Bienvenue sur wicked little town, forum city simple et sans prétentions qui se déroule dans la petite mais mouvementée ville de Klamath Falls (Oregon, USA). Lieu de détente où vous verrez s'affronter les différentes classes sociales, venez interpréter des personnages issus de tous horizons. Pour citer une célèbre marque : venez comme vous êtes ! Mais attention, Scandale n’est jamais bien loin pour dévoiler les secrets que vous cachez.
Les yeux rivés sur deux personnes que tu n'arrives plus à admirer comme tu le faisais lorsque tu n'étais qu'une enfant. Tu ne comprends pas ce qu'ils veulent te dire, tu claques la porte d'entrée assez violemment malgré les insultes qui fusent. Ton grand-frère observes avec désarroi cette scène, se sentant totalement impuissant, mais tu ne peux pas lui en vouloir. Il doit conserver cette place si importante au sein de la famille, bien qu'il n'approuve aucunement leurs agissements. « Cessez de vous mêler de ma vie et laissez-moi être avec des gens « médiocres » comme vous savez si bien le dire » Sur un ton accusateur, elle sait pertinemment que c'est à cause d'eux que la plupart de ses connaissances ont décidé de lui tourner le dos. Et même dans sa carrière professionnelle, cela lui a bien causé des soucis. « Je suis heureuse d'avoir pu avoir des parents. Mais je me demande si vous saviez ce que je serais devenue, si je n'aurai pas été abandonnée aussitôt. » A cette réplique, le père sourcilla de peu. « Une femme aussi potiche ne mérite aucunement de compassion et de compréhension de ma part. Tu ne viens certainement pas de moi. » Tandis que la mère hausse les épaules et ne bronche pas d'un pouce, tu détalles aussi vite que la lumière « Tu as raison de partir de ton plein gré, sinon c'est moi qui m'en serait chargé. Je me demande pourquoi j'ai accepté de te reprendre lorsque tu as décidé de fugué. » « Oui papa ! » arques tu le visage vers lui, faisant comme si cela ne t'atteignait plus. « Je n'ai plus besoin de toi. Je l'ai compris depuis ce jour où, tu as laissé un homme me frapper devant tes propres yeux, en affirmant que c'était de ma faute. Car je n'étais pas à ma place et que je me devais de me plier aux dires de l'autre. » Premier petit ami à l'âge de dix-sept ans, lui en avait dix-neuf et était très toxique. Te laissant des bleues violacées sur ce corps frêle. Depuis ce jour, tu n'as pas pardonné et tu es partie quelques temps après, à tes dix-huit ans pour être plus précise.
Fin janvier 2022.
Cela n'a pas changé, tes parents sont toujours aussi insupportables et te surveillent toujours bien que tu ne veuilles pas leur parler. Depuis quelques temps, tu prends des cours de boxe avec un professeur spécifique. Tu partages une certaine passion avec lui aussi, puisque tu es professeure de patin à glace et tu adores que l'on te demande de l'aide. Mais pour toi, la boxe est une thérapie et tu t'entraînes très dur sous les conseils de Monsieur Demornay. Un coréen qui se rapproche sûrement de ton âge et avec qui tu t'entends plus ou moins bien. Mais suite à diverses choses, tu n'as pu, ces derniers temps, assisté à ses cours à cause d'une petite déprime et de soucis personnels. Tu n'as malheureusement pas averti ton professeur qui aurait pu faire autre chose et qui comptait énormément sur toi. Désormais, il doit te voir d'un mauvais œil, mais ça t'importe peu, tu trouveras un moyen de t'en sortir. Mais bon, c'est sans compter sur tes parents, qui vont et viennent dans ta vie, et cette fois si, se permettent d'aller voir ce boxeur renommé en l'insultant. Mais tu ne te doutes de rien, après quelques semaines sans assister à ses cours, tu reviens en arpentant violemment les murs, tu veux te défouler et tu as la rage de vivre. Tes parents sont encore venus te mettre des bâtons dans les roues concernant les différents métiers que tu exerces et tu as besoin de faire quelque chose pour libérer tout ça. Tu enfiles tes gants & tout le reste et tu vas sur le ring, frappant tout ce qui se trouve sur ton passage. KoalaVolant @Lucis DeMornay
Dernière édition par Rosie Lee le Ven 18 Mar - 20:23, édité 1 fois
— Lucis était toujours perdu dans ces pensées surtout lorsqu’il s’agissait de ces élèves, il était jeune mais intransigeant, il le fallait pour ne pas finir à la trappe, alors bon il n’était pas l’un des meilleurs mais il ne cessait d’avoir des groupes de plus en plus nombreux ce qui ne le dérangeait en aucun cas de plus, des élèves souhaitent des cours solo avec lui ce qui ajoutait toujours un petit billet supplémentaire sur son compte en banque, bien loin d’être vide mais pourtant il acceptait.
Cela faisait un moment qu'il ne l’avait pas vue, cette jeune patineuse surement dans sa tranche d’âge, elle se débrouillait pas mal en boxe et c’était aussi pour cela qu’il l’acceptait en cours particulier, toujours froid quand il lui donnait les instructions le jeune homme se demandait quand même s’il n’allait pas trop dans la brusquerie ? Pourtant elle ne lui disait jamais rien quand il s’agissait d’entrainer, peut-être avait-il pu se calmer avec ce côté pour en offrir un plus « docile » ? Qui sait, ce n’était pas pour autant qu’il allait changer définitivement mais après tant de mois passer à l’entrainer il pouvait bien. Mais un jour, lorsque l’entraineur tapait dans des sacs un couple âgé et hautain était venu le voir, non pas pour discuter mais bien l’incendier quant à son job, il ne leur avait rien fait, c’était bien la première fois qu’il les voyait aussi, ils avaient décidé ce jour pour le critiquer et le descendre mais ils ne c’étaient pas attendu en ce genre de réponse plus que froide et sans une once de colère, sa voix avait été très calme mais glaciale, un simple mot « Cassez-vous », et ce fut ainsi que les parents de la jeune femme étaient repartis.
Depuis, le jeune homme avait attendu que la jeune Rosie revienne, n’ont pas pour savoir pourquoi son absence, elle pouvait l’être toute personnes ayant des hauts et Bas pouvait agir ainsi, mais non, il voulait lui parler de ses parents, savoir pourquoi ils avaient été si loin dans leur propos, malheureusement qui le toucha plus qui ne l’avait espéré. Ce fut ainsi qu’un Lucis, vêtu de sa tenue habituelle, un t-shirt beaucoup trop grand laissant de par ses sans manche la musculature et le tatouage apparent du jeune homme ainsi qu’un jogging assez ample, il vint en même temps que son action abandonner sa casquette pour venir la déposer sur son sac qu’il abandonna le temps de s’approcher de la jeune femme qui avait l’air de se vider sur un sac qui n’avait rien demander, elle était en colère son oui, mais à ce train-là elle allait se blesser avec sa mauvaise posture
T'as la rage car tu repenses à ce que tu as vécu et tu te poses finalement des questions. Tu te demandes ce que tu as fait tant de mal pour être autant reniée de la part de ton père. Ta mère est si gentille mais elle est aveugle face à l'amour qu'elle porte à ce monstre. Mais tu ne pardonneras jamais ce qu'ils t'ont fait, lorsque tu étais encore qu'une adolescente, tu avais un petit-ami un peu plus vieux que toi. Qui t'a frappé lorsque vous étiez dans la chambre, tes parents sont montés par curiosité, ou plutôt, ton père et ta mère a suivie. Ils ont vus les balafres causées par ce connard mais ton propre paternel t'a accusé et a misé la faute sur ta personne. Il appréciait plus que toi ton petit-ami dont tu as peur désormais, ce pourquoi tu te défends comme tu peux. Et malgré cela, tu gardes la tête haute et tu veux vivre ta plus belle vie, en liberté, pas comme un oiseau dans une cage, qui pleure la plupart du temps dans sa petite boîte sombre, isolé de tous ses congénères.
Tes yeux sont rivés sur la ballon qui fait des vas et vient en face de toi. Tu ne captes pas grand chose, tu ne fais attention à rien, tu es d'une violence que même toi tu n'arrives pas à te connaître. Tu n'as pas attaché tes cheveux et tu as une très mauvaise posture, tu commences à avoir mal au dos mais ce n'est pas grave, tu veux juste progresser et faire voir ce que tu vaux aux yeux de ceux qui t'ont toujours laminés.
Ta peau est transpirante, luisante, elle reflète à la douce lumière tamisée de la salle. Tu détournes subitement le regard car tu sens une présence. Voilà enfin ton professeur, il a un charisme plutôt absorbant et c'est donc pour ça que tu arrives à ressentir sa présence au loin. Tu le regardes néanmoins avec une mine quelque peu désolée, pour ce que tu lui as fait. Mais il ne capte pas vraiment cette attention et t'adresse ces quelques sympathiques mots que tu ne prends pas à la légère . Tu te redresses sur tes deux longues jambes et tu lâches un léger sourire. « Merci, Professeur Demonay » Dis-tu sur un timbre de voix quelque peu gênée. Vous avez pratiquement le même âge et pourtant, cela t'embête de l'appeler par son nom. Tu gardes toutefois ton sang-froid, tes yeux observent sa musculature et ses tatouages qui sont originaux et que tu apprécies toujours autant. KoalaVolant @Lucis DeMornay
Dernière édition par Rosie Lee le Ven 18 Mar - 20:25, édité 1 fois
— Lucis la regarde silencieusement, remarquant ainsi la rage qui l’habite, non seulement par son regard mais aussi pour son côté négligé, en temps normal sa chevelure brune était attacher, toujours et là celle-ci n’avait même pas porter une quelconque attention que celle-ci, elle ne c’était pas bien évidemment avant par échauffer ce qui lui vaudrait également des douleurs futures musculaires ; l'importance actuelle était de savoir ce qui se passait malgré son côté réticent qui pouvait aisément se voir de par son visage froid et implacable, « Merci, Professeur Demonay » Merci ? pour lui avoir soumis sa demande, demande de se tenir correctement ? C’était normal, elle était son élevé et elle se devait d’apprendre ce fut pourquoi le jeune homme prit la responsabilité de bloquer ces prochains coups par ses mains possédant assez de force pour pouvoir la stopper sans lui faire mal.
- Tu vas t’arrêter et tu vas me faire le plaisir d’attacher tes cheveux ils vont te gêner et enfin tu viens dans mon bureau une fois que tu te seras changé et calmé.
Relâchant ainsi doucement sa poigne le fameux professeur vint à se retourner en partant en direction d’un bureau qui lui avait été donner quand il était arrivé, celui-ci était étrangement moderne ? des plantes ornaient certains meubles, tout comme certaines coupes et ceintures qu’il avait gagnées quand il était plus jeune, ayant mis assez tôt sa carrière de côté pour celle d’autrui, on pouvait également voir une bibliothèque remplie d’ouvrages essentiellement sur la boxe mais également de la variété française, anglaise et chinoise, tout ce qui passionnait finalement le blond ; Venant s’installer sur sa chaise de bureau avec deux tasses de café sur ce fameux bureau bien ranger et surtout remplis de proverbe dans un tas de langues que Lucis vint à attendre la plus petite, il comptait bien avoir certains comptes notamment sur son comportement qu’elle venait d’avoir dans la salle tout comme les problèmes plus personnelles.
Tu te sens affreusement vulnérable et c'est l'une des pires sensations que tu détestes. Tu tentes de cacher ton mal-être mais cela se lit sur ton visage crispé de colère. Tu souris avec peine parce que c'est une personne qui a toujours su prendre soin de toi et t'a appris correctement les bases. Y'a certaines fois notamment où tu as pu te remettre en question, bien que tu n'as pas forcément eu l'exemple de tes parents, ce qui fait parfois défaut chez toi car tu peux réagir de façon puéril, mais tu apprends à te contrôler et à être moins émotive avec le temps. En revanche, tu pousses cet aspect de toi dans un second retranchement, la violence que tu t'infliges à toi-même et à ses poings fermés, mal placés et ses cheveux qui te gênent, que tu tires sans faire exprès et que tu arraches, observant alors certaines au sol avec désarroi. C'est alors que le professeur te fait une remarque et c'est à ce moment précis qu'il débarque pour te stopper subitement, tu le regardes de tes yeux écarquillés, te demandant ce qu'il se passe, puis c'est là que tu t'aperçois que tout l'heure, tu as maladroitement écorché son nom, serait-ce à cause de cela? Puis tu réfléchis longuement, mais de sa nature franche il n'aurait pas hésité à te rattraper. Cela aurait pu déranger n'importe qui, mais soit il ne l'a pas remarqué à cause de ton accent encore prononcé, ou soit il ne te l'a pas dit ! Dans tous les cas, tu comptes bien t'excuser pour cette bourbe, car cette action ne provenait aucunement du fait que tu ne saches pas sortir un mot correctement, à quelques fois. Mais ce n'est sûrement pas la raison de cette légère altercation entre vous deux et son regard qui se fait si...indescriptible.
« D-d'accord, Mr je termine ce que j'ai à faire et j'arrive. » Tu hausses un sourcil intrigué, et ta voix se fait quelque peu tremblotante. Tu de demandes bien de quoi veut-il te parler, car ce timbre de voix grave ne te disait rien de bon. Mais tu t'exécutes aussitôt, tu attaches ta longue chevelure et tu files en direction de son bureau que tu trouves superbement décoré.
« J-'a j-adore cette déco... » que tu lâches soudainement afin de détendre l’atmosphère. Tu sens bien que quelque chose cloche. Peut-être est-ce le mauvais comportement que tu as eu tout à l'heure. Tu souris assez nerveusement et tu te tournes les pouces afin de détendre un peu de cette situation qui t'embarrasse fortement. « KoalaVolant @Lucis DeMornay
— Silencieux, ce fut le cas de Lucis, le regard perdu sur l’extérieur de sa fenêtre qui donnait vue sur la rue centrale, celle-ci était étonnamment bien animé par la population ce qui permit à l’entraineur de se perdre dans ces idées, choisissant ce moment de répit loin des respirations grasses et rapide ainsi que des coups envoyés dans des sacs fait pour, ce moment loin de tout avant de commencer à parler d’un problème qui malheureusement l’avait toucher, ces gens étaient les parents à son élèves et il devait lui en parler et ce obligatoirement, non pas en mal mais au moins en avoir une explication. « J-'a j-adore cette déco... » ce fut ces mots de prononcé qui firent bouger Lucis de sur sa contemplation faisant ainsi signe a la jeune femme à venir s’installer sur le fauteuil en face de lui. Ainsi il put aisément voir son regard assez facile à comprendre elle se demandait surement pourquoi elle était invitée à venir ici et ces raisons choses normales c’était bien la première fois que Lucis demandait à un étudiant de le rejoindre ici.
- Merci. Je t’ai invité ici tout simplement pour discuter Rosie, c’est aussi ici où tu peux également m’appeler par mon prénom, nous sommes en privé.
Le jeune entraineur pris quelques minutes avant de rassembler ces mots, il prenait le temps d’expliquer car c’était essentiel pour qu’un groupe avance même si ici c’était plus un duo avec Lucis, mais il prenait quand même ce temps à profit afin de percer un abcès bien présent.
- Bien, je t’ai invité ici car j’aimerais déjà savoir pourquoi tu te mets dans un tel état pour arriver rapidement et taper sans préparation au préalable ainsi que ta négligence contre ta chevelure, ici il y a des règles qui s’appliquent à tous Rosie. Ensuite, des gens sont venu me voir pendant ton absence, je suppose tes parents ? car tu leur ressemblais étrangement, de ce fait, j’aimerais savoir pourquoi leur venue soudaine ici ?
Ta peau est luisante et dégoulinante de sueur, pas seulement à cause de ce petit moment de sport intensif mais notamment parce que tu appréhendes ce que va te dire ton professeur. Tu sens que c'est un peu tendu et tu te demandes si c'est uniquement à cause de la mauvaise pose que tu as prise mais aussi par le fait que tu ne l'as pas prévenu de ton absence ? C'est vrai que cela ne se fait pas et que ce n'est aucunement dans ton habitude, mais de là à te faire venir dans son bureau, cela te paraît louche quand même. Tu observes avec attention les actions ainsi que les mouvements de l'homme qui se trouve en face de toi, qui te propose par la suite de venir t'installer dans le fauteuil situé à droite de toi. Ta mâchoire se crispe de peu et tu écoutes attentivement ce que a à dire Lucis qui a l'air d'être une chose très importante.
« C'est un peu inconcevable de vous appeler par votre prénom dans cet établissement où vous êtes professeur... »
Tu tentes de faire bonne figure et tu encre tes yeux dans celui de Lucis qui se fait pratiquement impassible. Tes jouent commencent à se teinter légèrement parce que tu es gênée par cette situation qui te sort de ta conformité, ce à quoi tu n'as guère l'habitude.
Tu l'écoutes attentivement et tu comprends assez rapidement que le principal problème n'est pas toi mais tes parents qui sont venus. Tu serres les poings encore plus énervée que précédemment car tu n'étais aucunement au courant de cette éruption soudaine et tu as très envie de partir pour aller donner une correction sévère à tes paternels, mais tu te reprends aussitôt et tu relèves ses deux billes marrons glacés que tu avais baissé suite à tous ce que tu venais d'apprendre.
« Je suis désolée pour tout ça... C'est un malentendu. Mes parents n'apprécient pas forcément mon choix de vie... Donc ils n'hésitent pas à venir me mettre des bâtons dans les roux afin de détruire tout ce que j'ai construis... Dans l'unique but de satisfaire leur égo et de se prouver à eux-mêmes qu'ils ont toujours eu raison. »
Des explications quelques peu floues mais tu te justifies quand même car tu n'aimes pas te confier et parler de ta famille. Tu t'adosses légèrement contre le bureau dans le but d'apporter tes excuses. Ta voix se fait tremblotante et tu n'oses même plus regarder dans les yeux cet homme. Tu souris légèrement en te mordillant la lèvres inférieure, tout simplement énervé. Puis tu te relèves de ce fauteuil sans rien dire, en te dirigeant vers la porte de sortie, car tu es couverte de honte à ce moment-là et tu n'oses pas affronter la réalité. KoalaVolant @Lucis DeMornay
— L’entraineur laissa ainsi la jeune femme prendre le temps de s’expliquer, du moins essayer de comprendre pourquoi ces gens étaient venue le déranger en pleine séance pour lui-même choser qu’il ne s’autorisait que rarement et surtout ici, en temps normal le jeune homme partait s’entrainer chez lui avec la place qu’il avait, il avait su y mettre une pièce exclusivement pour cela, d’où le faite de son corps si bien entrainer et entretenu, mais revenons à notre sujet premier.
Lucis n’aimait pas ce genre de comportement, il n’allait cependant pas la gronder pour son absence, elle avait et avait dû avoir une bonne raison mais l’intervention de ses parents était comment dire, choquante,« Je suis désolée pour tout ça... C'est un malentendu. Mes parents n'apprécient pas forcément mon choix de vie... Donc ils n'hésitent pas à venir me mettre des bâtons dans les roux afin de détruire tout ce que j'ai construit... Dans l'unique but de satisfaire leur égo et de se prouver à eux-mêmes qu'ils ont toujours eu raison. » elle n’avait pas s’excuser pour leurs actions, elle n’en était aucunement fautive, ceux qui étaient en tordent n’étaient pas là aujourd’hui mais il se promit une chose que-ci ceux-ci recommençaient à l’énerver de la sorte il n’hésiterait pas à utiliser son nom ainsi que son argent pour qu’ils cessaient d’agri de la sorte.
- Ne soit pas désolé, ce n’est en aucun cas de ta faut, mais bien celle de tes parents, qui sont-ils pour oser agir ainsi ? Veulent-ils perdre leur fille ? Veulent-ils finir sans aucune nouvelle de toi ? Ni de te voir grandir ? Ni de te voir épanouir ? Ils ont de la chance de t’avoir dans leur vie Rosie. Ce sont des mots peut être étrangers, mais ils ne devraient pas agir ainsi, ils devraient t’aider et t’épauler.
Les mots qu’il sortaient venait du cœur, lui n’ayant pas eu cette chance de pouvoir grandir avec ces parents, le voici aujourd’hui plus que solitaire mais mieux ainsi, quoi qu’en aspect, à l’intérieur c’était autre chose et cette chose devait-être cacher, mais il devait le lui dire, lui faire savoir que ce genre de comportement n'amenerait rien de bon.
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