigts. « Et comme tu le dis, tu seras loin d'être seule. Je m'occuperai de ceux qui t'embêtent avec ça... Enfin, non, rectification, pas moi, j'suis pas le plus doué mais... j'suis sûr que ton grand frère ne rechignera pas à casser quelques figures si certains se permettent de se moquer ! »

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avec @ozzy bennett
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trop étrange sans doute de te retrouver face à cette image, face à ce battement de cœur. ça rend les choses tellement plus concrètes. tu secoues un peu la tête, face à ozzy, sourire doux sur les lèvres. — tu m'étonnes... je sais que déjà moi, j'ai presque encore du mal à le croire et voir l'ultra-son... c'est quelque chose. alors je n'imagine pas pour toi. tu hoches la tête tout doucement, souriant un peu. c'est étrange, mais pas is dérangeant, au fond. tu te fais à cette idée, au fur et à mesure des jours, des semaines qui passent. tu te mords l'intérieur de la joue un instant. — ouais, c'est ... j'sais pas comment expliquer, c'est bizarre. mais bizarre en bien. tu souffles avec un sourire sur les lèvres. tu te sens bien, après ces semaines de doute.
et c'est ozzy qu'il était là, alors qu'il aurait pu refuser, rester loin de toute cette histoire. — c'est normal voyons. tu sais que je suis content que tu m'aies appelé... bon ok je suis pas très doué en matière de grossesse mais j'suis un bon soutien, promis. tu ris à ses mots, tu hoches la tête. — le meilleur soutien. tu souffles simplement. — j'te ferai des courses, pour toi ou le bébé bien sûr. et puis je pourrais t'aider à porter des trucs. ou te faire des massages. acheter des vêtements pour le bébé... des jouets... oh, et un doudou bien sûr ! tu ne peux t'empêcher de rire. un rire sincère et enfantin qui se glisse sur te slèvres, face à l'enthousiasme d'ozzy. tu souris un peu et tu glisses une main dans tes cheveux pour éloigner tes quelques boucles. — enfin on a le temps bien sûr... tu hoches la tête. — j'ai envie de tout acheter aussi ... mais toi t'es pas obligé de me faire les courses t'en fais pas. tu ris un peu, sourire doux sur les lèvres. — j'ai tellement hâte de pouvoir acheter des pyjamas trop mignons. tu ajoutes, une moue sur les lèvres. tu as hâte, de tout découvrir. hâte et peur, un peu, aussi.

tu restes silencieuse un instant supplémentaire, les sourcils un peu froncés par tes propres pensées. peur de tout ce qui peut arriver, peur de la suite, de l'université. mais c'est comme ça. tu soupires tout doucement. — hey. je sais que certains vont commencer à en parler. c'est sûr, on sait tous les deux que personne ne va retenir ses critiques et ses jugements... et ils seront tous des idiots à faire ça. tu hausses les épaules et tu viens serrer sa main dans la tienne. il a raison, tu le sais. — ouais, je sais ... ils peuvent pas s'empêcher de se mêler de la vie des autres, même is ça les regarde pas. tu te contentes de souffler. tu fermes les yeux quelques secondes et tu penches un peu la tête sur le côté.
— bien sûr que ce n'est pas commun, bien sûr que ce sera un peu difficile... mais en aucun cas ça veut dire que ty n'y arrivera pas et encore moins que tu n'as pas le droit de faire ce choix. tu serres un peu sa main, toi aussi. tu la lâches ensuite pour récupérer ta tasse, la portant à tes lèvres. tu as un peu peur de tout ça. tu soupires un peu et tu gardes la tasse entre tes doigts. c'est bizarre d'être là, de parler de tout ça, avec ozzy. tu as l'impression que vos années au lycée sont encore bien présentes. elles ne sont pas si loin et pourtant ... tout change trop rapidement. — et comme tu le dis, tu seras loin d'être seule. je m'occuperai de ceux qui t'embêtent avec ça... enfin, non, rectification, pas moi, j'suis pas le plus doué mais... j'suis sûr que ton grand frère ne rechignera pas à casser quelques figures si certains se permettent de se moquer ! tu ne peux t'empêcher de rire, parce qu'il a raison, ozzy. tu sais que kieran sera là pour aller te venger au besoin. tu secoues la tête un bref instant, de gauche à droite. — kieran ? arrête, j'suis sûr qu'en secret il rêve de tuer le père. tu souffles avec une petite moue sur les lèvres. tu l'aimes ton frère, mais parfois vous n'êtes pas sur la même longueur d'onde. — merci d'être là. vraiment. tu ajoutes en souriant doucement. l'amitié d'ozzy, elle est précieuse. tellement précieuse pour toi. — on va se balader un peu ? j'ai trooop envie d'acheter quelque chose pour le petit pois genre un petit chausson ou un doudou. tu ris un peu, te laissant portée par cette douce euphorie.

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Maintenant, c'était à Ozzy d'hocher la tête, un sourire vague sur les lèvres. Parce qu'on ne pouvait pas mieux résumer la situation ; c'était bizarre, bien entendu, mais bizarre en tellement bien même. Forcément, ce serait tout sauf simple mais c'était le début de la vie d'adulte, la vrai. « J'aurais pas dit mieux... » souffla-t-il avec douceur, sa tasse suspendue dans les airs, le regard un peu perdu, revenant en arrière, se souvenant de l'ultrason sur l'ordinateur. Ce n'était pas lui qui donnait la vie à un petit être, mais rien que le fait que ce soit Alma... oui, ça faisait vraiment quelque chose.
Ozzy revint à lui, un plus large sourire aux lèvres, comme s'il jouait faussement au fier, frimant pour un rien. « T'as vu ça hein ! » qu'il lâcha en riant. Peut-être qu'il était pas exactement le meilleur, mais il faisait en sorte de l'être, pour remercier Alma et puis tous les autres de toutes les belles choses qu'ils lui avaient apporté. A commencer par le retour de son sourire. Alors ils se mirent à rire en cœur, à planifier toute une séance d'achats pour le futur bébé, pas très gros, pas encore prêt d'être là, mais c'était pas grave, c'était si amusant de partir faire les emplettes. « Tu rigoles ? Je parie que d'ici quelques temps, tu n'hésiteras plus à me dire "eh Ozzy, tu peux passer au magasin m'acheter des fraises" ou je ne sais quel autre nourriture dont tu auras follement envie. Et bien sûr, je râlerai et puis j'irai te les chercher, tes fraises. » S'il savait que d'ici peu, elle lui réclamerait des cornichons... « Oh la la, mais même pas que les pyjamas... t'as déjà remarqué combien les vêtements des bébés sont trop adorables ! »

Bien sûr, cette grossesse, ce ne serait pas que ces moments de rires fous et d'achats compulsifs. Il y avait les doutes, les peurs et les remarques que Alma allait recevoir. Mais Ozzy ne s'en inquiétait pas plus que cela, finalement. Il savait qu'elle allait tout déchirer et remplir son rôle de jeune maman à merveille. Et puis, comme il l'avait assuré, elle ne serait jamais seule. Toujours entourée, toujours soutenue, toujours protégée. D'une pression des doigts sur ceux de son amie, il essaya de la réconforter un peu. « Tu n'auras qu'à les ignorer. Ils ne sauront rien de ta vie alors ne les laisse jamais t'atteindre. » Et même s'il n'était effectivement pas le meilleur pour montrer les poings, il savait qu'il pourrait toujours s'occuper de trouver les bons mots pour aider Alma. autant que possible. C'était presque inquiétant, de se dire qu'aussi jeunes, il fallait déjà se soucier de ne pas faire attention aux critiques sur la manière de mener sa vie. Mais à vrai dire, déjà que le lycée n'était pas loin, il y ressemblait aussi. Ozzy savait bien ce que c'était...
« Haha, ça ne m'étonne pas ! » s'amusa-t-il après la remarque d'Alma sur son frère. Forcément, il avait un peu plus la carrure de prendre ce rôle. « De rien, vraiment. Et puis merci à toi aussi, tu le sais bien. » souffla-t-il avec autant de douceur qu'elle. Tout ce qu'il lui donnait, c'était tout ce qu'elle lui avait donné et lui donnait encore.

Se redressant vivement sur sa chaise, il termina rapidement sa tasse avant de la reposer pour sortir son porte-monnaie et payer. « Tu rigoles, tu es en train de me demander si je veux aller trouver une peluche absolument adorable pour le petit pois et tu crois que je vais dire non ? » Il eut un rire face à son propre enthousiasme, mais ça lui plaisait, de réagir avec autant de sincérité, d'en profiter en toute simplicité. « Tu promets que tu me laisses l'acheter, hein, dis ?! » Il sautilla un peu autour d'elle avant d'attraper son bras pendant qu'ils quittaient le café. C'était un euphémisme de dire qu'il était plus qu'excité à cette idée.

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avec @ozzy bennett
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— j'aurais pas dit mieux.. tu ris doucement avec ton ami, un sourire doux sur les lèvres. bizarre, ouais, comme instant. comme rencontre. ça rend les choses tellement plus réelles. ozzy, c'est un soutien précieux, tellement précieux pour toi. tu souris tendrement face à ton ami. et tu as vraiment envie d'acheter des choses pour le bébé, mais tu ne veux pas qu'il paye pour toi. il n'est pas là pour ça. — tu rigoles ? je parie que d'ici quelques temps, tu n'hésiteras plus à me dire ' eh ozzy, tu peux passer au magasine m'acheter des fraises ' ou je ne sais quel autre nourriture dont tu auras follement envie. et bien sûr, je râlerai et puis j'irai te les chercher, tes fraises. tu pouffes un peu de rire face au brun. peut-être qu'il n'a pas tord, mais tu n'as pas envie de l'avouer, en réalité. — ouais mais les fraises c'est quand même vachement moins chez que des habits pour bébé ... tu réponds simplement avec une petite moue sur les lèvres. tu t'étires un peu, buvant une nouvelle gorgée dans ta boisson. — oh la la, mais même pas que les pyjamas... t'as déjà remarqué combien les vêtements des bébés sont trop adorables ! tu hoches la tête à ses mots, sourire pensif sur les lèvres. tu as hâte de tout ça, même si ça t'effraies, au fond.

et tu as aussi peur de tout ce qu'il va se passer à l'université, des regards qui vont finir par se poser sur toi, au fur et à mesure de cette grossesse. — tu n'auras qu'à les ignorer. ils ne sauront rien de ta vie alors ne les laisse jamais t'atteindre. tu hoches doucement la tête à ses mots, petit soupir sur les lèvres. il a raison, ozzy. mais c'est dur au fond, de ne pas se laisser atteindre. surtout quand tes hormones te jouent des tours.
et quand ozzy te parle de kieran, tu ne peux t'empêcher de rire doucement à cette idée. — haha, ça ne m'étonne pas ! tu hoches doucement la tête. il est un peu prévisible de ce côté, kieran, tu ne peux pas dire le contraire. — de rien, vraiment. et puis merci à toi aussi, tu le sais bien. tu relèves un peu la tête. — j'pouvais pas demander à quelqu'un d'autre que toi de venir. tu souffles simplement. il est tellement important pour toi, ozzy. tu termines ton verre a peu prêt en même temps que le brun.

— tu rigoles, tu es en train de me demander si je veux aller trouver une peluche absolument adorable pour le petit pois et tu crois que je vais dire non ? qu'il souffle. et c'est vrai que, dit comme ça ... — on sait jamais, p'être que t'as des trucs à faire ou quoi... tu souffles avec une petite moue sur les lèvres. mais tu es heureuse, qu'il soit partant pour prolonger votre après-midi. tu t'étires doucement en te levant. — tu promets que tu me laisses l'acheter, hein, dis ?! une moue se glisse sur tes lèvres et tu serres son bras dans le tien, riant à son enthousiasme. — je veux pas que tu payes pour le bébé. tu souffles avec une moue. tu es capable de l'assumer, ce petit, n'est-ce pas ? tu ne sais pas trop, au fond. tu sais que tes parents et tes proches seront là pour t'aider. — on verra déjà ce qu'on trouve ... et combien ça coute. tu ajoutes en haussant un peu les épaules, un soupir s'échappant de tes lèvres. tu glisses tes doigts dans ta nuque, alors que vous quittez le café, vous dirigeant vers les boutiques non loin du centre-ville.