night
vision
AccueilAccueil  RechercherRechercher  MembresMembres  GroupesGroupes  S'enregistrerS'enregistrer  Connexion  FAQFAQ  
Bienvenue sur wicked little town, forum city simple et sans prétentions qui se déroule dans la petite mais mouvementée ville de Klamath Falls (Oregon, USA). Lieu de détente où vous verrez s'affronter les différentes classes sociales, venez interpréter des personnages issus de tous horizons. Pour citer une célèbre marque : venez comme vous êtes ! Mais attention, Scandale n’est jamais bien loin pour dévoiler les secrets que vous cachez.
Le deal à ne pas rater :
Retour en stock du coffret Pokémon Zénith Suprême – ...
Voir le deal

 

 dancing in illusions ((george))

Aller en bas 
InvitéInvité
Anonymous
(#) Ven 20 Mai - 22:28

♛ dancing in illusions
You've gotta dance like there's nobody watching,
Love like you'll never be hurt,
Sing like there's nobody listening,
And live like it's heaven on earth. @George Ludwig-Harris

▼▲▼

Tu as réussi à faire une pause. Tu ne sais pas comment, toi, Athena Grimes, tu as réussi à te dire qu’il était temps de t’arrêter. Ce ne sont que quelques jours éparpillés sur l’immensité d’une année mais ce sont aussi les premiers depuis de trop longues années. Les mots d’Adonis ont enfin trouvé résonnance dans ton esprit : il avait simplement fallu que le corps lâche pour que tu t’en rends compte. Ainsi, tu avais oublié les répétitions, avais dû lâcher ton téléphone, tes rendez-vous. Les représentations sont pourtant toujours prêtes. Tu ne t’es pas entraînée comme une dingue pendant des heures, à n’en plus manger ou dormir mais tout est quand même parfait, même à tes yeux. Ca a une saveur étrange : tu n'as que rarement apprécié ce sentiment. Peut-être était-ce lié au surmenage, à la fatigue que tu cachais derrière ta sensation de liberté. Désormais, tu comprends ce que cela signifie d’être contente de toi, de ce que tu produis.

En revanche, tu sais aussi que tu ne pourras pas rester en vacances en permanence. Le problème avec le sport de haut niveau (tout comme le mannequinât), c’est que tu dois rester en forme. La souplesse, ça se perd vite, les gestes aussi. C’est la répétition qui fait la perfection. Et en plus, ça te sert pour garder ta silhouette, avantage indéniable dans ton métier. Les vêtements ne sont malheureusement pas faits pour une taille supérieure et tu dois y rentrer coûte que coûte. Tu réfléchiras au fait que ce soit néfaste plus tard.

Pour l’instant, tu envisages de reprendre ton sport, doucement. Tu as quand même un peu de contenu neuf à poster sur instagram et pour cela, il faut faire une performance. C’est un fait, tu n’y couperas pas. Un regard sur ton téléphone, tu n’as pas envie de t’entraîner seule mais tu ne souhaites pas demander à ton jumeau ou tes compagnes habituelles. Tu hésites, observes les noms défilés dans tes contacts. Tu as bien quelques idées mais tu n’es pas certaine qu’il soit disponible vu l’heure. Un lycéen, ça va en cours non ? Est-ce que ça a cours le samedi matin ? Est-ce qu’il sera seulement réveillé ? Tes horaires de lycée ont toujours été adaptés, et avec les excès, tu as quelque peu oublié ce qui est normal pour une personne de cet âge. Lorsqu’on ne fait pas partie des personnages célèbres.

Alors, tu finis par laisser un message à George, lui proposant de te rejoindre au studio de Pelican City. Un petit, où personne ne viendra vous embêter et encore moins les paparazzi. Toi, tu t’y diriges directement et une fois dedans, tu commences à t’échauffer. Tes muscles froids vont nécessiter quand même de la réadaptation suite à ta semaine d’arrêt après tant d’entraînements…

CODAGE PAR AMATIS

Revenir en haut Aller en bas
Pandora Bennettmembers  too many secrets
Pandora Bennett
messages : 189
rps : 27
pseudo : decay
pronom irl : il/he/him
id card : milly alcock (ava : cosmic light ; gif : harley)
multicomptes : a-défonce-stair (t. chalamet) + mikey le parasite (n. murakami)
gif : dancing in illusions ((george)) 4990ec7449617bba987c1a3bd33dfcc240a789a2
pronom ig : she/her
cible de scandale ? : Oui
trigger warning : drogue douce, dépression, tca, fugue, famille dysfonctionnelle
(#) Dim 22 Mai - 12:58





dancing in illusions

☁

(tw tca) encore une fois, t'étais dans ta chambre, à écrire dans ce maudit journal noir, tes initiales gravées sur la couverture de faux cuir en lettres dorées. cadeau de ton père quand il a appris pour ta nouvelle lubie. ou peut-être que c'était parce que ton psychiatre lui avait dit qu'écrire te faisait du bien. tu sais juste qu'il a un jour toqué à ta porte et tu l'as entrouverte, assez pour y passer la tête. il t'as juste tendu cette petite boîte en carton, qui contenait le fameux carnet qui ne te quittera plus jamais après ça. t'as écrit, écrit des pages entières, vidé tant de stylos, cassé tellement de mines de crayons. tant de pages remplies et t'avais encore tant de choses à dire, à graver sur le papier fin. depuis que tu avais recréé un compte instagram avec l'aide de sohee, tu vivais dans la peur que les anciens admirateurs, les stalkers, les haters te trouvent, te traquent et t'empêchent de vivre ta vie d'ado lambda que tu n'espérais jamais expériencer. c'était pas ton rêve, loin de là. même si certaines nuits, californiennes comme orégoniennes, tu pensais à ce que serait ta vie, sans tout ce bazar de paparazzis, de tapis rouges et de prises pour modèle. ton nom était connu. peu de gens ignoraient qui tu étais. même si la perte de poids avant affiné les traits de ton visage, ta forme anciennement plus grosse saine. même si tu te présentais seulement comme george, pas de nom de famille, ou alors marmonné tout bas pour que seul toi puisse l'entendre. t'avais peur que le drama recommence, qu'on te mette dans le même panier que ton père, oeuf pourri. tu t'es habitué à klamath, t'as commencé à développer tes petites routines idiotes. se réveiller et faire des pompes, des abdos, s'entraîner durement et douloureusement jusqu'à ce que tes os craquent. t'entends le bruit des coups contre ta porte et le temps que tu l'ouvres, tu sais déjà que ton frère ou papa est parti, t'a laissé une tasse de thé sur le sol, devant tes pieds. tu la prends, la bois, range tes vinyles encore et encore. par couleur, par ordre alphabétique, par genre musical... puis tu te mets à danser, encore et encore, dans cette chambre isolée du reste du monde où tu peux quand même entendre les éclats de voix de ta famille, dans les couloirs, dans leurs chambres, la salle à manger. pendant que tu écris, tu entends souvent ton nom, crié par ton père ou l'un de tes frères qui aurait tiré la paille la plus courte pour être celui qui devra t'appeler à table. et ce samedi, tu te dis que tout sera pareil. tout restera comme ça, ta petite routine malsaine et destructrice, mais si belle. tu la trouves belle, toi, en tout cas, cette routine. même si la personne qui la fait ne l'est pas. tu pensais passer un samedi ordinaire, tu réfléchissais déjà à ton excuse pour louper un dîner quand ton téléphone fait ce petit bruit qui t'annonce que t'as reçu un message. qui ? et ton coeur s'emballe, comme à chaque fois, alors que tu t'approches de l'objet, posé sur ton lit, occupé à charger. tu vois le nom d'athena apparaître sur l'écran. étrange, que tu te dis. tu lui as pourtant parlé plusieurs fois, à cette femme, ton idole. tu te demandes encore et toujours ce qu'elle a pu voir en toi pour s'accrocher, te parler, t'apprécier. tu comprends pas trop, y a tellement de facteurs qui auraient pu empêcher votre relation d'être positive. sa célébrité, la chute de ta famille, votre écart d'âge, sa beauté. t'es qu'un pauvre lycéen qui danse pour décompresser et elle, elle est adulte, danseuse, mannequin, magnifique. alors, le téléphone entre les mains, le message ouvert depuis plusieurs minutes déjà, tu réponds. un message simple et rapide pour éviter que ton anxiété prenne le dessus. ok, j'arrive dans 20 minutes :) tu hésites sur le petit smiley mais appuie sur envoyer avant de changer de décision. t'aime la voir, athena. t'aimes la voir danser, aussi. alors tu t'habilles rapidement, ton éternel sweat trop large combiné à une paire de sweatpants et ta paire de converse aux lacets si longs que tu dois les faire tourner autour de tes chevilles. et tu te mets en route. de chestnut district à pelican city, à pieds. tu marches rapidement, cours presque. tu arrives enfin dans ce petit studio, regardes l'adresse qu'athena t'a donné une dernière fois, histoire d'être sûr de ne pas t'être trompé d'endroit. mais non, c'est bien ici. c'est petit, c'est cosy, caché entre deux rues. tu pousses la porte et envoie un aute message à ton amie, l'êtes-vous vraiment ?, un petit je suis arrivé, t'es dans quelle salle ? t'attends pas vraiment de réponse, tu commences à déambuler dans les couloirs comme si tu connaissais le bâtiment par coeur. tu trouves enfin une salle où tu perçois quelques sons, entrouvre la porte pour l'apercevoir, elle, en train de s'étirer. l'échauffement avant tout. tu poses ton sac à dos à côté de la porte avant de laisser échapper un hey doux mais hésitant, la main levée pour lui faire un petit signe. tu te poses à côté de ton sac, contre la porte et enlèves tes baskets, restant en chaussettes, assis dans ton coin de la salle pendant que tu admires ses gestes, toujours ausi gracieux que dans tes souvenirs, dans ces vidéos que tu regardes en boucle. tu observes ses moindres gestes, comme si la regarder faire te rendra meilleur, te donnera son niveau un jour.


I just wanna dance
I don't wanna talk
no more living in the past
© SIAL ; icon tumblr



@Athena Grimes


*


Dernière édition par George Ludwig-Harris le Jeu 9 Juin - 8:24, édité 1 fois
Revenir en haut Aller en bas
InvitéInvité
Anonymous
(#) Mer 8 Juin - 19:40

♛ dancing in illusions
You've gotta dance like there's nobody watching,
Love like you'll never be hurt,
Sing like there's nobody listening,
And live like it's heaven on earth. @George Ludwig-Harris

▼▲▼

Tu ne sais pas pourquoi George. Tu ne peux pas définir votre relation sans penser à tes propres frères et sœurs, aux deux jumeaux qui vous ont suivi, Ares et toi. Un âge similaire, la pression aussi face à ceux qui veulent vous faire tomber. Les médias, une belle connerie à ton avis. Toi, ça te va, mais tu penses sans cesse à Hestia, à la pression qu’elle pourrait subir à l’avenir. A cet âge-là, on doit penser à tout sauf à l’image à donner au monde entier. S’amuser, vivre, rire, pleurer, découvrir… tant d’adjectifs qui ne s’appliquent plus à cette génération de nouveaux talents (ou d’enfants de célébrités). Omniprésence des réseaux sociaux, des paparazzis, à vouloir découvrir le prochain scoop, quitte à détruire.

Soupir, tu essaies d’ignorer la multitude de pensées, quand tu rentres dans le studio. Tu as toujours décidé que dans la danse, tes problèmes restent à la porte. Besoin de liberté, de respirer, d’ignorer les pressions sur ton dos. Tu refuses de te laisser abattre quand tu es en train de réaliser ta passion. Y’a un moment pour les angoisses. Et un moment pour profiter.

Tu prépares la session du jour, les chansons sur lesquelles tu as envie de faire tes chorégraphies. Quelques étirements pour accompagner les gestes des doigts, définissant les pas dont vous vous jouerez. Adaptés, le but n’étant pas de te tuer à la tâche. T’en oublies juste ton téléphone, l’envoi de la salle à George. L’endroit, pas bien grand, lui permettra de te retrouver facilement dans tous les cas. Il n’y a que toi aujourd’hui. Qu’une âme pour danser, bientôt deux.

Grincement, rythme brisé dans la musique. Les yeux se lèvent, se posent sur la silhouette. « Hello George ! » Ton léger, suite à un repos bien mérité. Tu finis ton enchaînement, ne souhaitant pas perdre la souplesse doucement récupérée. Puis, le moindre geste brusque peut te briser, corps au bord de l’implosion. « Tu as réussi à trouver sans trop de souci ? » Tu te relèves, éteins la musique pour parler sans hurler au-delà des notes. « Comment vas-tu ? »

Quelques mots, avant de l’inviter à s’approcher. L’échauffement ne peut être coupé, et il est aussi temps pour lui de s’y mettre, avant la danse.  

CODAGE PAR AMATIS

Revenir en haut Aller en bas
Pandora Bennettmembers  too many secrets
Pandora Bennett
messages : 189
rps : 27
pseudo : decay
pronom irl : il/he/him
id card : milly alcock (ava : cosmic light ; gif : harley)
multicomptes : a-défonce-stair (t. chalamet) + mikey le parasite (n. murakami)
gif : dancing in illusions ((george)) 4990ec7449617bba987c1a3bd33dfcc240a789a2
pronom ig : she/her
cible de scandale ? : Oui
trigger warning : drogue douce, dépression, tca, fugue, famille dysfonctionnelle
(#) Jeu 9 Juin - 9:21





dancing in illusions

☁

(tw tca) tu connais pas ce studio mais il est petit. et tu sais déjà que ce sera simple d'y retrouver athena. t'entends de la musique dans un coin, le bruit de mouvements que tu connais bien. échauffements. même si t'es invité, t'as cette peur de déranger. alors tu lances un petit signe de la main, un mot de salut, avant de te mettre dans un coin, chaussettes sur le parquet du sol. et tu la regardes, athena, elle te salue et prononce ton nom. ça te fera toujours quelque chose. un petit bout de fierté ou un arrière goût du passé quand tout était encore idyllique. elle termine de s'échauffer et tu la laisses faire, lui laisses le temps dont elle a besoin. tu sais que, chacun ses échauggements, tout le monde peut prendre plus ou moins de temps toi, t'es un escargot à la coquille de verre. lent mais délicat. tu fais attention à chaque membre, peur que tu te casses. tu commences à mettre tes chaussons quand elle te demande si t'as bien réussi à trouver l'endroit. tu ricanes un peu, légèrement, parce que tu veux pas faire trop de bruit et noyer la musique. ça va, google maps m'a bien aidé. j'aurais jamais pensé que c'était une salle de danse, honnêtement... les graffitis sur les murs, sur la porte, on aurait plus dit une salle de concert underground qu'un studio. mais tu juges pas, ça donne un petit charme au lieu. tu penses ue tu y retourneras un autre jour, c'est sympa. tu la regardes se relever doucement et éteindre sa musique. tu restes assis dans ton coin, les mains sur ton gros sweat à capuche. tu sais que, pour danser, tu devras l'enlever. mais tu peux pas t'y résoudre pour le moment. avec jusqu'à la dernière seconde. elle te demande comment tu vas et tu lui sers ton sourire aussi léger que toi, poids plume. ça va un peu mieux maintenant. et toi ? c'est pas un mensonge. tu te sens mieux et t'as réussi à t'intégrer un peu, à reprendre le peu de confiance en toi que t'avais perdu, pourtant. d'ailleurs tu lui annonces la nouvelle. oh ! d'ailleurs, je me suis refais un insta, j'irais te follow. tu lui souris et te lève. pieds glacés malgré tes chaussettes, tu te rottes les bras, t'en as la chair de poule. tu t'approches d'elle à pas lents. comme si elle allait disparaître, simple hallucination de ta part. un rêve dont tu ne veux pas te réveiller. tu prends ton temps pour t'échauffer, fais quelques exercices à la barre. étirements pour réveiller tes muscles endormis. tu prends ton temps et, à la fois, tu lui racontes un peu tout et n'importe quoi. tu vas rire. première fois que je suis allé au conservatoire, je suis tombé sur une fille. et on a partagé la salle. je faisais une de tes choré. celle de juillet 2O17, tu sais ? du coup on est devenu amis. grâce à toi. tu marmonnes cette dernière partie. grâce à votre passion pour elle, c'est devenu ta meilleure amie. et même si elle voit pas certaines choses, elle est là pour toi. tu lui demandes juste ça. d'être là. bon, j'ai fini de m'échauffer. tu veux faire quoi ? un duo, une impro, une même choré ensembles ? tu proposes ce qui te passe par la la tête. ta langue semble se délier, avec athena à tes côtés.


I just wanna dance
I don't wanna talk
no more living in the past
© SIAL ; icon tumblr



@Athena Grimes


*
Revenir en haut Aller en bas
InvitéInvité
Anonymous
(#) Sam 9 Juil - 22:08

♛ dancing in illusions
You've gotta dance like there's nobody watching,
Love like you'll never be hurt,
Sing like there's nobody listening,
And live like it's heaven on earth. @George Ludwig-Harris

▼▲▼

Tu aimes cet endroit. Solitaire, à l’abri des regards. Loin d’un univers qui t’effraie, te débecte au plus haut point. Fuir le centre de l’attention que tu es devenu, fuir la célébrité dont tu te parais si souvent. Un monde à part, où tes gestes sont observés, soulignés, appréciés ou haïs. Décortiqués au point où chaque mot est soumis à l’avis du public, une opinion de masse qui finit par détruire.

Tu envies ton jumeau, dans son mariage qui l’unit à River. Dans cette relation que tu ne tiendrais jamais. Tu chasses la pensée de ton esprit, vilain pêché qui ne doit pas se frotter à la réalité. Que penserait-il de toi, s’il savait ? Arrivée de George, pour trouver un crochet auquel se rattacher. Psyché occupée par l’adolescent. Comme avec Hestia, l’attention se reporte, se concentre sur l’être plus jeune, plus fragile. Musique éteinte, quelques enjambées pour rejoindre le jeune homme. « Google Maps est vraiment un sauveur de vie. » Toi et ton sens de l’orientation légendaire l’utilisez tous les jours. Même dans cette ville où tu crèches depuis plus d’une décennie. « J’aime le fait que personne ne se rende compte de ce qui se cache derrière. » Un havre de paix, pour oublier les fans parfois collants, ignorant souvent la notion d’espace vital. Alors, tu te caches, tu te glisses loin des âmes affamées de drama, d’attention. Le monde du divertissement se sait friand des erreurs, friand des instants où tout bascule.

Faut juste apprendre à vivre avec.
Parce que personne n’aide ces célébrités qui n’attirent que l’envie.

Tu ébouriffes les cheveux de l’enfant, le gratifies d’un sourire. « Bien. » Retour sur ses mots et réponse à sa question. Même si ce n’est qu’une façon d’éviter la demande, tant ton état mental se dégrade, derrière la tornade dont tu te pares. « Vraiment ?! C’est une excellente nouvelle ça ! » Tu connais une partie de l’histoire, de celle qui coupe l’envie des réseaux sociaux. « Tu auras toujours une place dans mes abonnés et abonnements. » Rare personne qui peut se targuer d’être dans la liste (très) restreinte, en dehors de sa propre famille. A moins que tu choisisses de le suivre avec un compte privé, pour éviter une vague d’harcèlements ; stupidité humaine.

Histoire racontée, écoutée. Juillet 2017, tu fouilles ta mémoire, pour retrouver la musique, les pas. Souvenirs d’une période plus sereine, jeunesse et adolescente imperturbable. « Ca ne me rajeunit pas ! » Trait d’humour, doux rire tant la situation est étrange. « Je suis contente si ça a pu t’aider en tout cas. » Pause. « Elle est sympa ? » Protection, la grande sœur n’est jamais bien lointaine quand les relations rentrent en jeu. Glisser ton nez, tout en restant assez à l’écart pour ne pas perturber George.

Et t’as une idée, légère, qui traverse l’esprit. « Et si on commençait par cette danse ? » Un bon souvenir pour lui, pour la rencontre qu’il a faite. Un bon premier entraînement, pour vérifier tes propres appuis avec une danse connue, des mouvements répétés et ancrés dans le corps. « On pourra tenter une impro par la suite. » Chansons multiples pour se faire, venant d’un pays d’origine dans lequel tu n’as jamais mis les pieds ou de celui où tu es née, adoption par défaut des mœurs occidentales…

CODAGE PAR AMATIS

Revenir en haut Aller en bas
Contenu sponsorisé
(#)

Revenir en haut Aller en bas
 
dancing in illusions ((george))
Revenir en haut 
Page 1 sur 1

Permission de ce forum:Vous ne pouvez pas répondre aux sujets dans ce forum
WICKED LITTLE TOWN. :: take a walk on the wild side :: some old memories :: rps terminés-
Sauter vers: